Atelier d’urgence sur les candidatures pour l’Irak
26/28-12-2015Amman, Jordan (Iraq)
Atelier d’urgence sur les inventaires avec la participation des communautés en Irak
19/24-12-2015Amman, Jordan (Iraq)
Séances d’information Programme de renforcement des capacités
01/04-12-2015Windhoek (Namibie)
Atelier final à Sao Tomé-et-Principe: inventaires avec la participation des communautés pour une stratégie nationale de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
23/27-11-2015Sao Tomé (Sao Tomé-et-Principe)
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Après sept mois de travail sur le terrain dans les communautés de Boa Morte et San Antonio, la Direction nationale de la culture de Sao Tomé-et-Principe procède à l’évaluation des résultats de l’exercice d’inventaire qui a démarré cette année en avril. Du 23 au 27 novembre, près de 25 acteurs impliqués dans le recueil d’informations vont se rencontrer afin de dégager les enseignements et de constituer un plan d’action pour les efforts à fournir à l’avenir dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine dans l’archipel. Afin d’assurer la continuité de l’atelier d’avril, les experts-facilitateurs de l’UNESCO donneront des conseils en dressant un bilan des résultats et en développant une stratégie nationale. Dans ce même esprit de continuité, un responsable culturel de Cabo Verde sera présent à Sao Tomé afin de partager l’expérience acquise lors du processus avec ses collègues à Cabo Verde qui développent leur propre inventaire avec la participation des communautés.
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
16/20-11-2015Apia (Samoa)
Atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 de l’UNESCO en Angola
09/13-11-2015Luanda (Angola)
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L’Institut national du patrimoine culturel d’Angola et l’UNESCO ont organisé un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à l’échelle nationale. Il aura lieu du 9 au 13 novembre 2015 à Luanda et concernera la portée et les objectifs de cet instrument juridique international ainsi que les obligations qu’il implique pour les États parties.
Cet atelier s’inscrit dans la stratégie globale de l’UNESCO visant à renforcer les capacités nationales des pays lusophones d’Afrique (PALOP) afin de sauvegarder leur héritage vivant. Il rassemblera une vingtaine de participants angolais, parmi lesquels se trouveront des acteurs locaux aussi bien que nationaux. Dans le but de renforcer la coopération régionale entre le pays PALOP, la formation sera entièrement facilitée par deux experts mozambicains qui ont suivi le même programme.
Cet atelier est rendu possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Atelier de recyclage sur les inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés
08/15-11-2015Luang Prabang (République démocratique populaire lao)
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Cet atelier ne faisait pas partie du plan de travail de la phase II du projet du Fonds en dépôt japonais. En 2013, au cours de la phase, un atelier sur les inventaires avec la participation des communautés avait déjà eu lieu en RDP Lao grâce au financement du Fonds en dépôt japonais. Toutefois, l’équipe du département du Patrimoine a exprimé le besoin d’organiser une formation de recyclage avant de commencer l’inventaire pilote sur le terrain destiné à ce projet. Des fonds extérieurs ont été alloués à cet atelier. Il s’est tenu dans la ville de Luang Prabang, située dans la province où l’inventaire pilote devait avoir lieu ; des membres des communautés et du Département provincial ainsi que 5 praticiens y ont pris part. Les participants ont eu l’occasion d’approfondir leurs connaissances des techniques d’inventaires avec la participation des communautés et de participer aux activités de terrain mentionnées ci – dessous. Ils étaient répartis en 4 équipes pour un stage pratique destiné à documenter le théâtre de marionnettes « epok » au village de Xieng Thong, le chant « khap » au village de Phone Phaeng ainsi que l’orfèvrerie et les textiles artisanaux du village du Pha Nom. Deux des équipes étaient dirigées par des praticiens qui avaient participé à l’atelier.
Symposium régional sur le développement d’études supérieures spécialisées dans le patrimoine culturel immatériel dans la région Asie-Pacifique
02/03-11-2015Bangkok (Thaïlande)
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Les efforts en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) gagnent en importance dans l’ensemble de la région Asie-Pacifique conduisant à un besoin de plus de professionnels hautement qualifiés dans la région. Les universités ont un rôle important à jouer en ce sens. C’est pourquoi, l’UNESCO organise un symposium régional qui se tiendra du 2 au 3 novembre à Bangkok dans le but de promouvoir l’intégration du PCI dans l’enseignement supérieur au niveau du troisième cycle dans l’Asie-Pacifique. Cet évènement bénéficie de l’aide financière provenant du Fonds pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Lors de ces dix dernières années, il y a eu augmentation du nombre de programmes d’éducation de troisième cycle sur le patrimoine dans son ensemble, mais peu d’entre eux sont centrés spécifiquement sur le patrimoine culturel immatériel. Les professionnels du secteur du patrimoine culturel ont une formation axée sur la gestion du patrimoine matériel (conservation des monuments et sites archéologiques par exemple).
Le symposium organisé par l’UNESCO vise à encourager les universités de l’Asie-Pacifique à développer des programmes de troisième cycle dans le domaine du patrimoine culturel immatériel.
22 cadres, professeurs et chargés d’enseignement de 20 universités participeront à ce symposium de deux jours. Ils prendront part aux discussions et partageront leurs connaissances et ressources sur le sujet. Les établissements sont situés dans 13 pays de la région : l’Australie, la Chine, le Kazakhstan, l’Inde, l’Indonésie, l’Iran, le Japon, la Nouvelle-Zélande, le Pakistan, les Philippines, la République de Corée, le Sri Lanka et la Thaïlande.
Les discussions comprendront l’identification des principes clés de la sauvegarde du PCI pour les études de troisième cycle, l’exploration de disciplines et de structures pour des programmes sur le PCI et l’intégration de la sauvegarde du PCI dans le développement d’études du PCI pour le troisième cycle.
Le symposium contribuera aussi à approfondir la base de connaissances des participants en matière de méthodologie et de ressources pertinentes pour le PCI. Il devrait aussi permettre l’établissement d’un réseau entre les universités de même qu’avec l’UNESCO en vue de futures collaborations sur le thème des programmes d’éducation sur le PCI pour le troisième cycle.
Documents
Atelier de formation sur la préparation des dossiers de de candidatures pour inscription sur les Listes de la Convention et les demandes d’assistances internationales
02/06-11-2015Hammamet, Nabeul (Tunisie)
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L’atelier sur l’élaboration des dossiers de candidature en vue de l’inscription sur les listes de la Convention de 2003 (la Liste représentative et la liste de sauvegarde urgente) et la préparation des demandes d’assistances internationales se tient dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet « Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers le renforcement des capacités nationales au Maghreb » suite à la tenue des ateliers sur la mise en œuvre de la Convention et sur les inventaires participatifs.
Cet atelier organisé dans la ville de Nabeul du 02 au 06 novembre 2015 a pour objectif de développer et renforcer les capacités des représentants de fonctionnaires de différents ministères, d’acteurs de la société civiles, de membres de communautés et autres spécialistes du patrimoine culturel immatériel en matière d’élaboration des requêtes d’inscription des éléments du PCI sur les Listes de la Convention et la préparation des demandes d’assistance internationale. La réalisation et le suivi de cet atelier permettra à la Tunisie de disposer de cadres ayant une pleine connaissance des mécanismes de la Convention ce qui contribuera à la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO ratifiée par la Tunisie qui pourra ainsi élaborer des dossiers de qualité.
Atelier sur la mise en œuvre de la Convention à l’échelle nationale
25/29-10-2015Dubai (Émirats arabes unis)
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Le premier d’une série de trois ateliers de formation sur le renforcement des capacités se tiendra cette semaine, du 25 au 29 octobre 2015, au Centre du patrimoine Hamdan bin Mohammed aux Émirats arabes unis à Dubaï.
Le premier atelier de formation sur le renforcement des capacités aura pour objet principal les concepts clés de la Convention de 2003 et leur mise en œuvre par le biais de l’inventaire avec la participation des communautés, de mesures de sauvegarde et de stratégies de développement de politiques. Cet atelier sera aussi une bonne occasion de livrer aux participants des illustrations de bonnes pratiques en matière de sauvegarde du PCI et d’autres projets au sein du monde arabe.
Cet atelier, qui réunira 25 membres du personnel du Centre de même que de nombreux acteurs travaillant dans le domaine du patrimoine culturel. Mené par l’UNESCO et deux de ses experts facilitateurs, cet atelier est un exemple de formation demandée et financée par une institution ayant pour volonté de renforcer ses capacités afin d’intégrer au mieux les dispositions de la Convention à ses activités.
Atelier de formation sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés à Monaco
22-10-2015Monaco (Monaco)
Atelier de formation sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés en Norvège
19/23-10-2015Trondheim (Norvège)
Atelier de transmission de personnes âgées aux plus jeunes dans les communautés Kallawayas
17/22-10-2015Curva (Bolivie (État plurinational de))
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Une deuxième série d’ateliers sur la transmission des connaissances et des pratiques Kallawaya de guérisseurs expérimentés aux jeunes apprentis a eu lieu du 17 au 22 octobre 2015 à Curva, l’un des berceaux de guérisseurs Kallawaya, dans la province de Bautista Saavedra.
Les sujets abordés allaient des pratiques d’accouchement et les maladies des femmes et des enfants à la prévention et la guérison de maladies respiratoires, de maladies digestives et de maladies de personnes âgées. Plus de 30 participants Kallawaya ont pu améliorer leur connaissances sur les inventaires avec la participation des communautés et ont reçu une formation sur les techniques audiovisuelles de collecte de l’information.
A la suite des ateliers, les participants ont partagé les résultats du projet avec d’autres communautés de la province qui ont assisté à la session finale. Ce dernier atelier a souligné l’importance non seulement des connaissances et des pratiques Kallawaya mais du patrimoine culturel immatériel en général pour trouver des réponses aux défis rencontrés dans la construction de la paix et le développement durable.
Ces ateliers mettent fin aux activités menées dans le cadre du projet «La sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des communautés Kallawaya» qui a été possible grâce aux efforts des autorités Kallawaya, du Ministère des cultures et du tourisme, de l’Université catholique bolivienne “San Pablo” et du l’UNESCO ainsi qu’au soutien généreux et continu du gouvernement du Japon.
Documents
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
05/09-10-2015Oulan-Bator (Mongolie)
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La Mongolie était très enthousiasmée par l’idée d’entreprendre cet atelier qui comprenait des visites aux communautés locales pour étudier les éléments du PCI et s’entraîner à préparer des dossiers de candidature. Deux groupes ont rendu visite aux praticiens du camp et les ont interviewés tandis que trois autres groupes ont rendu visite aux praticiens du PCI dans leur communauté.
Les cinq groupes ont étudié :
1. L’art traditionnel de la sculpture de l’acier – technique de double sculpture de Suriya ;
2. La culture autour du cheval : technique traditionnelle pour préparer l’aïrag à Khokhuur et les coutumes liées ;
3. Les connaissances chamaniques traditionnelles et les pratiques liées à la nature et à l’univers ;
4. Technique traditionnelle de broderie ;
5. La culture autour du cheval : connaissances et techniques traditionnelles pour fabriquer les accessoires pour chevaux comme les brides, les licous, les entraves et les couteaux de chaleur.
Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
01-10-2015/31-12-2015Willemstad (Curaçao)
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Curaçao focused its field exercise on the elements of kachu, the harvest festival and playing the benta. Ten participants (5 females and5 males) were selected from different NGOs and were trained by a local anthropologist and the director of the focal institution for the implementation of the Convention (who also participated in all training workshops). The training utilized the UNESCO training materials for Field Inventory, which were translated into Papiamento). Participants were able to undertake secondary documentation on the elements as primary documentation was not possible due to the seasonal nature of kachu use and because no performances were planned during this period where the benta would have been played. Arrangements were made for primary documentation during the harvest season, so the team could document the use of kachu during harvest (seú) as well as during the elaborate harvest parade. Documentation consisted of interviews and demonstrations. Playing the benta was shown along with the interview. Instructions on how it was made were given during the beginning of the two‐day training by a benta maker and player. The kachu session also included more elaborate demonstrations of construction of this instrument.
Inventaires communautaires: Boubon, Agadez et pratique de l’Habbanaé
01-10-2015/31-12-2015Boubon, Agadez (Niger)
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Le Niger, conscient du rôle primordial que le PCI joue dans l’identité des différentes communautés, a exprimé à plusieurs reprises, et notamment lors de son mandat comme membre du Comité intergouvernemental de 2008 à 2012, sa nécessité de renforcer les capacités au niveau nationale pour la sauvegarde de son PCI grâce à la mise en œuvre efficace de la Convention et son souhait d’être accompagnés dans son appropriation des concepts et outils offerts par la Convention. Dans ce sens, le Niger a réalisé des efforts considérables ces dernières années. En effet, sur le plan national, en 1997, la Loi 97-022 relative à la « Préservation et à la mise en valeur du patrimoine culturel national » a été adoptée et les premières initiatives d’inventaire ont été menées à la fin des années 80. De plus, le Niger a ratifié la Convention 2003 le 27 avril 2007. Cependant, cette ratification n’avait pas encore donné lieu à un travail méthodologique et systématique d’inventaire, en ligne avec l’esprit de la Convention et avec la participation des communautés détentrices et des organisations non gouvernementales pertinentes Ce projet, qui s’insère dans la stratégie globale de l’UNESCO pour renforcer et consolider les capacités humaines et institutionnelles pour la sauvegarde du PCI et la mise en œuvre de la Convention 2003 sur le long terme, a reçu le soutien du Royaume d’Espagne qui par une généreuse contribution volontaire supplémentaire au Fonds du PCI a permis la réalisation de ce projet.
Formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national aux Fidji
24/29-09-2015Suva (Fidji)
Atelier de formation préparant à l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés
23-09-2015/03-10-2015Ribeira Grande de Santiago (Cabo Verde)
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L’Institut du Patrimoine Culturel de Cabo Verde, en coopération avec le siège de l’UNESCO et le Bureau Régional de Dakar, organise un atelier de formation préparant à l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés à Cabo Verde. L’atelier, qui aura lieu du 23 septembre au 3 octobre 2015 à Ribeira Grande de Santiago, introduira les concepts, objectifs et méthodes d’inventaire, dans le cadre notamment d’un travail pratique de terrain au sein des communautés de Centro histórico, Salineiro et Calabaceira.
Dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO visant à renforcer les capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine vivant dans les pays africains de langue portugaise (PALOP), l’atelier rassemblera 30 participants cabo-verdiens, y compris les parties prenantes locales et nationales. Dans le but de renforcer la coopération régionale parmi les pays PALOP, la formation sera co-facilitée par un expert brésilien et mozambicain, préalablement formés à ce même programme. En outre, des représentants des autorités culturelles de l’Angola et de Guinée-Bissau prendront aussi part à cet atelier.
Cet atelier est possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
DOCUMENTS:
LIST_DOCUMENTS:00498-0
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
14/18-09-2015Taunggyi (Myanmar)
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La ville de Taunggyi, capitale de l’État de Shan, au Myanmar a accueilli du 14 au 18 septembre 2015 un atelier sur la manière d’élaborer des dossiers de candidature pour les Listes du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Il s’agissait du dernier volet du projet de renforcement des capacités généreusement soutenu par le gouvernement norvégien, grâce à une contribution au Fonds du patrimoine culturel immatériel. Le projet national de deux ans a été mis en œuvre en 2013 dans le but de renforcer les compétences des ressources humaines au Myanmar pour l’inventaire et la sauvegarde de son patrimoine.
Les 24 participants, dont des agents culturels, des universitaires et des praticiens du PCI, ont pu acquérir des compétences pratiques dans l’élaboration des dossiers de candidature, et apprendre à utiliser les Listes de la Convention de 2003 comme outil efficace pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Tout en combinant une formation théorique, sur la manière de concevoir des mesures de sauvegarde avec la participation des communautés, et des exercices pratiques d’évaluation de fausses candidatures, l’atelier a été l’occasion de clarifier les différents objectifs de chacun des mécanismes internationaux établis par la Convention, de manière à ce que les décideurs puissent les utiliser de la manière la plus appropriée et efficace possible.
L’atelier de formation de cinq jours qui était facilité par deux experts formés, membres du réseau d’experts de l’UNESCO, comprenait un exercice pratique sur le terrain avec les communautés locales de Inle Lake.
Mise en œuvre de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du PCI au niveau national en Albanie
14/18-09-2015Tirana (Albanie)
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The organization of the workshop was timely in the context of the efforts that are paid by cultural institutions in Albania in the last two years to enhance the national capacity for ICH safeguarding, as well as in light of the needs assessment report of 2014. The latter made specific recommendations on organizing workshops and training activities on ICH related activities with the widest possible participation of people with different backgrounds and coming from different towns and institutions in Albania. This has been the first workshop of its kind in the country and the expectations invested in it were great. The workshop was supposed to fill a void in focused presentations and discussions on the major themes related to the implementation of 2003 Convention on a national level, and to facilitate the undertaking of organized activities in this regard. Despite the high sensitivity and interest in cultural heritage issues in the country, so far no special workshop has been held on these topics in the country and this explains the enthusiasm that it produced among the colleagues working in the sphere of culture. The call for participation that colleagues from the Ministry of Culture at the Republic of Albania distributed attracted more that 40 participants and at some point there were several late applications which had to be declined in order to maintain at least some interactivity during the sessions.
Atelier de transmission de personnes âgées aux plus jeunes dans les communautés Kallawayas
13/18-09-2015Charazani (Bolivie (État plurinational de))
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Guérisseurs et apprentis Kallawaya se sont réunis à Charazani, la capitale de la province bolivienne de Bautista Saavedra, du 13 au 18 septembre pour participer à un atelier sur la façon dont les aînés peuvent transmettre leurs connaissances et leurs pratiques médicales aux jeunes générations pour leur bien-être futur. Les autorités des différentes organisations Kallawaya ont choisi environ 20 apprentis parmi des hommes et des femmes Kallawaya, qui étaient déjà déterminés à se consacrer à cette pratique, pour qu’elles en apprennent davantage. L’atelier a également offert l’occasion à un facilitateur formé par l’UNESCO d’introduire les concepts de base de la Convention de 2003 en tant que cadre approprié pour les communautés Kallawaya, et les communautés autochtones en général, pour sauvegarder leur patrimoine culturel immatériel. Des exercices pratiques d’inventaire ont été organisés en abordant la question fondamentale du consentement libre, préalable et éclairé des communautés concernées.
Cette activité fait partie d’une initiative plus large de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des communautés Kallawaya, menée par le Ministère des cultures et du tourisme, le Service de formation de radio et télévision pour le développement de l’Université catholique bolivienne « San Pablo » et l’UNESCO, grâce au généreux soutien du gouvernement du Japon.
Documents
Inventaire du patrimoine culturel immatériel en Equateur
02/07-09-2015Loja (Équateur)
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Du 2 au 7 Septembre 2015, le processus de l’inventaire s’est déplacé dans la ville de Loja, province de Loja, où les membres de Saraguro, Shuar et les communautés métisses ont été formés à l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés dans la commune de Malacatos, ainsi que des représentants des gouvernements locaux (CALVAS, Catamayo, Chaguarpamba, Gonzanamá, Loja, Olmedo, paltas , Puyango, Quilanga et Zapotillo) et des Ministères de la culture. Cette étape a été suivie par un exercice d’inventaire où les participants enregistreront les traditions orales et les systèmes de connaissances.
Organisé par l’UNESCO et l’INPC, l’atelier a été possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement du Japon.
Documents
Inventaire du patrimoine vivant en Equateur
24/29-08-2015Riobamba (Équateur)
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Le processus d’inventaire continue maintenant à Riobamba, province de Chimborazo, à travers un atelier du 24 au 29 août 2015, qui a réuni les tailleurs de pierre, les porteurs de traditions orales de la Culture Zapara et les communautés Qhapaq Ñan, des fonctionnaires publiques de plusieurs municipalités (Alausí, Chambo, Chunchi, Colta, Cumanda, Guamote, Guano, Pallatanga, Penipe et Riobamba), et des représentants du Ministère de la culture et du patrimoine et de l’Institut national du patrimoine culturel (INPC). Le point central de l’atelier s’est concentré sur la participation des communauté dans l’identification et la définition du patrimoine culturel immatériel, la collecte de données, l’organisation et la gestion, en tant qu’étape clé dans la sauvegarde du patrimoine immatériel. Un exercice de terrain relatif à l’inventaire a été réalisé avec les populations de Guano et Calpi, mettant l’accent sur le patrimoine vivant des tailleurs de pierre et comprenant la cartographie des carrières sur les pentes du Chimborazo.
Organisés par l’UNESCO et l’INPC, l’atelier est rendu possibles grâce à la généreuse contribution du gouvernement du Japon.
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Evaluation des besoins pour renforcer les capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Égypte
09/15-08-2015Caire (Égypte)
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L’évaluation des principaux besoins pour la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du PCI en Egypte s’intègre dans un projet régional pour le renforcement des capacités de sauvegarde du PCI dans huit pays d’Afrique et de la région arabe. Ce projet exécuté par la Section du Patrimoine Culturel Immatériel de l’UNESCO, est financé par l’Abu Dhabi Tourism and Culture Authority (ADTCA)
Ce rapport rend compte des activités menées dans le cadre d’une mission de 10 jours effectuée en avril puis en août au Caire (Egypte) avec le concours du Bureau régional de l’UNESCO en Egypte. La mission a consisté à rencontrer les principaux acteurs des institutions publiques et des associations impliquées dans le processus de sauvegarde du PCI dans le but d’identifier les besoins et proposer un projet pour le renforcement des capacités en Egypte.
Atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 de l’UNESCO
27/31-07-2015Praia (Cabo Verde)
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L’Institut du Patrimoine Culturel de Cabo Verde organise, en coopération avec le siège de l’UNESCO et le Bureau Régional de Dakar, un atelier sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au niveau national. L’atelier, qui aura lieu du 27 au 31 juillet 2015 dans la capitale de Cabo Verde, permettra de discuter la portée et les objectifs ainsi que les obligations des Etats parties dans le cadre de cet instrument juridique international.
Dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO visant à renforcer les capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine vivant dans les pays africains de langue portugaise (PALOP), l’atelier rassemblera 30 participants cabo-verdiens, y compris les parties prenantes locales et nationales. Dans le but de renforcer la coopération régionale parmi les pays PALOP, la formation sera co-facilitée par un expert brésilien et mozambicain, préalablement formés à ce même programme. En outre, des représentants des autorités culturelles de l’Angola et de Guinée-Bissau prendront aussi part à cet atelier.
Cet atelier est possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Documents
Le Suriname sur la voie de progrès importants pour la sauvegarde de son patrimoine vivant
27/31-07-2015Paramaribo (Suriname)
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Alors que le Suriname se rapproche de la ratification de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, il est opportun pour les membres des communautés, les décideurs politiques et les représentants gouvernementaux et non-gouvernementaux de se réunir afin de tracer la voie à suivre dans la sauvegarde de leur patrimoine vivant.
Du 27 au 31 juillet 2015, un atelier de cinq jours aura lieu à Paramaribo visant à clarifier le processus et les mécanismes pour la ratification et la mise en œuvre réussie de la Convention de 2003, y compris un aperçu de ses objectifs, de ses concepts et de ses principes clés. L’atelier offrira également une plate-forme aux participants pour réfléchir collectivement sur les expériences et les défis dans la sauvegarde de leur patrimoine culturel immatériel.
Organisé par le Bureau multipays de l’UNESCO à Kingston pour les Caraïbes en étroite collaboration avec la Direction de la culture du Suriname et la Commission nationale du Suriname pour l’UNESCO, cet atelier s’inscrit dans le cadre d’un projet de renforcement des capacités pour améliorer la sauvegarde du patrimoine vivant dans les Caraïbes néerlandaises et au Suriname. Ce projet est rendu possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement des Pays-Bas au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Atelier sur la mise à disposition d’une assistance technique aux Etats parties demandant une assistance internationale
20/22-07-2015Paris (France)
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L’assistance internationale est au cœur même de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Malheureusement, cependant, son utilisation n’a pas atteint le niveau espéré lors de la rédaction de la Convention. En effet, peu de demandes ont été présentées par les États parties jusqu’à présent et encore moins étaient d’une qualité suffisante pour justifier l’approbation par le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du le patrimoine culturel immatériel. Pour faire face à ce défi, depuis un an, une assistance technique a été fournie à un certain nombre d’États parties par des experts sur une base expérimentale.
Dans un effort de galvaniser l’option d’assistance internationale auprès des États parties, un noyau d’experts, qui ont mené une assistance technique ou peuvent être invités à le faire à l’avenir, se réunira avec le personnel de l’UNESCO pour un atelier de 3 jours à Paris du 20 au 22 Juillet 2015 afin d’évaluer les expériences de mise en œuvre de l’assistance technique à ce jour. Cet atelier sera l’occasion d’examiner les derniers avis du Comité concernant l’assistance internationale, d’examiner d’autres documents d’information élaborés par le Secrétariat pour aider les États parties et les experts techniques, et de fournir des orientations concernant le développement de futurs matériel pédagogique de renforcement des capacités sur l’assistance internationale.
Documents
Enquête sur le terrain et inventaire dans les communautés pilotes du Samoa
20-07-2015/21-08-2015Upolu, Savail (Samoa)
Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
01-07-2015/31-10-2015Philipsburg (Saint-Martin (partie néerlandaise))
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Sint Maarten focused its field exercise on their national dance, the Ponum dance which dates to the 19th century from the days of slavery and emancipation. This element was chosen because only a few practitioners and or performers are directly involved in the enactment or practice of the element. There were also recognizable threats to its continued enactment and transmission, hence its safeguarding was considered extremely important. Two training sessions were held with youth from various youth organizations and discussions were held on the purpose of the inventorying exercise. A total of 17 youth (9 females and 8 males) were trained in the inventorying activity, and worked along with the ICH Committee and 9 practitioners.
Évaluation des besoins dans le domaine du patrimoine culturel immatériel en Gambie
01/06-07-2015Banjul (Gambie)
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A needs assessment activity has been carried out in the Gambia in 2015 during which national stakeholders addressed the importance of promoting local cultures and the safeguarding of intangible cultural heritage. These activities allowed to point out the need to raise awareness and support national institutions to reinforce their knowledge of the 2003 Convention and its implementation mechanisms. The importance of building a national strategy to safeguard intangible heritage and to review current strategy documents on culture in general was also underlined. This activity aimed also do develop a project proposal based on the identified needs.
Des mesures collectives pour l’inventaire et la sauvegarde du patrimoine vivant en Equateur
24/29-06-2015Portoviejo (Équateur)
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Suite à la signature du Plan d’opérations entre l’UNESCO et l’Institut national du patrimoine culturel de l’Équateur (INPC) il y a quelques mois, des représentants des communautés de détenteurs de patrimoine, des municipalités, ainsi que des experts gouvernementaux et non-gouvernementaux, se sont pleinement mobilisés pour lancer une autre étape importante dans la sauvegarde de leur patrimoine vivant.
Visant à établir un inventaire du patrimoine immatériel dans la province équatorienne de Manabi, les représentants se sont réunis pour un atelier sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés dans la ville de Portoviejo du 24 au 29 juin 2015.
Le premier d’une série de mesures entreprises dans le cadre d’un projet de renforcement des capacités pour améliorer la sauvegarde du patrimoine vivant en Equateur, l’atelier a mis l’accent sur l’identification et la définition du patrimoine culturel immatériel, la collecte des données, le consentement libre, préalable et éclairé, ainsi que sur l’organisation de données. Il a été suivi par un exercice pratique d’inventaire à Machalilla, lors de la fête de Saint Pierre et Saint Paul et la réunion des chefs de gouvernement de la Castille et de la Guinée.
Organisé par le Bureau de l’UNESCO à Quito et l’INPC, cet atelier a été possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement du Japon.
Documents
Atelier de formation sur la mise en oeuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
08/12-06-2015Valposchiavo (Suisse), Tirano (Italie) (Italie)
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La région de Lombardie (Italie) et le canton des Grisons (Suisse) ont accueilli du 8 au 12 juin à Tirano (province de Sondrio, Italie) et Valposchiavo (Suisse) un atelier de formation portant sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, démontrant ainsi la prise de conscience croissante en Europe du besoin de renforcement des capacités pour mieux sauvegarder le patrimoine vivant.
Rassemblant 25 participants, dont des représentants des administrations locales et de la société civile, porteurs de traditions, chercheurs et professionnels des secteurs du tourisme et de l’environnement, l’atelier a introduit les objectifs et concepts fondamentaux de la Convention de 2003 et a amélioré la compréhension des participants quant aux obligations et activités de sauvegarde inhérentes à la mise en œuvre de la Convention aux niveaux national et local. Associant quatre jours de présentations, discussions et exercices, ainsi qu’une journée de travail sur le terrain dans les vignobles en terrasses de Valteline, l’atelier a également abordé la question des liens entre la Convention de 2003, la Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel (1972) et la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles (2005).
L’atelier a particulièrement souligné l’importance de la coopération transfrontalière dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et le besoin de faciliter la coopération entre les secteurs influant directement ou indirectement la viabilité du patrimoine vivant.
Financé par le fonds européen de développement régional (FEDER) et son mécanisme de coopération INTERREG promouvant la coopération entre régions européennes et le développement durable régional à travers l’Europe, l’atelier s’est tenu dans le cadre du projet ‘Ethnographie italo-suisse pour la promotion du patrimoine immatériel’ initié par la région de Lombardie. Menée en italien par une experte facilitatrice formée par l’UNESCO avec la collaboration d’une spécialiste en droit international, et basée sur le programme global et les matériels de formation de l’UNESCO pour le renforcement des capacités, cette activité a été organisée par l’agence régionale pour le service à l’agriculture et aux forêts (Italie) et l’association pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (Italie).
Documents
- Generic references for facilitators - Capacity-building resources: Cession of rights: anglais
- Generic references for facilitators - Capacity-building resources: Workshop report: anglais
- Liste des participants: anglais
- Presentation - Meeting: Poster: italien
- Programme: italien
Développement d’un mécanisme de suivi et d’évaluation pour les activités de renforcement des capacités
01/03-06-2015Paris (France)
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L’UNESCO a mis en place en 2009 un programme mondial de renforcement des capacités pour aider les pays à créer les environnements institutionnels et professionnels nécessaires pour sauvegarder efficacement le patrimoine culturel immatériel . Ce programme fait partie des efforts mondiaux et nationaux pour atteindre les objectifs de développement à long terme. Il a pour objet d’aider les pays bénéficiaires à rendre le développement plus pérenne, en garantissant la viabilité du patrimoine culturel immatériel présent sur leur territoire et en renforçant les relations à l’intérieur des communautés et entre elles grâce à une mise en œuvre efficace de la Convention. Cependant, les parties prenantes interrogées ont insisté sur l’importance du renforcement des capacités pour une mise en œuvre efficace de la Convention et beaucoup considèrent que, de tous les mécanismes mis en place jusque-là, le programme de renforcement des capacités est le plus important. Un mécanisme de suivi systématique permettrait à l’UNESCO de suivre, plusieurs mois et plusieurs années après, les résultats et l’impact dans les pays de ces actions de renforcement des capacités. Certes, quelques informations sur les résultats des projets, leurs points forts et leurs points faibles sont données dans les rapports sur la mise en œuvre des projets présentés lors des réunions d’évaluation ainsi que dans les évaluations des facilitateurs à l’issue des formations, mais il n’existe pas encore d’analyse à plus long terme de comportements durables ou de changements structurels (différentes approches ou pratiques appliquées) et de l’impact ultime de l’intervention de l’UNESCO dans le cadre des activités de renforcement des capacités : inventaires de meilleure qualité, amélioration de la politique et de l’environnement législatif, participation accrue de la communauté, participation efficace aux mécanismes internationaux, etc.
Avec le soutien du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel , l’UNESCO a entrepris de mettre en place un mécanisme de suivi et d’évaluation des activités engagées dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités.
L’établissement et la mise en œuvre de ce mécanisme posent un certain nombre de défis et exigera une réflexion créative ainsi que l’engagement des principaux groupes concernés. La participation de toutes les intervenants — homologues nationaux, notamment les commissions nationales, les bureaux hors siège de l’UNESCO, la Section du Patrimoine culturel immatériel au siège, mais aussi tous les acteurs concernés — est indispensable.
Documents
Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
27-05-2015/06-06-2015Kralendijk, Bonaire (Pays-Bas)
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This activity took place in May and June 2015 with a total of 22 participants (14 females and 8 males). The exercise was organised by the Bonaire UNESCO Work group in collaboration with the NGO Fundashon Historiko Kultural di Boneiru (FuHiKuBO) which has been documenting the intangible heritage of Bonaire and the Dutch Caribbean. Additional expertise was provided by the Bonaire UNESCO Work group (ICH Committee) who had all attended previous workshops (IMP and INV), and Rose Mary Allen, an anthropologist from Curaçao. Bonaire focussed its inventorying exercise on practitioners of traditional Bonaire music, haladó (traditional healing) and maskarada. Participants represented cultural foundations, the Ministry of Culture and migrant communities in Bonaire (Venezuelan and Colombian).
A stakeholder’s workshop on Eritrean Cultural and Natural Heritage Legislation
26/27-05-2015Asmara (Érythrée)
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A stakeholder’s workshop on Eritrean Cultural and Natural Heritage Legislation took place on 26 and 27 May 2015 in Asmara organized by the Cultural Affairs Bureau and the Asmara Heritage Project in coordination with UNESCO Nairobi Office. Workshop participants were Eritrean experts who represented stakeholder institutions such as the National Museum of Eritrea, National Commission of Eritrea for UNESCO, Research and Documentation Centre, Ministry of Tourism, Ministry of Public Works, Ministry of Energy and Mines, Department of Religious Affairs, Eritrean Institute of Technology, College of Arts and Social Sciences, Eritrean Police and the School of Law.
Prior to the workshop, a local expert was contracted to collect information on existing legal, policy and institutional frameworks. The workshop was facilitated by Mr Silverse Anami, a UNESCO trained facilitator.
The workshop was supported by the Kingdom of Norway voluntary supplementary contribution to the UNESCO’s Intangible Cultural Heritage Fund.
Atelier Élaboration de candidatures pour inscription sur les Listes de la Convention
25/29-05-2015Casablanca (Maroc)
Loi palestinienne sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
18/19-05-2015Ramallah (Palestine)
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L’atelier, qui est organisé par le ministère palestinien de la Culture et le Bureau de l’UNESCO à Ramallah, inclut des participants de divers ministères, la Commission nationale palestinienne pour l’éducation, la culture et les sciences ratifiée par la Palestine en 2011. Une fois finalisé, le projet de loi sera soumis aux autorités palestiniennes compétentes pour approbation.
L’atelier est le prolongement d’un processus qui a débuté en 2012 lorsque le ministère de la Culture a préparé un projet initial avec le soutien technique de l’UNESCO en menant une large consultation avec les institutions de la société civile. La loi sera une mesure de sauvegarde importante, et grâce au processus participatif duquel elle a émané, elle démontre le fort engagement des autorités nationales à assurer la viabilité du patrimoine vivant en Palestine.
Atelier sur le renforcement des cadres juridiques et politiques pour la sauvegarde du PCI au Nigéria.
14-05-2015Abuja, Nigéria (Nigéria)
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Des fonctionnaires nigérians, des responsables politiques, des représentants de la société civile et des membres de l’équipe de pays des Nations Unies se sont rencontrés à Abuja pour discuter de la révision de la politique culturelle de 1988 et d’autres législations nationales.
Cet atelier d’un jour, qui comprenait des participants de divers horizons, dont certains venant d’autres secteurs que celui de la culture, tels que l’agriculture, l’éducation et la santé, se sont penchés sur les besoins actuels des politiques de sauvegarde du patrimoine vivant au Nigéria et sur les modifications à apporter aux cadres juridiques correspondants.
Cette initiative fait partie du projet Fonds-en-dépôt japonais/UNESCO intitulé « Soutien à une mise en œuvre effective de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Nigéria ».
Un expert national a été engagé pour conduire une évaluation détaillée de la situation et proposer des recommandations qui sont attendues pour la fin du mois d’août 2015.
Document
Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
01-05-2015/30-06-2015Saba (Pays-Bas)
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The field exercise in Saba was organized by the ICH Committee and started with a meeting to inform all practitioners that attended the consultation in January about the community-based inventory training in Curaçao, as well as the organisation of the field exercise. Additionally, participants identified different forms of ICH to focus on in the field exercise, among which the Maypole dance, the preparation of traditional dishes within families and ICH related to agriculture and the production of food were highlighted. In the end, the Maypole dance was considered to be the most suitable as it was well known, had not been documented thus far and had few practitioners remaining.
Participants (7 females and 3 males) were trained to work with the UNESCO sample framework by members of the ICH Committee. A short documentary was produced about the Maypole dance that focused on the inventorying process. Practitioners were also trained in the various methodologies from the inventory workshop and in the use of the audio-visual equipment. Saba benefited from the participation of a maypole practitioner from St Maarten who conducted workshops with the children of Saba as well as worked with local practitioners. These children also formed part of the team trained to document this element.
Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
01-05-2015/30-06-2015Saint-Eustache (Pays-Bas)
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The ICH Committee focused its field exercise on Sint Eustatius (Statia) string band music due to its important role in social life and the urgency to safeguard the related knowledge and skills, as practitioners were getting older. Community members involved, as well as active practitioners, formerly active senior practitioners and people who identify with band music but aren’t active practitioners. The key persons from within the string band music community were approached by the ICH Committee to ask for their willingness to participate and their consent to be interviewed and provide information about this element. This was received with enthusiasm. There was great effort to involve youth in the field exercise, with two participants coming from the Simon Doncker Club, the youth organization of the St. Eustatius Historical Foundation. The involvement of this youth organization also provided a basis for future involvement in the inventorying of ICH. To involve more youth outside the cultural field, the ICH Committee organized a specific activity for youth focused on the transfer of knowledge and skills related to playing string band music and the manufacturing of the instruments. The footage of the field exercise will be used to produce a documentary on the Killi Killi band music to further raise awareness.
Atelier de formation sur la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel – l’État de Goa progresse vers un inventaire du PCI
27/28-04-2015Goa, Inde (Inde)
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La direction de l’Art et de la Culture du gouvernement de Goa a invité le bureau de l’UNESCO à New Delhi à organiser du 27 au 28 avril un atelier de formation sur la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Cet atelier mettra particulièrement l’accent sur l’établissement d’inventaires.
Quelque 27 professionnels de Goa ont pris part à cette conférence suivie de sessions pratiques pour discuter de la forme que prendrait un inventaire du PCI à Goa des méthodes de travail à adopter. Cet atelier était animé par trois personnes ressources de l’UNESCO, le Dr Shubba Chaudhuri (directrice des Archives et du Centre de recherche d’Ethnomusicologie), Mme Ananya Bhattacharya (directrice et contact de liaison chez Banglanatak dot com) et Mme Moe Chiba (directrice du secteur de la culture, bureau de l’UNESCO à New Delhi).
En Inde, la protection du patrimoine ressort à la fois de la compétence du Gouvernement de l’union et de celle du gouvernement des États. Toutefois, dans un pays aussi vaste, il serait sans doute plus efficace que le gouvernement de chaque État assume la responsabilité de dresser l’inventaire de son patrimoine et de mettre en œuvre les plans de sauvegarde plutôt que d’attendre que le gouvernement central n’en prenne l’initiative. Par conséquent, le bureau de l’UNESCO à New Delhi a entamé l’année dernière, en partenariat avec la Sangeet Natak Academi, une campagne de sensibilisation des membres des gouvernements des États à la Convention de l’UNESCO. Dans la foulée de l’atelier qui avait eu lieu à Delhi en décembre 2014, Goa est le premier État à avoir exprimé sa volonté d’aller plus loin dans l’établissement d’inventaires du PCI à l’échelle des États. Cet atelier de deux jours n’avait pas pour objectif de fournir des conseils clairs et précis sur la façon d’établir un inventaire du PCI à Goa, mais plutôt d’attirer l’attention des participants sur les éléments qui doivent être examinés et prévus avant d’entamer les recherches et le recueil des données pour l’inventaire. Parmi ces éléments on retrouve la taille de l’inventaire et le type de PCI qui s’y retrouvera, les données qu’il faudra recueillir pour chaque élément de PCI, la méthode d’organisation des données, les modalités pour recueillir les données, le suivi prévu de chaque élément du PCI de l’inventaire, etc.
Evaluation des besoins pour le renforcement des capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à Madagascar
24-04-2015/23-05-2015Antananarivo (Madagascar)
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Madagascar est l’un des pays francophones choisi pour bénéficier de l’appui financier de l’autorité d’Abu Dhabi pour la culture et le tourisme (ADTCA) dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. La mission à laquelle nous avons pris part a été préparée par le bureau UNESCO multi-Pays de Nairobi en relation étroite avec le ministère de la culture de Madagascar. Elle s’est déroulée du 24 avril au 03 Mai 2015. La mission a été aussi l’occasion de visiter un PCI local à savoir le savoir-faire traditionnel lié à la production et à l’artisanat de la soie dans le village d’Ambohitrabiby, à une cinquantaine de kilomètre de Tananarive. Madagascar est une grande île qui compte 18 groupes socioculturelle et une très forte communauté comorienne pour une population d’environ 23 millions d’habitants. Le pays est divisé en 22 régions administratives, mais le Ministère de la culture n’est déconcentre que dans 11 régions actuellement.
ADTCA évaluation des besoins au Soudan
03/10-04-2015Khartoum (Soudan)
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L’objectif principal de la mission est de travailler en relation avec l’institution culturelle nationale responsable pour identifier les capacités institutionnelles, les perspectives et besoins en ressources humaines des personnes qui travaillent dans le secteur du patrimoine culturel immatériel. La mission vise, à terme, à développer une proposition réaliste pour un projet local dans le domaine de la sauvegarde du PCI. Cette proposition de projet sera par la suite financée par l’Autorité d’Abu Dhabi pour le Tourisme et la Culture. Cette mission de consultance était organisée en collaboration avec la Section du patrimoine culturel immatériel située au siège de l’UNESCO, le bureau de l’UNESCO à Khartoum et le ministère fédéral de la Culture du Soudan et elle était menée par la spécialiste, Mme Marina Calvo.
Atelier sur le développement d’inventaires du patrimoine vivant avec la participation des communautés
30-03-2015/10-04-2015Sao Tome-et-Principe (Sao Tomé-et-Principe)
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La Direction nationale de la culture de Sao Tomé-et-Principe organise, en coopération avec l’UNESCO, un atelier sur le développement d’inventaires du patrimoine vivant avec la participation des communautés, dans l’esprit de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier qui aura lieu du 30 mars au 10 avril dans la capitale de Sao Tomé introduira les concepts, objectifs et méthodes d’inventaires ainsi qu’un travail pratique de terrain au sein de la communauté de Boa Morte.
Dans le cadre du projet de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine vivant dans les pays africains de langue portugaise (PALOP), l’atelier rassemblera 25 participants santoméens y compris les parties prenantes locales et nationales. Dans le but de renforcer la coopération régionale parmi les pays PALOP, la formation sera co-facilitée par un expert brésilien et mozambicain, préalablement formés à ce même programme. En outre, un technicien de Cabo Verde assistera à l’atelier en vue d’activités similaires prévues dans l’archipel au large des côtes de l’Afrique de l’Ouest.
Cet atelier est possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Documents
Evaluation des besoins pour le renforcement des capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à Djibouti
09-03-2015/17-04-2015Djibouti (Djibouti)
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Dans le cadre de l’activité « Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à Djibouti : évaluation des besoins et élaboration d’une proposition de projet » menée par l’UNESCO et financée par l’Autorité d’Abou Dhabi pour le tourisme et la culture (ADTCA), une expertise a été fournie entre mars et mai 2015 afin d’évaluer les besoins du Djibouti en matière de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, dans l’objectif de proposer un projet futur.
Evaluation des besoins pour le renforcement des capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Soudan
09-03-2015/10-04-2015Khartoum (Soudan)
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Dans le cadre de l’activité de « Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Soudan: l’évaluation des besoins et l’élaboration d’une proposition de projet » financé par l’Office du tourisme et de la culture Abu Dhabi (ADTCA), un service de consultation a été délivré de Mars à Mai ici à 2015 , y compris une mission au Soudan qui s’est déroulée du 3 au 10 avril 2015. Cette mission visait à identifier, en collaboration avec les institutions responsables de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Soudan, les besoins et les objectifs clés pouvant être traités dans le contexte de la stratégie de renforcement des capacités de l’UNESCO en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
L’activité a été coordonnée par la section du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO et le bureau de l’UNESCO à Khartoum (Soudan), en coopération avec la Commission nationale soudanaise pour l’UNESCO (NATCOM) et le ministère de la Culture du Soudan.
Evaluation des besoins pour l’amélioration des capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel aux Comores
28-02-2015/07-03-2015Moroni (Comores)
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Cette mission rentre dans le cadre du projet de Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans huit pays en Afrique et dans la région arabe(les Comores, Djibouti, l’Egypte, Madagascar, la Palestine, le Soudan du Sud, le Soudan et le Yémen): évaluation des besoins et élaboration de propositions de projet financé par l’Autorité d’Abu Dhabi pour le Tourisme et pour la Culture (ADTCA). Dans ce cadre cette mission de 7 jours s’est déroulée du 28 février au 7 mars 2015 aux Comores pourétablir une base solide afin de soutenirce paysdanssesefforts pour sauvegardersonpatrimoine vivant, en conformité avec la Convention de 2003 de l’UNESCO.
Formation conjointe sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés
22/28-02-2015Willemstad (Curaçao)
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Après une première formation conjointe sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, des représentants des îles néerlandaises des Caraïbes (Aruba, Bonaire, Curaçao, Saba, Saint-Eustache et Saint-Martin) franchissent une étape significative dans la mise en œuvre d’une stratégie coordonnée pour sauvegarder leur patrimoine vivant.*
Du 22 au 28 février 2015, des membres des communautés, des experts gouvernementaux et des experts issus de la société civile se rencontrent à Curaçao pour un atelier sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel par les communautés dont l’objectif principal est de développer un cadre de travail pour l’inventaire de leur patrimoine. L’atelier mettra l’accent sur la participation des communautés à l’identification et la définition du patrimoine culturel immatériel, le recueil de données, l’organisation et la gestion, jetant les bases d’un exercice d’inventaire de 5 jours sur le terrain dans chacune des six îles, ainsi que des futurs travaux d’inventaire et de sauvegarde.
Organisé par le bureau de l’UNESCO à Kingston en étroite collaboration avec les partenaires nationaux des îles concernées, cet atelier est réalisé dans le cadre d’un projet de renforcement des capacités pour renforcer le patrimoine vivant dans les îles néerlandaises des Caraïbes et du Suriname. Ce projet a été rendu possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement des Pays-Bas au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
17/19-02-2015Goma Nord-KIVU (République démocratique du Congo)
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Cet atelier avait pour objectif global d’accroître la prise de conscience et d’améliorer la compréhension de la Convention de 2003 pour sa mise en œuvre efficace et pour la mise en place d’une bonne politique de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des communautés du Nord-Kivu.
Documents
LIST_DOC:00494
Atelier de formation sur la Convention de 2003
09/13-02-2015Beyrouth, Liban (République arabe syrienne)
A 2 day Capacity Building and Consultative Conference for parliamentary Select Committee on Culture, Youths and Sports and Key Stakeholders on the Seven(7) UNESCO Conventions Ghana has tabled for Ratification(for the protection and preservation of cultural Heritage)through the 2003 UNESCO Convention(for the safeguarding of Intangible Cultural Heritage).
09/10-02-2015Accra (Ghana)
Formation des facilitateurs de la région Asie-Pacifique sur les plans de sauvegarde et le soutien des politiques en matière de patrimoine culturel immatériel
19/23-01-2015Shenzhen (Chine)
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Atelier de formation des formateurs à la sauvegarde en Asie et Pacifique
Quelles sont les connaissances et compétences requises pour élaborer avec efficacité des plans de sauvegarde du patrimoine culturel ? Comment réussir à acquérir ces compétences ? Ces questions sont au centre d’un atelier de formation qui réunit onze experts-facilitateurs et dix spécialistes de la culture de l’UNESCO engagés dans la mise en œuvre d’une stratégie globale de renforcement des capacités dans la région de l’Asie et Pacifique. Les participants expérimenteront une nouvelle méthodologie interactive élaborée à cet effet par l’UNESCO. Ils discuteront également des nouvelles approches de formation dans deux autres domaines thématiques : développement de politiques et égalité des genres.
Le Centre international de formation sur le patrimoine culturel immatériel dans la région Asie-Pacifique (CRIHAP) accueille et soutient généreusement cet atelier de formation des formateurs à l’élaboration de plans de sauvegarde et au conseil en politiques qui aura lieu à Shenzhen (Chine) du 19 au 23 janvier 2015. Cinq spécialistes chinois proposés par le CRIHAP participeront en tant qu’observateurs dans cet atelier coorganisé par l’UNESCO ainsi que M. Rieks Smeets et Mme Janet Blake, tous deux spécialistes de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
L’atelier de formation de Shenzhen porte sur les plans de sauvegarde et les politiques de soutien du patrimoine culturel immatériel. Il s’adresse aux facilitateurs de l’UNESCO de la région Asie-Pacifique spécialistes dans le domaine de la formation et du conseil en matière de stratégie globale de l’UNESCO pour le renforcement des capacités afin de mettre en œuvre efficacement la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003). L’atelier accueillera en outre d’autres experts sélectionnés pour devenir facilitateurs, des collègues des bureaux hors siège de la région et cinq experts chinois. Les participants seront 26 au total.
L’atelier mettra l’accent sur l’élaboration sur les plans de sauvegarde puisque les experts et les membres des bureaux hors siège de plusieurs régions ont décidé d’en faire une priorité au cours de la réunion pour examiner le programme qui s’est tenue récemment. En effet, sans la maîtrise des compétences et des connaissances requises pour l’élaboration de plans solides pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, cette dernière ne peut être durable. De plus, des programmes de sauvegarde bien conçus, assortis de délais et de budgets sont une condition pour l’obtention de l’assistance internationale venant du fonds pour le patrimoine culturel immatériel pour les projets de sauvegarde et la préparation de dossiers de candidatures pour la liste de sauvegarde urgente.
Pour cette raison, la Section du patrimoine culturel immatériel a mis en place une méthodologie pertinente et invitera les experts participants à faire parvenir leurs commentaires pour finaliser les documents. De même, l’UNESCO partagera les progrès réalisés en matière de développement d’approches de formations et de documents sur deux autres thèmes, le développement de politiques et l’égalité des genres, avec les participants pour recevoir leurs retours et conseils. Ces deux sujets occupaient une position dominante dans la récente évaluation de l’activité normative du secteur de la culture de l’UNESCO. Ce bilan à a donc amené la conclusion que le programme de renforcement des capacités devait leur accorder plus d’importance. Le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel consacre d’ailleurs cette recommandation dans une décision sur le suivi de l’Évaluation (DÉCISION 8.COM 5.c.1).
L’atelier de formation a donc deux objectifs : améliorer les compétences en matière de sauvegarde, de développement de politiques et d’égalité de genres tout en utilisant les connaissances et l’expérience des spécialistes pour recevoir des conseils.
Documents
Atelier sur la sensibilisation et le renforcement de capacités pour la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et sa mise en œuvre à l’échelle nationale
02/04-12-2014New Delhi (Inde)
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En partenariat avec la Sangeet Natak Akademi de Delhi, l’UNESCO a organisé, du 2 au 4 décembre 2014, un atelier portant sur la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de 2003. Les participants ont eu l’occasion de se familiariser aux idées maîtresses de la Convention, telles que l’importance de l’inventaire avec la participation des communautés et les multiples possibilités quant aux mesures de sauvegarde. L’atelier était animé par Mme Shubha Chaudhuri, facilitatrice formée par l’UNESCO. Des organisations qui travaillent avec les communautés locales ont présenté des études de cas pour illustrer la participation des communautés à la documentation du PCI et les modes de vie liés à la culture pour le développement rural. Le dernier jour, les participants ont pris part à un exercice de jeu de rôle pour établir un inventaire du PCI. Ils ont été répartis en trois groupes – les communautés, les ONG et les représentants du gouvernement. Le but de l’exercice était de comprendre les perspectives de chaque groupe vis-à-vis des autres intervenants et les difficultés de travailler ensemble. Ce n’était pas le seul moment enrichissant de l’atelier : les personnes présentes ont pu assister à une représentation de danse qawaali et sattreya qui a été suivie par une séance de questions-réponses avec les danseurs. Le bureau de l’UNESCO à Delhi envisage maintenant d’organiser des ateliers similaires dans différentes régions de l’Inde pour encourager une plus grande participation des gouvernements des différents Etats du pays.
Atelier de renforcement des capacités sur l’élaboration des inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés
17/25-11-2014Bujumbura (Burundi)
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Un atelier de renforcement des capacités pour l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés a été organisé par la Maison de l’UNESCO pour une culture de la paix au Burundi en partenariat avec le Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture. Cet atelier, qui s’est tenu au Centre communautaire de Bujumbura, a permis de former 29 participants issus du Ministère ainsi que des représentants des associations culturelles engagées dans des activités de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, à la méthodologie complète d’élaboration des inventaires avec la participation des communautés selon les principes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. La grande majorité des participants avaient déjà bénéficié par le passé d’une formation sur la mise en œuvre de la Convention au niveau national et étaient donc déjà familiers avec les notions et concepts-clés de la Convention. L’atelier a été facilité par Monsieur Domitien Nizigiyimana, expert du Réseau mondial de l’UNESCO pour le patrimoine immatériel, et comprenait un stage pratique de réalisation d’inventaire sur le terrain permettant de mettre en application la théorie apprise au cours des jours précédents.
Cette formation a rencontré un réel succès à bien des égards. Tout d’abord par l’implication très active des participants tout au long de l’atelier, qui ont particulièrement apprécié la mise en pratique à travers le stage. Le respect de la parité homme/femme ainsi que la présence des jeunes a permis de diversifier les points de vue et de mobiliser un intérêt partagé à l’égard du patrimoine culturel immatériel. Une autre leçon apprise est que ce genre d’exercice contribue à rassurer les communautés qui s’inquiètent beaucoup de l’avenir incertain du patrimoine culturel immatériel qui, selon eux, est délaissé par la jeunesse. Le fait de les avoir contactés avant l’atelier pour recueillir leur consentement en leur demandant de livrer aux participants leurs connaissances pour l’exercice pratique et d’avoir séjourné ensemble pendant le stage a été très apprécié par les communautés.
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LIST_DOC:00466
Atelier de formation sur la mise en oeuvre de la Convention de 2003
10/14-11-2014Niamey (Niger)
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Un représentant du Ministère de la Culture, des Arts et des Loisirs du Niger ouvrira lundi prochain, le 7 novembre, un atelier de formation de cinq jours sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, avec la participation du Bureau technique de coopération de l’Espagne au Niger.
Organisé avec la Direction nationale du patrimoine culturel du Niger et le soutien de l’UNESCO, l’atelier (tenu à Niamey du 10 au 14 novembre) est la première de trois activités majeures de formation du programme de renforcement des capacités mis en œuvre au Niger pour la sauvegarde de son patrimoine vivant. La formation permettra aux participants d’acquérir les connaissances, les outils et les ressources requises sur les principes et les mécanismes de la Convention et ses directives opérationnelles. L’objectif est d’aider le Niger à remplir ses obligations nationales dans le cadre de la Convention en développant un niveau approprié de capacités nationales, à la fois au sein des institutions publiques et parmi les principaux acteurs de la société civile et les communautés.
La formation sera suivie d’une réunion de consultation sur le cadre institutionnel et législatif relatif au patrimoine culturel national afin de discuter, proposer et valider des amendements spécifiques à la loi n 97-022 sur le patrimoine culturel national du Niger et son décret d’application en vue de leur contribution à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Niger. Cette réunion de consultation a lieu dans le cadre du processus de révision de la loi, un effort initié par les autorités nationales en 2013.
La prochaine étape sera une formation sur les inventaires participatifs du patrimoine culturel immatériel, impliquant la pleine participation des communautés, suivie de deux projets pilotes d’inventaire sur le terrain où les méthodologies et outils acquis pendant la formation seront appliqués.
Atelier au Mozambique : vers une stratégie nationale pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
27-10-2014/01-11-2014Chinhambudzi, Manica et Maputo (Mozambique)
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L’institut mozambicain pour la recherche socio-culturelle, l’Arquivo do Património Cultural (ARPAC) organise, en collaboration avec l’UNESCO, un atelier du 27 au 31 octobre 2014 à Manica et Maputo. L’événement traitera du statut d’étape clé des inventaires du patrimoine culturel immatériel vers davantage de mesures de sauvegarde. Il passera en revue les résultats des activités du précédent projet pour développer une stratégie nationale pour la promotion et la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel du Mozambique. Le 1er novembre une journée supplémentaire sera dédiée à la préparation de nouvelles activités pour le projet-cadre pour les pays africains lusophones, grâce à la généreuse contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
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Atelier sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés au Myanmar
27-10-2014/03-11-2014Nyaung Shwe (Myanmar)
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Du 27 octobre au 3 novembre 2014, dans la ville de Nyaung Shwe (Inle, État Shan du sud) a eu lieu un atelier du projet de renforcement de capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Myanmar consacré à l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés. Cet atelier a réuni 38 participants de différents ministères et instituts, y compris entre autres le Ministère de la culture, le Ministère des transports, la Commission historique du Myanmar, la Bibliothèque nationale, l’Université de Yangon et l’Université de la Culture de Mandalay. Plusieurs membres des communautés de la région des communautés ont aussi participé à l’atelier en tant que détenteurs de manifestations de patrimoine culturel immatériel représentatives de la diversité culturelle du pays.
Animée par deux membres du réseau d’experts formés par l’UNESCO, Noriko Aikawa-Faure du Japon et Paritta Koanantakool de Thaïlande, cette formation visait à offrir aux participants les connaissances et les compétences essentielles pour leur permettre de planifier et de faciliter l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel, en l’adaptant aux caractéristiques des communautés qui le pratiquent et le transmettent. L’atelier a inclus deux jours de pratique de terrain dans les régions de Taunggi, Kyauk Tine and du Lac Inle.
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Evaluation des besoins pour le renforcement des capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Soudan du Sud
21/28-10-2014Djouba (Soudan du Sud)
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La mission au Soudan du Sud pour consulter les autorités nationales et d’autres parties prenantes sur les besoins du pays en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel sur son territoire a été entreprise du 21 au 28 octobre 2014. Cette mission faisait partie du projet financé par l’ADTCA «Renforcement des capacités de sauvegarde patrimoine culturel immatériel pour le développement durable. »Les consultations qui ont eu lieu à Juba - la capitale de l’État équatorial central - et animées par Mme Ellen Lekka, spécialiste de la culture au bureau de l’UNESCO à Juba et M. Elfatih Atem du ministère de la culture, de la jeunesse et des sports étaient avec: un sous-ministre (ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports), deux hauts fonctionnaires (ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports); cinq responsables culturels (Ministère de la culture, de la jeunesse et des sports); six dirigeants d’organisations non gouvernementales; cinq universitaires à l’Université de Juba; trois responsables d’institutions des Nations Unies (UNESCO, PNUE et PNUD); une organisation médiatique couvrant les questions culturelles et un chef traditionnel. Mme Ellen Lekka et M. Elfatih Atem ont également animé une conférence publique à l’Institut français de l’Université de Juba, présentée conjointement avec M. Joseph Abuk sur le thème “Bénéficier de notre patrimoine vivant” et une interview radiophonique sur la mission diffusée à Radio Miraya du Mission des Nations Unies en République du Soudan du Sud.
Réunion de bilan de la stratégie globale de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Europe et en Asie centrale
23/26-09-2014Sofia (Bulgarie)
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Après trois ans, l’heure est venue de faire le bilan de la stratégie de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO en Asie centrale et en Europe. Pour cette raison, le Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Europe du Sud-Est organise une réunion de bilan à Sofia, en Bulgarie, du 23 au 26 septembre 2014, en partenariat avec la section patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Ce sera la quatrième réunion de bilan de ce type, en effet, d’autres ont déjà au lieu pour la région Asie-Pacifique (à Pékin en novembre 2012), pour l’Amérique latine et la région des Caraïbes (à Cuzco en septembre 2013) et pour la région arabe (à Koweït du 9 au 10 mai 2014).
Ces réunions permettent de revoir le programme et de mettre à jour les connaissances des derniers avancements concernant la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel tout en introduisant des nouveaux matériels de référence et de formation mis au point par la section patrimoine culturel immatériel.
La réunion de Sofia rassemblera un groupe de 20 participants parmi lesquels on retrouvera des facilitateurs formés par l’UNESCO chargés de mettre en œuvre la stratégie globale de renforcement des capacités en Europe et en Asie centrale, des spécialistes du programme de la section patrimoine culturel immatériel et des bureaux hors siège de l’UNESCO ainsi que du personnel professionnel du Centre. Cet important exercice de réévaluation et de formation est rendu possible grâce au soutien généreux des autorités bulgares et aux contributions du Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Projet conjoint sur la mise en œuvre de la convention de 2003 aux Îles néerlandaises des Caraïbes
08/12-09-2014Phillipsburg (Saint-Martin (partie néerlandaise))
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Dans le cadre d’un projet de deux ans pour renforcer les cadres nécessaires pour la sauvegarde dans les îles néerlandaises des Caraïbes et au Suriname, la première formation conjointe aura lieu à Phillipsburg à Saint-Martin du 8 au 12 septembre 2014. Cet événement rassemblera des représentants des six îles (Aruba, Bonaire, Curaçao, Saba, Saint-Eustache et Saint-Martin) pour une formation sur la mise en œuvre de la Convention.
Ensuite, une seconde formation conjointe se tiendra à Curaçao en mars 2015 et elle portera sur le processus et les cadres de l’établissement d’inventaire du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés et organisera des exercices d’élaboration d’inventaire sur le terrain sur les six îles. De plus, une formation nationale sur la ratification et la mise en œuvre de la Convention aura lieu pour répondre aux besoins spécifiques du Suriname.
Ce projet fait partie de la stratégie globale de renforcement des capacités et a lieu grâce à la contribution du gouvernement des Pays-Bas au Fonds du patrimoine culturel immatériel. Il est organisé par le bureau de l’UNESCO pour les Caraïbes à Kingston en partenariat avec les commissions nationales pour l’UNESCO de plusieurs pays ainsi que des acteurs nationaux et locaux.
Atelier de formation à l’inventaire avec la participation des communautés sur le patrimoine culturel immatériel
05/15-09-2014Bamako (Mali)
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Un atelier de formation à l’inventaire avec la participation des communautés sur le patrimoine culturel immatériel (PCI) s’est déroulé au Musée national de Bamako, du 5 au 15 septembre 2014. Cet atelier fait partie de la première phase du projet « Inventaire du patrimoine culturel immatériel du Mali en vue d’assurer sa sauvegarde urgente », qui est le premier projet à avoir été financé au titre du mécanisme d’assistance internationale d’urgence du Fonds du patrimoine culturel immatériel pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, pour un montant de plus de 300 000 dollars.
Organisé par la Direction nationale du patrimoine culturel du Mali (DNPC) en collaboration avec l’UNESCO, l’atelier a été placé sous la présidence de Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo, Ministre de la Culture pour la cérémonie d’ouverture, en présence de M. Lazare Eloundou, représentant du Bureau de l’UNESCO à Bamako et des représentants de plusieurs partenaires techniques et financiers dont ceux de la MINUSMA et de l’Ambassade de France au Mali.
La formation, première d’une série d’ateliers à venir au niveau local sur l’inventaire avec la participation des communautés du patrimoine immatériel, a réuni au total 20 participants, dont certains membres des antennes régionales de Gao, Kidal, Mopti et Tombouctou et des agents de la DNPC, et a été facilitée par deux experts du réseau UNESCO venus du Burkina Faso et du Burundi. Grâce à l’appui logistique de la MINUSMA, les participants venant des régions du nord ont pu effectuer le voyage jusqu’à Bamako et prendre part aux différents modules de formation dans les meilleures conditions.
Le patrimoine immatériel du Mali, une richesse nationale à préserver
« La compréhension du patrimoine culturel immatériel de communautés différentes contribue au dialogue interculturel et encourage le respect mutuel pour d’autres modes de vie. Il contribue à la cohésion sociale et aide les individus à éprouver un sentiment d’appartenance à une communauté et à la société dans son ensemble », a déclaré M. Lazare Eloundou, Représentant du Bureau de l’UNESCO à Bamako, dans son mot de bienvenue.
La crise sécuritaire et sociopolitique qu’a connue le Mali entre avril 2012 et janvier 2013 a particulièrement ébranlé le patrimoine culturel immatériel du nord du pays. La sauvegarde urgente de ce patrimoine culturel doit donc demeurer une priorité absolue dans le contexte post-crise de ces régions. La connaissance et l’identification de ce patrimoine vivant fait de pratiques et manifestations culturelles séculaires, lesquelles sont des composantes essentielles du tissu identitaire malien, sont en effet cruciales pour le retour d’une coexistence harmonieuse et d’une paix durable entre les peuples.
La formation de 10 jours avait pour but ultime de définir les bases de la stratégie d’inventaire du patrimoine culturel immatériel (PCI) du nord Mali et de la sensibilisation des communautés à la préservation de cette richesse culturelle. De fait, comme l’a souligné la communauté internationale dès 2003 dans le préambule de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, ce dernier est le « creuset de la diversité culturelle et garant du développement durable » de nos sociétés et communautés.
Des modules de formation adaptés au travail de terrain
L’un des objectifs de la formation était aussi et surtout de fournir les outils techniques et pédagogiques nécessaires aux personnels qui sera chargé de piloter l’exercice d’inventaire afin qu’ils puissent à leur tour véhiculer ces connaissances aux équipes d’enquêteurs qui réaliseront l’inventaire aux côtés des communautés. Les participants ont pu explorer une multitude de sujets, tels que la typologie du patrimoine immatériel à inventorier, le cadre institutionnel et règlementaire qui s’applique à la gestion du PCI au Mali, la stratégie et les techniques de l’inventaire, un état des lieux des ressources du PCI pour chacune des régions représentées ou encore la dimension linguistique rattachée à ce processus de documentation.
« Aux participants, il permettra de mieux connaître les objectifs de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et de maitriser les outils, les techniques et le matériel d’inventaire. L’atelier sera surtout une opportunité pour mieux comprendre la nécessité de sauvegarder, par les communautés, les ressources du patrimoine culturel immatériel dans nos localités marquées par la civilisation de l’oralité », a rajouté le Ministre de la Culture, Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo, dans son discours d’ouverture.
« La formation nous a appris beaucoup de nouvelles choses, car lorsqu’on parle de patrimoine immatériel, il faut dire que nous n’en avons qu’une connaissance très superficielle. Les démonstrations m’ont donné une grande satisfaction et je tiens aussi à féliciter les facilitateurs pour leurs qualités pédagogiques. J’ai aimé leur facilité d’esprit et d’expression et grâce à leur enseignement, je vais pouvoir continuer à me recycler », a tenu à souligner M. Boubacar Touré, participant de l’atelier et ancien Directeur Régional de la Jeunesse, des Sports, des Arts et de la Culture de Tombouctou.
Les modules dispensés sur le terrain, notamment avec la communauté de Sogonafing, un quartier situé en commune III de Bamako, ont permis aux participants de se familiariser avec les aspects concrets et pratiques
« C’était vraiment intéressant, le stage sur le terrain nous a surtout beaucoup appris. Nous avons acquis de nouvelles connaissances et appris comment procéder et comment s’adresser aux gens. Avec ces connaissances, nous pourrons mettre en pratique et former d’autres personnes sur le terrain », a également affirmé Mme Assitan Samaké, venue de l’aire culturelle du Djitoumou, région de Koulikoro.
Cette activité est en lien avec le processus de mise en œuvre du projet de réhabilitation du patrimoine endommagé du nord Mali, entamé par le bureau de l’UNESCO à Bamako en mars 2014 et constitue un pas de plus vers une cohésion sociale et une paix retrouvée.
« Le but des inventaires n’est pas tant de constituer un fonds documentaire à des fins muséales ou de recherche mais bien de permettre aux communautés, par l’identification et la définition de leur propre patrimoine culturel immatériel, de faire un premier pas vers son respect et la compréhension de son utilité dans le développement de la vie communautaire, que ce soit par exemple au niveau de la santé, de l’éducation, de l’environnement ou de la résolution des conflits », nous rappelle Cécile Duvelle, Secrétaire de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel.
La prochaine étape du projet est l’organisation par les antennes régionales de la formation des équipes de l’inventaire des cercles et communes du ressort de chacune des quatre régions.
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Evaluation des besoins Sauvegarde du PCI en République d’Albanie
01-09-2014/30-11-2014Albanie (Albanie)
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The current report results from the needs-assessment survey that was carried out in September-November 2014 on the safeguarding of intangible cultural heritage in Albania. The survey was guided by the intention to explore the legislative and policy documents in the sphere of ICH in Albania, to analyze the institutional and administrative framework for the implementation of UNESCO’s 2003 Convention, and to study the situation of awareness-raising activities, inventorying procedures, and educational and training programs on ICH issues in the country. The goal was to outline the major challenges encountered in the implementation of the 2003 Convention on the national level, to identify the main needs in the field of ICH safeguarding, and to propose recommendations for improvement, with a special attention to aspects of urgency, sustainability, and long-terms effects. In accordance with the formulated expectations, the needs assessment pursued the development of a multi-year action plan, which includes practical proposals for capacity-building and for enhancing the safeguarding policies in the country. The current needs assessment will enable to tailor the efforts of UNESCO within the framework of its global capacity-building strategy for the safeguarding of the intangible cultural heritage
Réunion consultative nationale au Curaçao
24/25-06-2014Willemstad (Curaçao)
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Une réunion consultative nationale, organisée par la Commission nationale du Curaçao pour l’UNESCO en collaboration avec le Bureau multipays de l’UNESCO à Kingston pour les Caraïbes, a eu lieu du 24 au 25 juin 2014 au Jeugd Centrale Curaçao (JCC), Curaçao. La réunion a rassemblé une quinzaine de participants représentant le ministère de l’Éducation, des Sciences, de la Culture et du Sport, le National Archaeological-Anthropological Museum (NAAM), le musée Tula, le Curaçao Museum, des experts culturels, des artisans et des praticiens du Curaçao. L’objectif de cette consultation nationale était de sensibiliser les parties prenantes sur le futur projet « Renforcement des capacités du Suriname et des îles néerlandaises des Caraïbes pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel », financé par une contribution extra-budgétaire du Gouvernement néerlandais au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Tunisie: atelier sur les inventaires
19/26-06-2014Kerkennah (Tunisie)
Consultation nationale pour le renforcement des capacités de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel pour le développement durable en Ethiopie
10/11-06-2014Adama (Éthiopie)
Réunion de bilan: sauvegarde du patrimoine culturel immatériel du Belize, de la Jamaïque et de Trinité-et-Tobago
10/11-06-2014Kingston (Jamaïque)
Maroc: atelier sur les inventaires. Marrakech
20/27-05-2014Marrakech (Maroc)
Le Myanmar poursuit sa marche vers la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
19/24-05-2014Mandalay (Myanmar)
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L’atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 a fourni une vue d’ensemble des objectifs et des concepts clés de cette convention ainsi que des obligations des Etats parties et des mécanismes de coopération internationaux. Trente-cinq personnes, dont la plupart avaient participé aux réunions consultatives de novembre 2013, y ont pris part. Des experts de la culture de sept Etats sur huit étaient présents et la plupart des représentants ministériels présents faisaient partie du Département d’archéologie et des musées nationaux qui a mené plusieurs études et recherches de documentation importantes concernant le PCI au travers du réseau des Musées nationaux et des experts de la culture. Grâce à la participation accrue de représentants du Département d’archéologie et des musées nationaux, les discussions ont été plus productives et cela a permis une plus grande contribution à l’échelle des Etats (provincial).
Cet atelier portait initialement sur la ratification et la mise en œuvre de la Convention de 2003. Cependant, comme le Myanmar a ratifié la Convention deux semaines avant le début de l’événement, les deux facilitateurs, Paritta Koanantakool et Noriko Aikawa-Faure, ont ajusté leur programme pour se focaliser uniquement sur la mise en œuvre efficace de la Convention à l’échelle nationale. Les facilitateurs ont ajouté au programme une journée de visite sur le terrain dans des endroits où sont pratiqués les techniques d’artisanat et les rituels mentionnés ci-dessous. Cette visite sur le terrain a permis aux participants de comprendre le rôle essentiel dans la sauvegarde du PCI.
- Coulage du bronze à Tamapawaddy, dans la commune de Chanmyathase, à Mandalay
- Technique de tissage de la soie à Muand Dan Quarter, dans la commune d’Amarapura, à Mandalay
- Culte animiste de Nats à Mandalay : quatre médiums/praticiens du culte ont d’ailleurs été interviewés.
Atelier de formation des formateurs : mettre en œuvre la Convention de 2003 de l’UNESCO à l’échelle nationale
12/16-05-2014Trondheim (Norvège)
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En 2014, la formation de formateurs sur la mise en œuvre de la Convention a constitué la première étape pour constituer un groupe de facilitateurs dans les pays nordiques (le Danemark, la Finlande, l’Islande, la Norvège et la Suède) qui pourront animer des formations sur le renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et d’autres aspects de la mise en œuvre de la Convention pour le PCI.
Elaboration d’inventaires avec la participation des communautés au Tajikistan
11/17-05-2014Dushanbe (Tadjikistan)
Atelier régional : cadre conceptuel et législatif pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans la région arabe
05/09-05-2014Koweït (Koweït)
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Près de 30 représentants des ministères de la Culture et d’experts formés par l’UNESCO de différents pays de la région arabe engageront une réflexion avec l’UNESCO et l’ALECSO sur la nécessité d’élaborer des cadres conceptuels et institutionnels et les défis inhérents à cette entreprise. Les deux organisations internationales co-organisent cette rencontre en collaboration avec le Conseil national pour la culture, les arts et les lettres, du 7 au 9 mai 2014 dans la ville de Koweït, grâce à la généreuse hospitalité du gouvernement du Koweït.
Les facilitateurs experts et l’équipe de l’UNESCO resteront à Koweït pour une seconde rencontre, au cours de laquelle ils étudieront les avancées réalisées et les défis de la mise en œuvre du programme de l’UNESCO de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et proposeront des pistes pour la région arabe (du 10 au 11 mai).
Atelier de formation de formateurs en inventaires du patrimoine matériel et immatériel
05/10-05-2014Yaoundé (Cameroun)
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Le Bureau de Yaoundé a apporté son expertise et sa contribution à l’Atelier de formation de formateurs en inventaires du patrimoine matériel et immatériel organisé à Yaoundé du 5 au 10 mai 2014 avec 55 participants dont les représentants des 10 régions du Cameroun en faisant une communication sur la Convention de 2003, l’importance de la participation des communautés dans les inventaires et les enjeux de l’élaboration des dossiers d’inscription sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel.
Résultats :
- Les participants connaissent mieux la Convention de 2003
- Le Ministère des Arts et de la Culture s’est engagé à lancer les inventaires
Perspectives :
- L’organisation d’autres ateliers dans les régions avec les communautés
- Lancement effectif des inventaires
- Appui à la préparation des dossiers de candidature pour l’inscription sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel
Irak: Atelier sur la mise en oeuvre de la Convention de 2003
13/17-04-2014Erbil (Iraq)
Atelier sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés en République dominicaine
31-03-2014Baní (République dominicaine)
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Du 31 mars au 6 avril a lieu en République Dominicaine un atelier sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés, dans le cadre du projet régional de renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel à Cuba, en République dominicaine et en Haïti, avec le soutien du Fonds du patrimoine culturel immatériel, grâce à la généreuse contribution de la Norvège.
Animé par deux membres du réseau de facilitateurs de l’UNESCO, María Ismenia Toledo (Venezuela) et Enrique Pérez López (Mexique), l’atelier réunit 30 spécialistes, étudiants et détenteurs du patrimoine culturel immatériel autour d’une formation sur l’approche promulguée par la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des inventaires et le rôle que les communautés sont appelées à y jouer. La formation théorique est complétée par une partie technique sur la collecte de données et un exercice de terrain avec les Chuineros de Cañafístol, à Baní dans la province de Peravia, dont les chansons improvisées sous forme de couplets risquent de disparaître.
Cette activité est possible grâce au soutien du Viceministère du patrimoine culturel et du Centre culturel Perelló à Baní, qui ont joué un rôle décisif dans l’obtention du consentement libre, préalable et éclairé des Chuineros.
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Maroc: atelier sur la mise en oeuvre de la Convention de 2003
26/30-03-2014Agadir (Maroc)
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Du 26 au 30 mars, Agadir a accueilli une première rencontre nationale dans le cadre du projet de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine vivant mis en œuvre dans les trois pays grâce à la généreuse contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Organisé par le Bureau de l’UNESCO à Rabat, cet atelier a compté avec la présence non seulement des agents du ministère de la Culture et des représentants des communautés locales concernées, mais aussi avec la représentation des ministères de l’Artisanat, de l’Agriculture, de l’Education et du Tourisme.
L’intégration du patrimoine vivant dans des politiques multisectorielles ainsi que la bonne compréhension des concepts clés de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel auprès des différentes parties prenantes sont essentielles pour sa mise en œuvre efficace. Ces questions ont été abordées dans cet atelier de formation qui a été animé par M. Ahmed Skounti (Maroc) et M. Mohamed Ould Mohamed Lemine Beijeu (Mauritanie), facilitateurs du réseau de l’UNESCO dans le domaine du patrimoine immatériel.
- Liste de participants : français
- Présentation - Réunion : Rapport d’atelier de M. Ahmed Skounti: français
Renforcement de la coopération sous-régionale et des capacités nationales dans 7 pays de l’Afrique australe pour la mise en oeuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
18/20-03-2014Hararé (Zimbabwe)
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Dans le cadre du partenariat UNESCO/Flandres visant à renforcer la coopération sous-régionale et les capacités nationales pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) dans sept pays d’Afrique australe, le bureau régional multisectoriel de l’UNESCO à Harare a organisé un atelier du 18 au 20 mars à Harare au Zimbabwe. L’atelier a rassemblé des participants originaires du Botswana, du Lesotho, du Malawi, de Namibie, du Swaziland, de Zambie et du Zimbabwe et il était animé par deux facilitateurs formés par l’UNESCO, M. Stephen Chifunyise et M. Lovemore Mazibuko. En outre, M. Marc Jacobs, de l’Interface flamande pour le patrimoine culturel (FARO) était aussi présent et assistait les facilitateurs.
Objectifs de l’atelier
- Former au moins deux personnes de chaque pays bénéficiaire à la portée et aux objectifs de la Convention de 2003 à l’échelle nationale en mettant l’accent sur l’établissement d’inventaires ainsi que sur la préparation de demande d’assistance internationale et de dossiers de candidatures.
- Définir et s’accorder sur les mesures spécifiques à adopter pour renforcer les cadres politiques, légaux et institutionnels des pays bénéficiaires en référence aux dispositions de la Convention de 2003 et des Directives opérationnelles.
- Mettre en place et s’accorder sur les activités particulières liées au projet-cadre ainsi que sur le calendrier. Cela orientera les pays bénéficiaires pour exécuter le plan d’action établi et atteindre les objectifs principaux en matière de renforcement des capacités nationales pour la mise en œuvre de la Convention de 2003
Liste des documents
Atelier sur l’inventaire en Mauritanie
05/12-03-2014Aleg (Mauritanie)
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L’atelier vise à former des cadres du Département de la Culture, des chercheurs des représentants des autorités locales, des représentants d’ONG et des membres des communautés sur le travail de l’inventaire participatif conformément aux orientations et à l’esprit de la Convention de 2003 dans le cadre de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel Cet atelier de 8 jours vise à doter les participants des connaissances et compétences de base pour concevoir et faciliter une démarche d’inventaire fondée sur l’engagement collectif et adaptée à la situation particulière des communautés. Ce processus d’inventaire participatif est le troisième thème que couvre le programme de l’UNESCO élaboré dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités de l’Organisation sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers la mise en œuvre de la Convention de 2003 L’une des obligations de tout État qui a ratifié la Convention est la préparation d’un ou plusieurs inventaires du patrimoine culturel immatériel (PCI) (selon les articles 11 et 12). En outre, plusieurs articles de la Convention soulignent le rôle prépondérant des communautés dans l’identification, la sauvegarde et la transmission du PCI. La Convention reconnaît, en effet, que le PCI fait partie intégrante de la vie des communautés qui en sont les détentrices et praticiennes
Atelier pour la préparation de dossiers de candidature au Bhoutan
04/08-03-2014Paro (Bhoutan)
Atelier pour l´élaboration d´inventaires pour sauvegarder le patrimoine culturel immatériel de la région occidentale du Guatemala avec la participation des communautés
25-02-2014/04-03-2014Guatemala (Guatemala)
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Du 25 février au 4 mars 2014, dans la ville de Guatemala, a eu lieu le dernier des ateliers du projet de renforcement de capacités nationales pour la sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel en Amérique centrale, consacré à l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés. Cet atelier était destiné au personnel technique du Département du patrimoine culturel immatériel du Ministère de la Culture et des Sports du Guatemala et aux membres des communautés détenteurs de manifestations de patrimoine culturel immatériel représentatives de la diversité culturelle du pays.
Animée par deux membres du réseau d’experts formés par l’UNESCO, Eva Martínez de Honduras et Enrique Pérez López du Mexique, cette formation viseait à offrir aux participants les connaissances et les compétences essentielles pour leur permettre de planifier et de faciliter l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel, en l’adaptant aux caractéristiques des communautés qui le pratiquent et le transmettent.
L’atelier a inclus deux jours de pratique de terrain dans la ville de Chinautla, à 10 km de la capitale, dont la population indigène Maya-Pocomam fabrique avec précision et technique, entre autres, des pots et des vases avec de la boue, de la paille et de l’argile. Cet artisanat traditionnel, qui se transmet de mère en fille depuis l’enfance, a été déclaré Patrimoine Culturel Immatériel de la Nation par le gouvernement du Guatemala en 2013 .
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Atelier pour la préparation de dossiers de candidature au Sri Lanka
11/15-02-2014Galle (Sri Lanka)
Formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans l’Est de Cuba
11/14-02-2014Santiago de Cuba (Cuba)
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Du 11 au 14 février, le Bureau régional pour la culture en Amérique latine et dans les Caraïbes organise un atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au niveau national à Santiago de Cuba, dans l’Est de Cuba. L’atelier réunira une vingtaine de participants venus des provinces de l’Est et de Camagüey. Aux côtés de membres des conseils provinciaux et d’institutions nationales telles que le Comité national pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ou l’Institut cubain pour la recherche culturelle, des détenteurs d’expressions du patrimoine culturel immatériel de la région recevront une formation intensive sur les objectifs et les concepts clés de cette Convention ainsi que sur les obligations contractées par les États qui l’ont ratifiée et les mécanismes qu’elle prévoit pour la coopération internationale.
Organisé dans le cadre du programme régional de renforcement des capacités à Cuba, en République dominicaine et en Haïti et financé par la généreuse contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel, l’atelier sera animé par deux experts formés par l’UNESCO, Adriana Molano Arenas de la Colombie et Francisco Javier López Morales du Mexique. Il offrira également aux participants une plateforme de réflexion collective sur les expériences et les défis de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans le contexte plus large du développement durable .
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activité pilote sur l’inventaire communautaire en Jamaïque
01-02-2014/30-04-2014Jamaïque (Jamaïque)
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Following the national workshop on community-based inventorying of intangible cultural heritage, a pilot activity on community-based inventorying was successfully carried out by the African Caribbean Institute of Jamaica/Jamaica Memory Bank (ACIJ/JMB) from February to April 2014. Two training sessions were organized as part of the inventorying exercise. These were followed by two inventorying exercises in Glengoffe, St. Catherine carried out on 19 March and 30 April 2014. Participants collected oral history data from the members of the craft community, which included jippy-jappa straw workers and a wood carver, using the digital recorders and video camera purchased for the project. They also made photographic documentation of the present processes involved in the creation of jippy-jappa straw craft and wood carvings. Following this, participants came together to critically analyze the data collected and created a pilot ICH inventory record of the jippy-jappa straw and woodcarving. This exercise involved the preparation of interview worksheets and inputting data: photographs and video into the ICH Inventory Database. A set of audio-visual equipment was also purchased to facilitate the pilot inventorying project and for use in future inventorying work. An ICH Equipment Release Form was developed and is in use to facilitate loans to the members of the ICH stakeholders’ network, to primarily ensure that communities have access to this equipment to carry out the work for which they have been trained.
Tunisie: atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national
27/31-01-2014Matmata (Tunisie)
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Lao
20/24-01-2014Vientiane (République démocratique populaire lao)
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à Timor-Leste
03/06-12-2013Dili (Timor-Leste)
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Du 3 au 6 décembre, des représentants d’institutions gouvernementales et non gouvernementales du Timor-Leste se sont réunis pour participer à une formation intensive portant sur le processus de candidature, de la préparation et l’évaluation et à l’examen. Ces sessions sont principalement pratiques et participatives s’appuyant sur des modèles de candidature que les participants doivent analyser et améliorer en conformité avec les critères établis par les Directives opérationnelles pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Animé par deux facilitateurs de l’UNESCO, Rahul Goswami, d’Inde, et Suzanne Ogge, d’Australie, cet atelier sur l’élaboration de candidatures d’éléments du patrimoine culturel immatériel pour inscription sur la Liste de sauvegarde urgente et la Liste représentative complètera la formation que le pays a déjà reçue sur la mise en œuvre de la Convention au niveau national et sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés.
Brunéi Darussalam: un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national
25/29-11-2013Brunéi (Brunéi Darussalam)
Le Kazakhstan juge l’inventaire de son patrimoine vivant comme prioritaire
22/29-11-2013Astana (Kazakhstan)
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Des praticiens des communautés, des membres d’organisations non gouvernementales spécialisées dans l’artisanat et la danse et la musique traditionnels, des représentants des principaux musées et des plus grandes universités et des fonctionnaires se sont rassemblés dans le cadre d’un atelier sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel, organisé du 22 au 29 novembre 2013 à Chymkent, Kazakhstan.
Mis en place par le bureau de l’UNESCO à Almaty en coopération avec la Commission nationale du Kazakhstan pour l’UNESCO et l’ISESCO, et la Fédération nationale du Kazakhstan des Clubs UNESCO, cet atelier représente une étape importante dans la sauvegarde du patrimoine vivant du Kazakhstan. Il porte sur la participation de la communauté à l’identification et à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel, l’organisation et la gestion des informations, et l’expérience concrète de la préparation du travail de terrain.
Financé par le Gouvernement de la Norvège, il s’agit du troisième et dernier d’une série d’ateliers organisés au Kazakhstan dans le cadre d’un projet sous-régional mis en œuvre en Asie Centrale dans le contexte de la stratégie globale de l’UNESCO sur le renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Il est mené par deux experts du réseau de facilitateurs de l’UNESCO : Mme Sabira Soltongeldieva et M. Illya Fetysov.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site Internet du bureau de l’UNESCO à Almaty pour le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan.
Indonésie: un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national
11/14-11-2013Jakarta (Indonésie)
activité pilote sur l’inventaire communautaire au Belize
01-11-2013/30-04-2014Belize (Belize)
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heritage, a pilot activity on community-based inventorying was successfully carried out by the National Institute of Culture and History (NICH) from November 2013 to April 2014. During this period, seven cultural celebrations associated with various ethnic communities were inventoried in 13 communities across Belize: Los Finados, Yurumein, Las Posadas, Ox-lajun Ba-aktun Ceremony, Christmas Bram, Carnaval and La Semana Santa.
Inventorying of the cultural celebrations took into account the history of the celebration, identification of various ICH domains, safeguarding practices currently in place, as well as challenges to its viability identified by the cultural practitioners. The documentation process also involved a listing of key cultural words as used in the traditional language(s). The inventorying of these cultural celebrations involved the participants from the established ICH Working Body, as well as community cultural practitioners who are actively involved in the organization of these celebrations. An inventorying tool was developed to serve as a guide for the documentation stages of the project. The tool was piloted from 1-3 November and a planning and training session was later held with the ICH Working Body to develop an inventorying schedule. Throughout the project, the ICH Working Body met at regular intervals to discuss and to share the acquired knowledge. The group also provided feedback and suggestions for subsequent inventorying activities. In January 2014, a mid-term review meeting was held to evaluate the progress of the inventorying exercise and a final meeting was held in April 2014 to assess the results. Audio-visual equipment was also purchased to facilitate the pilot inventorying project and for future documentation of ICH.
activité pilote sur l’inventaire communautaire à la Trinité-et-Tobago
01-11-2013/31-05-2014Trinité-et-Tobago (Trinité-et-Tobago)
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Following the national workshop on community-based inventorying of intangible cultural heritage, a pilot activity on community-based inventorying was successfully carried out by the Ministry of the Arts and Multiculturalism (MAM), now the Ministry of Community Development, Culture and the Arts, from November 2013 to May 2014. During this period, the Soparee Mai Devotions and the Feast of La Divina Pastora was documented. Prior to this inventorying exercise, a training session was held at the Siparia Boys Roman Catholic Primary School, adjacent to the church where the statue of La Divina Pastora is kept and also part of the devotion grounds. Training was facilitated by media specialists, qualified information technology and audio visual technicians who focused on the methods for proper interviewing, multimedia equipment care and operation, lighting techniques, use of tripods, storyboarding, filming, and shot composition to assist the community members in their self-documentation efforts. Through the acquired training on documentation, community members were able to record the Sopari Mai Devotions in April and May 2014. Audio-visual equipment was purchased with project funds to facilitate the pilot inventorying activity, and an additional four sets of similar equipment were purchased from the fund provided by the Ministry.
Mauritanie: atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national
22/26-10-2013Kaédi (Mauritanie)
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Le Bureau de l’UNESCO à Rabat organise un atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à Kaédi, Mauritanie, du 22 au 26 octobre 2013.
L’atelier fait partie du projet “Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers le renforcement des capacités nationales au Maroc, en Mauritanie et en Tunisie” mis en oeuvre grâce à la contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel. Il sera animé par M. Ahmed Skounti et M. Mohamed Ould Mohamed Lemine Beijeu, facilitateurs du réseau de l’UNESCO dans le domaine du patrimoine immatériel, et comptera avec la présence d’une vingtaine de participants parmi lesquels des agents du Ministère de la culture, des ONG, et des représentants des communautés locales concernées.
L’objectif principal de cette première activité est de s’assurer que les concepts clés de la Convention sont bien compris et intégrés auprès des différentes parties prenantes pour la sauvegarde du patrimoine vivant de la Mauritanie ; elle sera suivie d’une série d’autres activités ciblées au cours des prochains mois.
- Agenda - Meeting: Workshop report by Mohamed Mohamed Lemine Beidjeu: français
- Liste de participants : français
Samoa: atelier sur l’établissement d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participations des communautés
21/26-10-2013Savaii Island (Samoa)
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Cet atelier sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel avec la participation communautés est la troisième activité organisée à Samoa dans le cadre du projet régional de renforcement des capacités dans la région Asie-Pacifique. Il était financé par le Fonds-en-dépôt japonais pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
L’atelier rassemblera une cinquantaine de participants, parmi lesquels des dépositaires du PCI, des dirigeants traditionnels, des hauts fonctionnaires responsables de la sauvegarde du PCI, des ONG, des organisations communautaires et des communautés confessionnelles. Les participants auront l’occasion de se former à la création d’inventaires avec la participation des communautés au travers d’exercices concrets au village de Gataivai sur l’île Savaii.
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Cambodge
21/25-10-2013Phnom Penh (Cambodge)
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Cet atelier sur la préparation des dossiers de candidatures aux Listes du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO se tiendra à Phnom Penh au Cambodge du 21 au 25 octobre 2013. Animé par les facilitateurs formés par l’UNESCO, Suzanne Ogge, Australie, et Rahul Goswani, Inde, il s’agit du troisième et dernier évènement de la série d’ateliers portant sur le renforcement des capacités organisés au cours de ces 18 derniers mois aux fins de la sauvegarde des manifestations du patrimoine vivant du Cambodge. Cet atelier, organisé par le bureau de l’UNESCO à Phnom Penh en partenariat avec le ministère de la Culture et des Beaux-arts, offrira une formation sur la manière de préparer des dossiers de candidature à la Liste de sauvegarde urgente et à la Liste représentative ainsi que des propositions pour le Registre des meilleures pratiques et des demandes d’assistance internationale. Cette formation apprendra aux participants à préparer un dossier de candidature complet en leur expliquant la manière dont les dossiers sont ensuite évalués et examinés. Les formateurs experts s’adresseront à une trentaine de participants dont des membres des agences publiques concernées, des académiciens, des praticiens du PCI et des membres de la communauté.
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
14/22-10-2013Santiago del Estero et Buenos Aires (Argentine)
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Du 14 au 22 octobre 2013, des sessions de renforcement de capacités sur la préparation de candidatures aux listes de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel se déroulent en Argentine, d’abord à Santiago del Estero, dans la région du Gran Chaco, puis à Buenos Aires. A leur issue, environ 70 participants, dont des responsables gouvernementaux et des membres d’organisations non-gouvernementales impliqués dans la sauvegarde du patrimoine culturel d’Argentine, mais aussi du Paraguay et de l’Uruguay, auront reçu une formation théorique et pratique sur le processus de candidature compris comme un processus de planification de mesures de sauvegarde avec la pleine implication des communautés.
Animé par deux expertes formées par l’UNESCO, Adriana Molano Arenas de Colombie et Mónica Lacarrieu d’Argentine, ces ateliers mettent un terme à un programme de renforcement de capacités sur la Convention soutenu par le Fonds-en-dépôt UNESCO/Japon qui, depuis plus d’un an, a offert à ses bénéficiaires une formation approfondie sur la mise en œuvre de la Convention au niveau national et l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés détentrices.
Documents
Elaboration d’inventaires avec la participation des communautés au Ouzbékistan
08/15-10-2013Fergana (Ouzbékistan)
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
07/11-10-2013La Havane (Cuba)
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Du 7 au 11 octobre, le Bureau régional pour la culture en Amérique latine et dans les Caraïbes organise un atelier de renforcement de capacités sur la préparation de candidatures aux listes de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier réunira une vingtaine de participants de Cuba, Haïti et la République dominicaine qui ont déjà bénéficié, dans leurs pays respectifs, d’une formation intensive sur la mise en œuvre de la Convention au niveau national, dans le cadre du projet régional de renforcement de capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel patrimoine financé par la généreuse contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Animé par deux experts formés par l’UNESCO, Adriana Molano Arenas de la Colombie et Fabián Bedon Samaniego de l’Équateur, cet atelier offrira aux participants une formation complémentaire sur la préparation de candidatures en tant que processus de mobilisation de la large gamme de parties prenantes impliquées dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel - et au premier chef les communautés - ainsi que de la conception de plans de sauvegarde adaptés aux contextes et aux conditions de pratique spécifiques à un élément du patrimoine culturel immatériel donné.
Documents
Inventaire de l’héritage vivant du Belize
01-10-2013Orange Walk (Belize)
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Du 1er au 9 octobre 2013, un atelier national portant sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés aura lieu dans le district d’Orange Walk au Belize. Cet évènement est organisé par l’Institut national de culture et d’histoire en collaboration avec la Commission nationale du Belize pour l’UNESCO et le bureau de l’UNESCO pour les Caraïbes à Kingston.
Cet atelier durera 8 jours et portera plus particulièrement sur i) la participation des communautés à l’identification et à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel en accord avec la convention de 2003 de l’UNESCO, ii) la collecte d’information en collaboration avec les communautés, iii) l’organisation, la mise à jour et l’accès aux informations sur les inventaires et iv) sur l’expérience pratique de la préparation du travail de terrain. Il sera animé par deux experts formés par l’UNESCO, Harriet Deacon et Kris Rampersad.
Différents acteurs, dont des fonctionnaires, des organisations non gouvernementales et des praticiens des communautés participeront à cet atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. La cérémonie d’ouverture officielle aura lieu le mardi 1er octobre 2013 en présence de fonctionnaires, de membre du gouvernement, les directeurs des agences de l’ONU et la presse.
Financé par le Gouvernement du Japon, l’atelier fait partie d’un projet sous-régional mis en œuvre au Belize, en Jamaïque et à Trinité-et-Tobago dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO sur le renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Deuxième atelier d’inventaire avec la participation des communautés (INV)
23/28-09-2013Milne Bay Province (Papouasie-Nouvelle-Guinée)
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Un premier atelier sur l’inventaire avec la participation des communautés (INV) avait eu lieu en octobre 2012 à Goroka. Un atelier supplémentaire aura lieu en Papouasie-Nouvelle-Guinée, mais cette fois dans la province de Milne Bay et il sera animé par Anthony Parak.
Stratégie globale de renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel: Réunion de bilan pour l’Amérique latine et les Caraïbes
17/19-09-2013Cuzco (Pérou)
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La deuxième réunion de bilan de la stratégie globale de l’UNESCO de renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel sera convoquée par la Section du patrimoine culturel immatériel à Cusco, Pérou, du 17 au 19 septembre 2013, à la suite de la première de ces réunions qui a eu lieu à Beijing, Chine, en novembre 2012.
Le Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’Amérique latine (CRESPIAL), un centre de catégorie 2 sous les auspices de l’UNESCO, accueillera cette réunion dont l’objectif est d’évaluer la mise en œuvre de la stratégie en Amérique latine et dans les Caraïbes.
La réunion rassemblera onze facilitateurs du réseau mondial, créé il y a deux ans lors du cycle d’ateliers de formation de formateurs partout dans le monde, qui ont désormais animé des activités de renforcement des capacités dans la région. Les collègues responsables du programme de la culture dans les bureaux hors Siège de l’UNESCO et CRESPIAL y participeront également.
Le programme de la réunion couvre tout l’éventail de problèmes conceptuels et pratiques rencontrés le long de ce chemin. En invitant les principaux acteurs impliqués dans la mise en œuvre de ce programme à partager leurs expériences, les défis auxquels ils sont confrontés et les moyens qu’ils ont trouvés de les surmonter, la réunion permettra d’améliorer l’efficacité de la stratégie de renforcement des capacités afin qu’elle soit plus apte à répondre aux besoins spécifiques des États.
Documents
Sauvegarder le patrimoine culturel immatériel du Népal : atelier de préparation des candidatures à la Liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, Katmandou, 16 - 20 septembre 2013
16/20-09-2013Katmandou (Népal)
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L’UNESCO poursuit son initiative d’aide à la sauvegarde du patrimoine immatériel du Népal, avec un atelier de préparation des candidatures à la Liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, à Katmandou du 16 au 20 septembre 2013. Cet atelier est le dernier de trois évènements financés par le Japon et visant à renforcer les capacités à protéger les manifestations du patrimoine immatériel (ou vivant) du Népal.
Ces traditions vivantes, qui prennent la forme de traditions, d’arts scéniques, d’évènements festifs et de compétences artisanales de certaines personnes, sont au cœur du patrimoine collectif du pays.
La Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, adoptée par l’UNESCO en 2003 et ratifiée par le Népal en 2010, est un excellent cadre pour assurer la continuité de ces traditions vivantes. Toutefois, les capacités nationales à sauvegarder ce patrimoine doivent être améliorées.
Le séminaire à venir, que le Bureau de l’UNESCO à Katmandou organise conjointement avec le Ministère de la Culture, du Tourisme et de l’Aviation Civile, fournira toutes les informations relatives à l’inscription d’éléments sur la liste du patrimoine culturel immatériel et à l’amélioration des compétences nécessaires à la préparation d’un dossier de candidature. Il contribuera également à former les experts, les représentants de la communauté et les institutions concernées sur la manière de formuler des demandes d’assistance internationale et de préparer les propositions pour le Registre des meilleures pratiques et les dossiers de candidatures à la Liste de sauvegarde urgente et à la Liste représentative.
Dirigé par les facilitateurs de l’UNESCO, Suzanne Ogge de l’Australie et Shubha Chaudhuri de l’Inde, cet atelier est le dernier d’une série de trois évènements de renforcement des capacités organisés ces 18 derniers mois. Le premier atelier, organisé en avril 2012 à Katmandou, avait abordé les principes essentiels et les définitions propres au patrimoine culturel immatériel ; le second, organisé en janvier 2013 dans la vallée de Jiri-Sikri, avait porté sur le processus et les directives relatives à l’inventaire communautaire de ces traditions vivantes.
Les évènements de renforcement des capacités nationales font partie du projet de renforcement des capacités régionales, intitulé « Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers le renforcement des capacités nationales en Asie et dans le Pacifique », et financé par le Gouvernement du Japon.
L’UNESCO compte sur la présence d’une trentaine de participants issus des communautés et des groupes qui créent, maintiennent et transmettent le patrimoine immatériel ainsi que sur la participation d’institutions et d’organismes gouvernementaux.
Pour plus d’informations: le site web du Bureau de Kathmandu
Formation de formateurs sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés
16/23-09-2013Porto-Novo (Bénin)
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L’UNESCO et l’École du patrimoine africain (EPA) se sont associées pour venir en aide aux États membres en leur facilitant l’appropriation des concepts, des mesures et des mécanismes offerts par la Convention. Cette initiative se concrétisera par l’organisation d’un atelier de formation des formateurs sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel qui aura lieu du lundi 16 au lundi 23 septembre 2013, dans les locaux de l’EPA à Porto Novo, au Bénin, grâce à un financement du Fonds du patrimoine culturel immatériel. Durant cette formation les participants s’approprieront les modules de formation élaborés par le Secrétariat de la Convention.
L’atelier sera co-facilité par deux experts-facilitateurs, Claudine-Augée Angoué (Gabon) et Sidi Traoré (Burkina Faso) en collaboration avec le directeur de l’EPA, Baba Keita. Il sera axé autour de quatre thèmes principaux : (1) le travail d’inventaire avec la participation des communautés, dans le cadre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel; (2) cadre de l’inventaire avec la participation des communautés, éthique et responsabilités; (3) méthodes et techniques de production de l’information; (4) mise en application d’un projet d’inventaire avec la participation des communautés.
Un travail de terrain est également prévu, qui permettra aux 30 participants, dont les cadres de l’EPA, du Centre international de recherche et de documentation sur les traditions et les langues (CERDOTOLA) et des experts du Burkina Faso et du Sénégal, d’appliquer certaines techniques participatives in situ. L’atelier profitera de la riche expérience de l’EPA dans le domaine de la formation sur la sauvegarde du patrimoine culturel. La coordination de l’atelier sera assurée par l’EPA qui s’occupera de l’organisation du travail de terrain en s’appuyant sur les contacts solides qu’elle a avec les communautés à proximité de Porto Novo (le programme préliminaire est en cours d’élaboration).
La Jamaïque progresse pour l’inventaire de son patrimoine vivant
04/13-09-2013Kingston (Jamaïque)
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Moins d’un an après avoir accueilli un atelier fondateur sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au niveau national et le développement d’un plan d’action à cet effet, la Jamaïque mobilise les praticiens des communautés et les représentants de ses organisations gouvernementales et non gouvernementales afin de progresser vers l’inventaire de son patrimoine vivant.
Organisé par l’African Caribbean Institute of Jamaica/Jamaica Memory Bank en collaboration avec la Commission nationale jamaïcaine pour l’UNESCO et le Bureau multi-pays de l’UNESCO à Kingston pour les Caraïbes, un atelier national sur l’inventaire communautaire du patrimoine culturel immatériel se tiendra à Kingston du 4 au 13 septembre 2013.
Étape importante dans la sauvegarde du patrimoine vivant de la Jamaïque, cet atelier portera sur la participation de la communauté à l’identification et à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel, la collecte, l’organisation et la gestion de données, et l’expérience concrète de la préparation du travail de terrain. L’atelier et les exercices de terrain seront les prémices de l’activité pilote d’inventaire qui sera mise en place dans les mois suivants.
Financé par le Gouvernement du Japon, l’atelier fait partie d’un projet sous-régional mis en œuvre au Belize, en Jamaïque et à Trinité-et-Tobago dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO sur le renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Il sera facilité par deux expertes formées par l’UNESCO, Harriet Deacon et Kris Rampersad.
Atelier sur l’établissement d’inventaires du patrimoine culturel immatériel impliquant les communautés
24/31-08-2013Cholpon-Ata (Kirghizistan)
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Cet atelier de formation a pour objectif de renforcer les capacités nationales en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI), et en particulier, les capacités en matière d’inventaire en respect avec la Convention de 2003, notamment, les compétences pratiques et techniques pour l’établissement d’inventaire.
Des experts kirghizes recevront une formation pour identifier, définir, inventorier et documenter le PCI. Ils seront en outre chargés de mettre en place des activités de sauvegarde concrètes et de proposer des formations pour la gestion et la transmission appropriée du PCI tout en menant des études scientifiques, techniques, juridiques, économiques ou autres liées s’y rapportant. L’objectif de cette session est non seulement de faire prendre conscience de la valeur et de la diversité du PCI, mais aussi d’assurer la participation des communautés et leur accord pour toutes les activités en lien avec le PCI.
L’atelier rassemblera des membres d’organisations gouvernementales et non gouvernementales (ONG), des communautés, des institutions et des experts indépendants, mais la préférence sera donnée aux communautés locales. Pendant la formation, les participants recevront des documents écrits réalisés par l’UNESCO qui seront traduits en russe et partiellement en kirghize.
Ratification de la Convention de l’UNESCO de 2003, San Salvador, El Salvador
21/23-08-2013San Salvador (El Salvador)
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Ce rapport est présenté aux autorités de la représentation de l’UNESCO au Costa Rica, en El Salvador, au Honduras, au Nicaragua et au Panama, basée à San José, afin de rendre compte des activités du projet de renforcement des capacités pour une mise en œuvre efficace. de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, en particulier le quatrième atelier “Ratification de la Convention de l’UNESCO de 2003”, tenu dans la ville de San Salvador, au Salvador, les 21, 22 et 23 août 2013 L’atelier susmentionné a été rendu possible grâce à la coopération du Royaume d’Espagne et a eu comme pays bénéficiaires le Honduras, El Salvador, le Nicaragua et le Guatemala.
Mozambique: un atelier sur l’établissement d’inventaires du patrimoine culturel immatériel impliquant les communautés
12/21-08-2013Manica (Mozambique)
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Dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, un atelier sera organisé au Mozambique du 12 au 21 août 2013 afin de renforcer les capacités nationales pour sauvegarder le riche patrimoine culturel immatériel présent au Mozambique.
Grâce à cet atelier, les professionnels de l’ARPAC (Institut national pour les recherches socio-culturelles), le Ministère de la culture ainsi que des représentants des autorités locales, de la société civile et des animateurs communautaires du district de Monica se familiariseront avec les principes et les méthodes de l’inventaire du patrimoine vivant avec la participation des communautés (Monica, du 12 au 21 août 2013). Cette formation devrait permettre à certains participants de devenir des facilitateurs qui, par la suite, pourront à leur tour assurer des formations au Mozambique et dans d’autres pays lusophones en Afrique.
Cet atelier, organisé grâce à une généreuse contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel, fait partie d’un projet plus large ciblant les pays lusophones en Afrique. Dans le cadre du projet, ces mêmes personnes auront l’occasion de se familiariser avec les principes et les méthodes de la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national pendant un atelier prévu à Maputo du 5 au 9 août 2013.
Documents
Mozambique: un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national
05/09-08-2013Maputo (Mozambique)
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Dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, un atelier sera organisé au Mozambique du 5 au 9 août 2013 afin de renforcer les capacités nationales pour sauvegarder le riche patrimoine culturel immatériel présent au Mozambique.
Le premier atelier assurera une formation sur la mise en œuvre de la Convention 2003 au niveau national pour des professionnels de l’ARPAC (Institut national pour les recherches socio-culturelles), le Ministère de la culture ainsi que des représentants des autorités locales, de la société civile et des animateurs communautaires du district de Monica (Maputo, du 5 au 9 août 2013).
Cet atelier, organisé grâce à une généreuse contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel, fait partie d’un projet plus large ciblant les pays lusophones en Afrique. Dans le cadre du projet, ces mêmes personnes auront l’occasion de se familiariser avec les principes et les méthodes de l’inventaire du patrimoine vivant avec la participation des communautés pendant un atelier prévu à Monica du 12 au 21 août 2013.
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Enquête de terrain et inventaire du PCI dans des communautés pilotes au Sri Lanka
01-08-2013/31-01-2014Sri Lanka (Sri Lanka)
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The project supported the organization of a practical field survey and inventorying of ICH in pilot communities, during which five teams of provincial cultural officers conducted cultural mapping of ICH elements in two districts. The teams used questionnaires using the methodologies developed during the inventorying workshop. The Ministry also arranged for the preparation of mock nomination files on five elements that would be discussed and evaluated during the next workshop on the elaboration of nomination files to the ICH Lists. The five elements were: (i) customs and rituals of Sinhalese puberty rites ; (ii) traditional therapeutic veniculture and cauterization techniques ; (iii) national Sinhalese New Year tradition ; (iv) procession of the Sacred Tooth in Kandy ; and (v) traditional puppetry.
Enquête sur le terrain et inventaire des éléments du PCI au Bhoutan
01-08-2013/31-01-2014Wangdi, Bumthang, Samtse, Central Bhutan, Lhuentse (Bhoutan)
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The project supported the field inventorying of the following ICH elements organized by the Ministry of Culture, Tourism and Civil Aviation to test the skills learnt during the community-based inventorying workshop. The teams mobilized to conduct the ICH inventorying made use of a template they developed during the community-based inventorying, which included identification of threats and challenges, transmission and customary practices, viability and safeguarding measures.
• Traditional archery held in the districts of Wangdi, Bumthang and Samtse.
• Nub Zhey traditional singing of the Bji and Saengkyi communities in Central Bhutan
• Traditional pottery practiced by the women of the Maengjibi and Gangzur villages in Lhuentse district
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Amérique centrale
29-07-2013/02-08-2013Managua (Nicaragua)
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Du 29 juillet au 2 août, une trentaine de participants provenant d’institutions gouvernementales et non gouvernementales de El Salvador, Guatemala, Honduras et Nicaragua se réunissent à Managua, Nicaragua, pour recevoir une formation approfondie sur les processus de candidature, de l’élaboration à l’évaluation et à l’examen. Les séances seront principalement pratiques et participatives, s’appuyant sur des modèles de candidature que les participants doivent analyser et améliorer en conformité avec les critères établis par les Directrices opérationnelles pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Animé par les experts formés par l’UNESCO, María Ismenia Toledo du Venezuela et Enrique López du Mexique, il s’agit du premier atelier sur l’élaboration de candidatures d’éléments du patrimoine culturel immatériel pour inscription sur la Liste de sauvegarde urgente et la Liste représentative qui aura lieu en Amérique latine. Il vient compléter la formation que ces mêmes participants ont reçu sur la mise en œuvre de la Convention au niveau national et sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés.
Ces journées s’inscrivent dans le cadre du projet régional, financé par la généreuse contribution de l’Espagne au Fonds du patrimoine culturel immatériel, de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Amérique centrale, qui se déroule tout au long de 2013. En tant que telle, l’activité bénéficie de l’appui de la Coordination éducative et culturelle centraméricaine (CECC/SICA) et de l’Institut de la culture du Nicaragua.
Documents
Le Bangladesh sur la bonne voie
16/20-07-2013Dhaka, Bangladesh (Bangladesh)
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Un atelier national sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel se déroule du 16 au 20 juillet 2013 à Dhaka, au Bangladesh. L’atelier, organisé par le Bureau de l’UNESCO à Dhaka en collaboration avec le département d’archéologie du ministère des Affaires culturelles du Bangladesh, vise à fournir un aperçu général de la Convention et de ses directives opérationnelles, des obligations de l’État partie et des moyens possibles pour sauvegarder et inventorier le patrimoine culturel immatériel avec la pleine participation des communautés concernées.
Plus d’une vingtaine de représentants d’organisations gouvernementales et non gouvernementales, des communautés, des institutions et des experts vont essayer d’analyser les défis auxquels fait face le Bangladesh pour la sauvegarde de son patrimoine culturel immatériel. Equipés de nouveaux outils et de nouvelles connaissances, ils travailleront pour assurer une meilleure diffusion et promotion de ce patrimoine.
L’atelier sera animé par Harriet Deacon et Amareswar Galla, deux experts formés par l’UNESCO dans le domaine du patrimoine culturel immatériel.
L’inventaire du patrimoine vivant à Trinité et Tobago
22-06-2013/01-07-2013Port of Spain (Trinité-et-Tobago)
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Les détenteurs du patrimoine vivant, les officiels du gouvernement et les membres des organisations non-gouvernementales se mobilisent pour participer à un atelier national sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel qui se déroulera à Port d’Espagne à Trinité-et-Tobago du 22 juin au 1er juillet 2013.
Cet atelier, organisé par la Commission nationale de Trinité-et-Tobago pour l’Unesco, le Ministère des arts et du multiculturalisme de Trinité-et-Tobago et le Bureau multi-pays de l’UNESCO à Kingston dans les Caraïbes, marque une étape importante dans la sauvegarde du patrimoine vivant de Trinité-et-Tobago. L’accent sera mis sur la participation des communautés dans l’identification et l’inventaire du patrimoine culturel immatériel, l’organisation et la gestion de l’information et l’expérience pratique sur le terrain. L’activité sur le terrain sera renforcée par un exercice d’inventaire pilote dans les mois qui suivront.
Financé par le gouvernement japonais, l’atelier fait partie d’un projet sous régional mis en œuvre au Belize, en Jamaïque et à Trinité-et-Tobago dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO sur le renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Harriet Deacon et Rieks Smeets, deux experts du réseau des facilitateurs de l’UNESCO, animeront l’atelier.
Formation à l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel à El Salvador avec la participation de la communauté de Conchagua
17/25-06-2013San Salvador (El Salvador)
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Une trentaine de participants issus d’institutions gouvernementales et d’organisations de la société civile ainsi que des représentants des communautés se réunissent à El Salvador du 17 au 25 juin pour assister au premier atelier sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel. Après une première session théorique à San Salvador visant à doter les participants des connaissances et compétences essentielles pour leur permettre de planifier et de faciliter ce processus, l’équipe se déplacera à la ville de Conchagua, dans le département de la côte du Pacifique de La Union, à environ 200 km de la capitale.
À Conchagua aura lieu un exercice pratique de terrain qui permettra aux participants d’acquérir une expérience directe dans l’élaboration d’inventaires et mettre en œuvre certaines des connaissances acquises lors de la session théorique dans des domaines tels que l’établissement de relations de communication avec la communauté, l’obtention de leur consentement libre, préalable et éclairé, l’application pratique d’une méthode particulière, la préparation de questions ou la production d’information pour le cadre d’élaboration d’inventaire et sa mise à l’épreuve.
Animées par les facilitateurs formés par l’UNESCO, María Ismenia Toledo du Venezuela et Enrique López du Mexique, ces journées s’inscrivent dans le cadre du projet régional, financé par la généreuse contribution de l’Espagne au Fonds du patrimoine culturel immatériel, de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Amérique centrale, qui se déroule tout au long de 2013. À ce titre, l’activité bénéficie non seulement du soutien de la Coordination éducative et culturelle centraméricaine (CECC/SICA) et du Secrétariat de la culture de El Salvador mais accueille également les points focaux du projet au Honduras et au Nicaragua.
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RDP Lao: atelier sur l’établissement d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés
11/18-06-2013Thalat (République démocratique populaire lao)
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Les compétences nationales de la RDP Lao pour la sauvegarde de son patrimoine culturel immatériel ne cessent de prendre de l’ampleur, et ce grâce à un atelier qui a eu lieu 11 au 18 juin 2013 dans la cadre du programme de renforcement des capacités pour la sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Cet atelier a été rendu possible grâce à la contribution généreuse de la République de Corée et s’inscrit dans un projet de deux ans qui a pour objectif d’améliorer les capacités nationales de la RDP Lao tant au niveau des institutions gouvernementales que dans la société civile pour la sauvegarde à long terme du patrimoine culturel immatériel au travers de la mise en œuvre de la Convention de 2003. Shubha Chaudhuri et Paritta Koanantakool, deux experts du réseau des facilitateurs de l’UNESCO, animeront l’atelier.
Le département du patrimoine du ministère de l’Information, de la Culture et du Tourisme de la RDP Lao en coordination avec le bureau de l’UNESCO de Bangkok a participé de manière active à l’organisation de cet atelier afin de maximiser la participation des membres des communautés locales et des détenteurs du patrimoine vivant. Pour y parvenir, des représentants importants de villages et des praticiens participeront à l’atelier qui aura lieu à Thalat, dans la province de Vientiane près du village de Pakkayong où se tiendront aussi des travaux de documentation et d’inventaire sur le terrain pendant deux jours.
Enquête sur le terrain et inventaire du PCI dans des communautés pilotes au Népal
01-06-2013/31-08-2013Khaopsi, Badikhel, Thokarpa (Népal)
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The Ministry initiated a practical field survey and inventorying of ICH elements in the Pahari communities in the villages of Khaopsi (Kavre District), Badikhel (Lalitpur District) and Thokarpa (Sindhupalanchowk District). The UNESCO template developed during the community-based inventorying workshop in Jiri, Dolkha District (January 2013) was used in the inventorying of the following ICH practices in the Pahari communities:
• Traditional carpentry and woodworking
• Maruni/Khyali Naach (dance by men in costume with ornamentation of women)
• Hasa thayagu (traditional bamboo weaving)
• Dhami-jhakri (shamanistic practices covering religious and social aspects of the Paharis)
Le Kirghizistan en voie de préparation des nominations pour la Convention de 2003
28/31-05-2013Bichkek (Kirghizistan)
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Une nouvelle étape dans une série d’activités de formation pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel aura lieu à Bishkek au Kirghizistan du 28 au 31 mai 2013. Un atelier réunira des participants d’institutions gouvernementales, académiques et éducatives, ainsi que les communautés concernées, afin d’améliorer leurs connaissances et leurs compétences pour préparer les nominations à la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente et la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Ils apprendront aussi comment demander une assistance internationale et comment élaborer des propositions pour le Registre des meilleures pratiques de sauvegarde.
Cet atelier, rendu possible grâce à une généreuse contribution du Ministère des affaires étrangères de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel, fait partie d’une collaboration de deux ans entre l’UNESCO et le Kirghizistan, visant à fournir aux institutions publiques et à la société civile une fondation solide pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au sein du pays. L’atelier est organisé par le Bureau de l’UNESCO à Almaty et par la Commission nationale pour l’UNESCO de la république du Kirghizistan. Les participants discuteront également des mesures de sauvegarde actuelles dans tous les domaines administratifs de la République et se mettront d’accord sur les activités futures.
L’atelier sera facilité par M. Ilya Fetisov de l’Ukraine et Mme Sabira Soltongeldieva du Kirghizistan.
Atelier sur l’établissement d’inventaires du patrimoine culturel immatériel impliquant les communautés
22/28-05-2013Oulan-Bator (Mongolie)
Atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national au Cap-Haïtien (Haïti)
13/17-05-2013Cap Haïtien (Haïti)
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Un atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national est organisé au Cap Haïtien (Haïti) du 13 au 17 mai. Ces sessions ont lieu dans le cadre d’un programme régional de renforcement des capacités dans les Caraïbes financé par le Fonds du patrimoine culturel immatériel, grâce à la généreuse contribution de la Norvège, et qui compte avec le soutien du Ministère de la culture, Commission nationale haïtienne de coopération avec l’UNESCO et le Bureau national d’ethnologie.
Pendant cinq jours, une vingtaine de participants du département du Nord d’Haïti recevront une formation intensive sur les objectifs, les concepts clés et les mécanismes internationaux de la Convention de 2003 ainsi que sur les obligations nationales des États parties. Animé par deux membres du réseau d’experts formés par l’UNESCO, Mme Soledad Mujica (Pérou) et Mme Claudine Augée Angoué (Gabon), l’atelier vise également à stimuler une plus grande coordination des différents acteurs travaillant dans ce domaine, tant au niveau institutionnel que de la société civile, en mettant en avant la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel comme un moyen par lequel le développement peut trouver des chemins appropriés et durables.
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Atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national aux Cayes (Haïti)
06/10-05-2013Les Cayes (Haïti)
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Un atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national a lieu aux Cayes du 6 au 10 mai. Il s’agit de la première activité du projet régional de renforcement des capacités dans les Caraïbes, qui compte avec le soutien du Fonds du patrimoine culturel immatériel grâce à la généreuse contribution volontaire de la Norvège, dont Haïti bénéficiera spécifiquement.
Pendant quatre jours, une vingtaine de participants du département du Sud d’Haïti recevront une formation intensive sur les objectifs, les concepts clés et les mécanismes internationaux de la Convention de 2003 ainsi que sur les obligations nationales des États parties. Animé par deux membres du réseau d’experts formés par l’UNESCO, Mme Soledad Mujica (Pérou) et Mme Claudine Augée Angoué (Gabon), l’atelier vise également à stimuler une plus grande coordination des différents acteurs travaillant dans ce domaine, tant au niveau institutionnel que de la société civile, en mettant en avant la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel comme un moyen par lequel le développement peut trouver des chemins appropriés et durables.
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Atelier sous-régional sur la stratégie du PCI et le renforcement des capacités : les processus nationaux sur la formation des formateurs
30-04-2013/02-05-2013Harare (Zimbabwe)
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Les progrès réalisés dans le cadre de la sauvegarde du PCI en Afrique australe depuis 2009 sont dus principalement à des programmes extrabudgétaires financés par la Flandre notamment :
• Une série de projets pilotes sur l’inventaire du patrimoine immatériel avec la participation des communautés locales dans six pays sélectionnés en Afrique subsaharienne (Botswana, Lesotho, Malawi, Swaziland, Zambie et Ouganda) qui se sont terminés en 2011.
• Un projet de renforcement des capacités nationales à mettre en œuvre la Convention pour la sauvegarde du PCI dans 4 pays sélectionnés d’Afrique australe (Botswana, Malawi, Zambie et Zimbabwe) qui s’est terminé en 2012.
En s’appuyant sur les résultats de ces projets ainsi que sur la composante PCI spécifique du programme culture et développement du F-OMD mis en œuvre en Namibie, des experts du PCI en Afrique australe ont tenté de développer les connaissances des formateurs en matière de PCI spécifiques aux pays pendant un atelier qui s’est tenu à Waterberg en Namibie du 8 au 19 avril 2013.
Pour assurer le suivi immédiat de ce projet, les experts du PCI d’Afrique australe, en collaboration avec les bureaux de l’UNESCO à Harare et Windhoek ont décidé d’organiser une réunion consultative à Harare au Zimbabwe avec deux objectifs :
1. Développer une stratégie sous-régionale pour le PCI en Afrique australe
2. Examiner le concept de développement des capacités nationales en s’appuyant sur le modèle de l’atelier organisé en Namibie du 30 avril au 2 mai et rechercher des moyens de le reproduire dans tous les Etats d’Afrique australe parties à la Convention.
Second atelier sur l’établissement d’inventaires du patrimoine culturel immatériel impliquant les communautés en Timor-Leste
16/18-04-2013Suai Loro (Timor-Leste)
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Ce second atelier sur l’établissement d’inventaires du patrimoine culturel immatériel impliquant les communautés est organisé dans le cadre du projet intitulé « Renforcer les capacités pour la promotion et la mise en œuvre du patrimoine culturel immatériel du Timor-Leste ». Ce projet fait partie des efforts de renforcement des capacités dans la région Asie-Pacifique et est financé par le fonds-en-dépôt japonais pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
L’atelier vise à fournir aux membres des communautés et aux parties prenantes du Timor-Leste les connaissances et compétences de base pour établir, faciliter et mettre en œuvre des inventaires impliquant les communautés et adaptés à leurs besoins et situations spécifiques.
Pour plus d’information, cliquez ici.
Renforcement des capacités pour la mise en oeuvre de la Convention de 2003
15/17-04-2013Oranjestad (Aruba)
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Cette réunion a été financée par le ministère néerlandais de l’éducation, de la culture et des sciences, via le Museo Arubano. Le but de cette réunion était de réunir tous les territoires du Royaume afin d’évaluer les besoins et les possibilités de mise en œuvre conjointe de la Convention.
Atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 sur le plan national au Guatemala
15/17-04-2013Guatemala (Guatemala)
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Un atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national est mené au Guatemala du 15 au 17 avril. Il s’agit de la première activité du projet régional de renforcement des capacités en Amérique centrale, qui compte avec le soutien du Fonds du patrimoine culturel immatériel grâce à la généreuse contribution volontaire de l’Espagne, dont le Guatemala bénéficiera spécifiquement.
Pendant trois jours, des représentants du Ministère de la culture et du sport et des gestionnaires de la culture dans différents domaines recevront une formation intensive sur les objectifs, les concepts clés et les mécanismes internationaux de la Convention de 2003 ainsi que sur les obligations nationales des États parties. Animées par deux membres du réseau d’experts formés par l’UNESCO, Mme Soledad Mujica (Pérou) et Mme Eva Martínez (Honduras), ces séances offriront un aperçu complet de cet instrument juridique international et des directives opérationnelles pour sa mise en œuvre qui veut fournir un cadre de réflexion pour une stratégie nationale de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel qui intègre les points de vue et les aspirations des différents acteurs guatémaltèques impliqués dans ce domaine.
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Tadjikistan: Mise en œuvre de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au niveau international
10/13-04-2013Douchanbé (Tadjikistan)
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Trois ans après avoir ratifié la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel, le Tadjikistan fait un pas en avant dans le renforcement de ses capacités de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Un projet de deux ans, mis en place dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités de l’UNESCO, a été lancé en 2012, grâce au généreux support de la Norvège. Le but est d’accumuler une masse critique d’expérience et de savoirs, tant au sein des institutions gouvernementales qu’au sein de la société civile, afin que le Tadjikistan soit pourvu d’un cadre durable pour la sauvegarde du patrimoine immatériel et pour la mise en application de la Convention à long terme.
Le projet implique une approche à long terme et à multiples facettes, qui comprend une révision des politiques et de la législation, un renforcement des infrastructures institutionnelles, un développement des cadres et des méthodes d’inventorisation qui impliquent pleinement les communautés en question, ainsi qu’un renforcement des compétences techniques nécessaires pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. La première étape de cette stratégie s’est axée sur la mise en application de la Convention de 2003 au niveau national, et un atelier de cinq jour, tenu en août 2012, s’est penché sur les concepts-clés de la Convention, tout en aidant les participants à mieux comprendre les obligations de toutes les parties prenantes au niveau national.
Les mécanismes internationaux de la Convention sont la base même de l’état actuel du projet. Des institutions étatiques, académiques et éducatives, des représentants des communautés spécialisées dans l’artisanat et les musiques traditionnelles, ainsi que des membres de la fonction publique se sont rencontrés lors d’un atelier organisé par UNESCO Almaty et la Commission national tadjik pour l’UNESCO du 10 au 13 avril 2013 à Douchanbé afin d’acquérir les connaissances nécessaires pour élaborer des nominations pour les inscriptions sur les différentes listes de la Convention, des propositions sur les meilleures pratiques de sauvegarde et des demandes d’assistance internationale. L’atelier s’est déroulé avec l’aide des facilitateurs de l’UNESCO Mme Sabira Soltongeldieva et M. Ilya Fetisov.
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Pour plus d’informations, veuillez consulter la page web de Bureau de l’UNESCO à Almaty
Atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au Brunéi Darussalam
10-04-2013Brunéi Darussalam (Brunéi Darussalam)
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Le ministère de la Culture, la Jeunesse et le Sport du Brunei Darussalam a organisé un séminaire sur la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO le 10 avril 2013. Ce forum a rassemblé des représentants du ministère de la Culture, de la jeunesse et du Sport, du ministère des Affaires intérieures et du ministère de la Justice ainsi que des responsables de district, des membres de l’Université du Brunei Darussalam, des ONG locales, des experts et législateurs dans le domaine de la culture pour examiner les possibilités de sauvegarde et de promotion du patrimoine culturel immatériel (PCI) du pays. En outre, les participants ont aussi reçu des informations supplémentaires sur les stratégies de mise en œuvre de la Convention de 2003 et les efforts à fournir pour renforcer à chaque niveaux les réseaux internes qui rassemblent les différents acteurs concernés.
Pour plus d’information, cliquez ici.
Namibie : Mise en oeuvre au niveau national de la stratégie du renforcement des capacités
08/19-04-2013Waterberg (Namibie)
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La mise en œuvre de la stratégie de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Namibie entre dans sa seconde phase. Après une série réussie d’exercices d’inventaire du patrimoine culturel immatériel impliquant les communautés, effectués dans le cadre plus global du programme culture et développement du F-OMD, le bureau de l’UNESCO de Windhoek et le ministère de la Jeunesse, du Service national, des Sports et de la Culture ont formé un groupe de 20 formateurs locaux pour assurer la viabilité de l’inventaire du patrimoine culturel immatériel et des efforts de sauvegarde. Un atelier national de formation de formateurs s’est tenu du 8 au 19 avril 2013 à Waterberg, en Namibie.
Les 20 participants, originaires de différentes parties du pays, se sont penchés sur des aspects spécifiques de l’identification du PCI, de l’établissement d’inventaire et des interactions au sein des communautés. En outre, le programme de l’atelier, facilité par M. Stephen Chifunyise du Zimbabwe et M. Lovemore Mazibuko du Malawi, experts du patrimoine culturel immatériel d’Afrique australe, comprenait également une partie sur les méthodes de formation participative.
L’expérience de cet atelier pilote en Namibie et sa possible reproduction à l’échelle régionale seront débattues au cours du prochain atelier qui s’intitule « La stratégie du patrimoine culturel immatériel dans la région de l’Afrique du Sud, processus de formation des formateurs nationaux » qui sera organisé par le bureau de l’UNESCO de Windhoek à Harare au Zimbabwe du 30 avril au 2 mai 2013.
Bhoutan: atelier sur l’établissement d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés
02/09-04-2013Phuntsholing (Bhoutan)
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Un atelier sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel (PCI) avec la participation des communautés a eu lieu du 2 au 9 avril à Phuntsholing, une ville proche de la frontière sud du Bhoutan. Financé par le Fonds-en-dépôt japonais, cet événement mettait l’accent sur i) la participation des communautés à l’inventaire des ressources culturelles, ii) l’importance du protocole culturel en matière d’inventaire avec la participation des communautés et iii) l’expérience pratique dans la préparation de travaux sur le terrain.
Pour plus d’informations, cliquez ici.
Inventaire pilote dans la communauté de tango de Buenos Aires
01-04-2013/30-11-2013Buenos Aires (Argentine)
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Following the previous theoretical trainings, a pilot inventorying experience was launched in April 2013 and concluded in November 2013 in the city of Buenos Aires. This field work was aimed at providing first-hand experience in drawing up inventories to a team made of tango bearers, government officials and members of relevant non-governmental organizations.
Guided by the main project facilitator, Ms Mónica Lacarrieu (Argentina), the inventory team chose, among the different musical, poetic and human elements of the practice of tango, to focus on milongas, the popular evenings where men and women gather in local clubs to dance the tango and the music that carries that same name. According to the inventory team, beyond the worldwide known dance itself, some elements related to tango are exposed to threats and need to be safeguarded. The milongas of Buenos Aires were identified as part of these ‘less healthy’ elements of tango and selected for the pilot inventory exercise. The following milongas were selected according to criteria of age, close ties with their neighbourhoods, liveliness of the gatherings and transmission of the knowledge associated with tango and consent from the milongueros:
• Sunderland (Villa Urquiza, Buenos Aires)
• Sin Rumbo (Villa Urquiza, Buenos Aires)
• Lo de Celia (Constitución-San Cristóbal, Buenos Aires)
• Huracán (Parque Patricios, Buenos Aires)
• La Tierrita (Parque Avellaneda, Buenos Aires)
Atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 sur le plan national en Honduras
18/22-03-2013Tegucigalpa (Honduras)
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Un atelier intensif de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national se tient à Tegucigalpa, Honduras, du 18 au 22 mars. La réunion inaugure le projet régional de renforcement des capacités dans ce domaine, qui sera mis en œuvre en Amérique centrale tout au long de 2013 par les bureaux de l’UNESCO à San José et au Guatemala, grâce à la généreuse contribution de l’Espagne au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Cette première activité, qui bénéficie du soutien de la Coordination éducative et culturelle centraméricaine (CECC/SICA), réunira les principaux acteurs impliqués dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Honduras, en particulier le Département de la culture, les arts et le sport, ainsi que des représentants de l’Institut nicaraguayen de la culture et du Secrétariat de la culture de la Présidence du Salvador. Animées par deux membres du réseau d’experts formés par l’UNESCO, M. Enrique Pérez López (Mexique) et Mme María Ismenia Toledo (Venezuela), ces séances sont conçues pour offrir aux points focaux du projet dans chacun des pays bénéficiaires un aperçu global des objectifs, des concepts clés et des mécanismes internationaux de la Convention de 2003 ainsi que des obligations nationales des États parties.
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La République dominicaine sur la route de la mise en oeuvre de la Convention de 2003
11/15-03-2013Saint-Domingue (République dominicaine)
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Plus de 25 spécialistes d’institutions gouvernementales et non gouvernementales et d’universités ainsi que des représentants des communautés des différentes régions de la République dominicaine participeront au premier atelier sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de 2003 qui aura lieu à Saint-Domingue, du 11 au 15 mars.
Animé par les facilitateurs formés par l’UNESCO, Adriana Molano de Colombie et Edis Sánchez de République dominicaine, l’atelier veut offrir une vision générale des objectifs et des concepts fondamentaux de la sauvegarde selon la Convention de 2003 ainsi que des obligations nationales des États parties et des mécanismes de coopération internationale. Son but est de créer une masse critique d’acteurs gouvernementaux et issus de la société civile afin d’établir les premières bases d’un cadre durable pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à long terme.
Avec cette activité, le Bureau régional pour la culture en Amérique latine et dans les Caraïbes de l’UNESCO, avec la collaboration de la Commission nationale de la République dominicaine pour l’UNESCO, lancent en République dominicaine le projet régional pour le renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans les Caraïbes qui sera mené tout au long de 2013, avec le financement du Fonds du patrimoine culturel immatériel grâce à la généreuse contribution de la Norvège.
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Le Sri Lanka se prépare à faire l’inventaire du patrimoine culturel immatériel
10/17-03-2013Colombo (Sri Lanka)
Atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003
07/08-03-2013Asuncion (Paraguay)
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SUBREGIONAL PROGRAM FOR THE SAFEGUARDING OF THE INTANGIBLE CULTURAL HERITAGE
LIVESTRONG PROJECT
Workshop I: Implementation of the Convention for the Safeguarding of the Intangible Cultural Heritage 2003 of Unesco at the national level
March 7 and 8, 2013
Place: Archivo Nacional- Mariscal Estigarribia e / Iturbe.
Asuncion, Paraguay
Élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés en Argentine
04/06-03-2013Buenos Aires (Argentine)
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En conséquence du contexte politique et des modifications qui en ont découlé, la deuxième phase du projet «Patrimoinevivant» s’est déclinée en trois activités, décidées en accordavec les contreparties gouvernementales argentines (dont il est fait mention dans le rapportI) et conformément aux recommandations de la réunion d’évaluation de Pékin (décembre 2012).D’une part, comme il nous était demandéde séparer la formation des représentants gouvernementaux de la ville autonome de Buenos Aires de celle des représentantsdu gouvernement national,nous avons dû organiser undeuxième atelier (intitulé «Élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés») à deux moments différents. Le premier a eu lieu du 25 février au 1ermars de cette année et le second a eu lieu du 4 au 6 mars, tousdeux à Buenos Aires.D’autre part, la demande officielle d’Argentine de réduire la représentation du Paraguay aux représentants de la société civile (demande due à la suspension temporaire de ce paysdu MERCOSUR, marché commun du Sud) nous a obligésà organise en plus un formationà Asunción (Paraguay) à la demande expresse des autorités paraguayennes.Les trois ateliers ont été animés par des formateurs de l’UNESCO, les experts éminents et respectés Francisco López Morales et Mónica Lacarrieu.
Cuba: les communautés s’impliquent dans l’inventaire de la fête rurale des bandes rouge et bleue de Majagua
28-02-2013/05-03-2013Majagua, Ciego de Ávila (Cuba)
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Suite à l’atelier sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel qui s’est tenu en novembre dernier dans la province de Matanzas, une mission préparatoire a été organisée du 31 janvier au 3 février afin d’obtenir le consentement de la communauté de Majagua, en plein cœur de Cuba, à l’inventaire.
La manifestation sélectionnée par la communauté pour réaliser ce premier exercice de terrain est la fête rurale des bandes rouge et bleue de Majagua, connue dans toute l’île comme une institution sociale durable qui rassemble les résidents de différentes générations dans l’un ou l’autre camp autour de rivalités et compétitions amicales. L’exercice se déroulera du 28 février au 5 mars, sous la supervision des facilitateurs formés par l’UNESCO, María Ismenia Toledo du Venezuela et Enrique López du Mexique. Cette activité compte avec l’appui non seulement de la communauté de Majagua mais également avec celui des autorités provinciales dans le domaine du patrimoine culturel et des Maisons de la Culture de la province de Ciego de Ávila. L’équipe en charge de l’exercice se compose de cinq membres de la communauté, d’experts des provinces de Guantánamo, Camaguey, Ciego de Ávila et Matanzas et de deux représentants de la Commission nationale pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Il s’agit de la première activité de terrain dans le cadre d’un projet de renforcement de capacités mené par l’UNESCO grâce au généreux soutien de la Norvège, à travers du Fonds du patrimoine culturel immatériel.
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Une nouvelle étape dans l’identification du patrimoine culturel immatériel en Argentine
25-02-2013/01-03-2013Buenos Aires (Argentine)
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Du 25 février au 1er mars 2013, des représentants gouvernementaux et de la société civile d’Argentine, Paraguay et Uruguay poursuivront le programme de renforcement des capacités qui a été lancé en octobre 2012 avec le généreux soutien du Fonds fiduciaire UNESCO/Japon. Il s’agit cette fois d’une formation intensive sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel. Mónica Lacarrieu et Francisco López Morales seront de nouveau en charge de la formation qui mettra l’accent sur le rôle clé que la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de 2003 accorde aux communautés dans l’identification et la définition de leur patrimoine.
Ces sessions ont pour but de donner aux participants les connaissances et techniques fondamentales qui permettent de concevoir et de faciliter un processus d’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés et adapté à leurs circonstances particulières. Elles établiront les bases pour l’exercice de terrain que, pendant cinq mois, effectuera la communauté de tango à Buenos Aires.
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Nomination de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au niveau international
18/21-02-2013Almaty (Kazakhstan)
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Organized by UNESCO Almaty in close co-operation with the National Commission for UNESCO and ISESCO and the National Federation of UNESCO Clubs, the workshop was held from 18 to 21 February 2013 in Almaty.
It targeted primarily Kazakh participants, mainly from the National Committee for the Safeguarding of the Intangible Cultural Heritage, the Agency for Tourism and Sport, leading universities and museums in the country, as well as NGOs in the field of crafts, traditional music and dance. In order to strengthen sub-regional cooperation, three participants from the neighbouring Central Asian countries (one from Kyrgyzstan, Tajikistan and Uzbekistan) attended the workshop. The majority of the 21 participants were experts (only two practitioners) between 40 and 60 years of age and almost half of them were women. Six participants participated in a workshop on implementation of the Convention, five of them within the current project (April 2012, Astana).
The workshop provided an opportunity to improve participants’ knowledge on international mechanisms of the Convention. The presence of experts on intangible cultural heritage from Kyrgyzstan, Tajikistan and Uzbekistan offered an excellent opportunity to exchange experiences in safeguarding and allowed participants to discuss prospects for possible nominations of elements shared by communities in Central Asian countries.
The most heated debates were raised around the question of if it was appropriate to consider professional performers of traditional music and dance as bearers of intangible cultural heritage. Discussions also involved the administration of intellectual property rights for traditional knowledge and cultural expressions.
Le Cambodge réoriente ses méthodes d’inventaire du patrimoine vivant
14/21-02-2013Phnom Penh (Cambodge)
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Le Cambodge cherche à introduire une dimension plus communautaire dans l’inventaire de son patrimoine vivant. Grâce à la généreuse contribution du Japon, plus de 35 participants se sont réunis à Siem Reap du 14 au 21 février 2013 afin de consolider leurs connaissances et développer une nouvelle approche.
L’UNESCO a fourni une aide considérable grâce à deux membres de son réseau de facilitateurs certifiés, M. Rahul Goswami d’Inde et Mme Suzanne Ogge d’Australie. Le programme comprenait huit jours de cours intensifs et des expériences sur le terrain au sein des régions rurales de la province de Siem Reap, mais également dans la ville même. Les expériences sur le terrain incluaient une visite de l’école des Beaux-Arts et de deux communautés locales, dont certaines pratiques avaient été référencées comme patrimoine culturel immatériel : techniques traditionnelles de tissage et d’arts martiaux, et performances artistiques. Les participants ont appris, à travers une formation pratique, des techniques d’entretien et d’enregistrement audiovisuel. Ils ont également visité le musée Eco-global (soutenu par l’UNESCO) situé dans la province de Preah Vihear pour en apprendre davantage sur un projet d’inventorisation en cours qui combine une documentation audiovisuelle du patrimoine vivant au sein d’une communauté autochtone locale avec une documentation des objets culturels qui y sont associés.
Jusqu’à présent, le programme des « Trésors humains vivants » du Cambodge était basé sur une documentation et un inventaire minutieux du patrimoine immatériel, bien que ces méthodes n’aient pas encore été appliquées aux communautés comme le recommande la Convention de 2003. L’atelier de renforcement des capacités sur les méthodes d’inventaire à dimension communautaire a ainsi fourni aux participants – dont la plupart sont des directeurs provinciaux – de nouvelles compétences et de nouveaux savoirs pour leur travail sur le terrain. L’atelier a également mis l’accent sur le développement de réseaux d’entraide mutuelle entre les professionnels de la culture et les communautés, afin de soutenir les efforts nationaux de documentation et d’inventorisation du patrimoine vivant.
Parmi les participants figuraient ceux qui avaient assisté au premier atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention qui s’était tenu en août 2012 à Phnom Penh, mais également de nouveaux participants. Parmi ces derniers figuraient des représentants des organisations de la société civile. Bien que plusieurs d’entre eux aient mentionné le besoin d’avoir un support financier fiable et à long terme, ainsi qu’une certaine stabilité pour les travaux de sauvegarde, tous les participants ont confirmé que la formation était extrêmement utile, et qu’ils intégreraient cette nouvelle approche au sein de leurs travaux actuels et de leurs programmes futurs.
Samoa mobilise les différents acteurs pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
11/15-02-2013Apia (Samoa)
Inventaire du patrimoine culturel immatériel au Népal
19/28-01-2013Katmandou (Népal)
Les défis du renforcement des capacités dans le domaine du patrimoine culturel immatériel dans la région arabe
14/17-01-2013Doha (Qatar)
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Comment les états arabes peuvent-ils mettre en œuvre la Convention de 2003 de manière efficace à l’échelle nationale ? Que faire pour promouvoir une bonne coopération régionale dans le monde arabe afin de renforcer les capacités de toutes les parties prenantes concernées ? Quels sont le meilleurs moyens de sensibiliser la population et de garantir l’implication des communautés concernées dans le processus de sauvegarde ?
Telles sont quelques-unes des questions qui seront débattues par les représentants des ministères de la culture de tous les pays de la région arabe lors de la réunion sur « les défis du renforcement des capacités dans le domaine du patrimoine culturel immatériel » qui aura lieu à Doha, du 14 au 17 janvier 2013.
Avec le généreux soutien financier du Qatar et co-organisée par le Ministère de la culture, des arts et du patrimoine du Qatar, l’ALECSO et l’UNESCO, cette réunion sera l’occasion de planifier une coopération accrue dans la région pour une meilleure sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
La réunion sera co-animée par un groupe d’experts de la région, tous members du réseau des 77 experts formés à l’utilisation d’un programme spécifiquement développé par l’UNESCO pour la mise en œuvre de la Convention.
Clôture du projet MedLiher : rendez-vous à Paris le 17 et 18 décembre 2012
17/18-12-2012Paris (France)
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MEDLIHER: Une autre vision du patrimoine vivant de la Méditerranée
© UNESCO
Alors que le projet “Patrimoine vivant méditerranéen” (MedLiHer), co-financé par l’Union européenne (UE) et l’UNESCO, arrivera à son terme à la fin décembre 2012, la réunion d’évaluation finale du projet se tiendra le 17 et 18 décembre 2012 à Paris, organisé par la Maison des Cultures du Monde, partenaire du projet.
Cette réunion sera l’occasion de revoir le projet à la lumière de ses objectifs et d’en tirer un bilan, mais aussi de réfléchir à la continuité du projet à l’avenir. Les discussions seront basées sur un rapport d’évaluation final. Le programme prévoit, en outre:
- une table ronde publique sur le patrimoine culturel immatériel dans la région,
- une présentation d’exemples de patrimoine culturel immatériel (PCI) de la région,
- la projection du film développé par le projet MedLiHer conjointement avec l’exposition photographique numérique.
Une deuxième projection du film et l’exposition photo numérique seront organisée au Siège de l’UNESCO dans la soirée du 18 décembre, avec la participation des délégations de l’UNESCO.
Cliquez ici pour en savoir plus.
Bagamoyo: comment préparer une candidature
10/14-12-2012Bagamoyo (République-Unie de Tanzanie)
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Un atelier sur l’élaboration des candidatures se tiendra du 10 au 14 décembre 2012 à Bagamoyo, en République-Unie de Tanzanie. Il sera organisé par l’UNESCO à Dar es-Salaam, conjointement avec le ministère de l’Information, de la Jeunesse, de la Culture et des Sports en Tanzanie.
25 participants sont attendus, choisis dans la liste des personnes formées à l’atelier d’inventaire par les communautés en février 2012. Les participants devraient être en mesure d’identifier un élément et de développer un exemple de dossier de nomination, comprenant une stratégie pour la participation de la communauté et une plan de sauvegarde pour l’élément identifié.
L’atelier sera animé par Jules Mwahunga et Silverse Anami, experts culturels et facilitateurs agréés de l’UNESCO. M. Anami est également membre du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Sauvegarder le « patrimoine vivant » de la Jamaïque
10/14-12-2012Kingston (Jamaïque)
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La Jamaïque accueillera un atelier national sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel du 10 au 14 décembre 2012. Organisé par l’Institut africain des Caraïbes de la Jamaïque, le Ministère de la Jeunesse et de la Culture, la Commission nationale jamaïcaine pour l’UNESCO et le Bureau multinational de l’UNESCO à Kingston pour les Caraïbes, l’atelier réunira des représentants du gouvernement, des organisations non gouvernementales et des intervenants communautaires pour participer à un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’ouverture officielle aura lieu le 10 décembre 2012 à l’Hôtel Courtleigh and Suites à Kingston, avec la présence de Yasuo Takase, ambassadeur du Japon à la Jamaïque, au Belize et aux Bahamas, ainsi que des représentants d’institutions gouvernementales et non gouvernementales, d’universités, du corps diplomatique et des agences des Nations Unies en Jamaïque.
Cet atelier fait partie d’un projet sous-régional mis en œuvre au Belize, en Jamaïque et à Trinité-et-Tobago dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO pour le renforcement des capacités en matière de patrimoine culturel immatériel. Financé par le gouvernement du Japon, ce projet comprend une évaluation du patrimoine culturel immatériel lié au processus d’élaboration des politiques dans les pays concernés et à l’identification de leurs besoins spécifiques pour la sauvegarde de leur patrimoine vivant. Dans le cadre du renforcement de leurs capacités de sauvegarde, les pays devront aussi élaborer et mettre en œuvre un cadre pour l’inventaire communautaire du patrimoine culturel immatériel sur leur territoire, qui comprendra des inventaires pilotes.
Réunion de bilan sur la mise en oeuvre de la Convention de 2003 avec les Directeurs culturels
27/28-11-2012Nairobi (Kenya)
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Qu’est-ce qui a été réalisé pour la ratification, la mise en œuvre, et les processus de renforcement des capacités liées au patrimoine culturel immatériel dans votre pays?
Telle est la question qui va être posée à un public de Directeurs culturels au cours d’un atelier organisé à Nairobi, au Kenya, du 25 au 28 novembre 2012. Le Burundi, l’Érythrée, le Kenya, le Rwanda, la Somalie, Djibouti, le Sud-Soudan et de l’Ouganda seront représentés.
L’objectif de l’atelier est d’amener les participants à comprendre plus profondément la Convention de 2003 de l’UNESCO sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et sa mise en œuvre au niveau national, ainsi que le rôle et les tâches de l’Etat partie dans la mise en œuvre de la Convention au niveau national.
Documents
Samarkand: comprendre la procédure de candidature
21/24-11-2012Samarkand (Ouzbékistan)
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Après la ratification de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en 2007 et l’organisation d’un atelier national sur sa mise en œuvre en juillet 2012, l’Ouzbékistan sera l’hôte d’un atelier subrégional sur « L’élaboration des candidatures aux listes du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO ». L’atelier, qui se tiendra à Samarkand, du 21 au 24 Novembre 2012, est organisé par le Bureau de l’UNESCO à Tachkent, en étroite coopération avec le Ministère de la Culture et du Sport de la République d’Ouzbékistan et avec le soutien des autorités de la province de Samarkand.
Conduit dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO sur le renforcement des capacités dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, l’atelier vise à fournir une compréhension approfondie du processus de candidature et de transmettre le savoir-faire sur l’élaboration des dossiers de candidatures pour les inscriptions sur les listes du patrimoine culturel immatériel.
Forum de la Jeunesse aux Caraïbes sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
20/24-11-2012Saint-Georges (Grenade)
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“Êtes-vous un jeune des Caraïbes entre 20 et 25 ans voulant jouer un rôle plus actif dans la sauvegarde du patrimoine vivant?”
L’UNESCO, à travers sa Section du patrimoine culturel immatériel, invite les ressortissants d’Antigua-et-Barbuda, Bahamas, Barbade, Belize, Iles Cayman, Curaçao, Dominique, Grenade, Guyana, Jamaïque, Saint-Kitts-et-Nevis, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les Grenadines, Saint-Maarten, Suriname et Trinité-et-Tobago, à présenter des demandes pour participer au Forum des jeunes des Caraïbes sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel qui se tiendra à Grenade, du 20 au 24 novembre 2012, grâce à la généreuse contribution de la Bulgarie et du Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Le Forum vise à favoriser la reconnaissance de l’importance du rôle des jeunes dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et à répondre à la nécessité de renforcer leurs connaissances et leurs capacités dans ce domaine. Organisée dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO de renforcement des capacités nationales de sauvegarde pour la mise en œuvre effective de la Convention de 2003, elle rassemblera environ 25 participants de groupes de jeunes ou d’organisations actives dans la région dans le domaine de la culture. Des jeunes provenant de 16 pays différents, Caribbean Small Island and Developing States (SIDS) et Least Developed Countries (LDCs), se familiariseront avec les concepts de base de la Convention et pourront développer une compréhension substantielle de ses mécanismes et de leur rôle dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Le Forum s’articule autour d’un certain nombre de séances: l’introduction des participants, l’introduction de la Convention de 2003, les concepts clés de la Convention, la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) et le développement durable, la préparation d’une visite sur le terrain, la visite du PCI de deux communautés, la discussion autour de la visite de terrain, le rôle des jeunes dans la sauvegarde du PCI, la planification en équipe et la production d’un rapport pour un plan d’action impliquant les participants dans la sauvegarde du PCI, et enfin la conclusion et l’évaluation du Forum. À la fin de la session de planification, les participants rédigeront un bref rapport sur leur expérience lors du Forum qui sera soumis à la 7ème session du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Forum de la jeunesse en Afrique Centrale: sensibilisation au patrimoine culturel immatériel
19-11-2012Brazzaville (Congo)
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L’Afrique centrale se lance dans la responsabilisation des jeunes dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en organisant un forum rassemblant des jeunes du Congo, de la République Centrafricaine et du Tchad du 19 au 23 novembre 2012 à Brazzaville au Congo.
En effet, les jeunes, qui représentent la majorité de la population en Afrique centrale, ont un rôle important à jouer dans la revitalisation des pratiques culturelles et des systèmes de connaissances et rituels de la région. Crucial au développement durable, le patrimoine immatériel a un impact sur le bien-être des populations dans la durée, leurs relations avec les autres et leur environnement naturel. Il donne aux peuples un sentiment d’appartenance, de joie et de perspective. Ainsi, c’est pour les générations à venir que le patrimoine immatériel doit être sauvegardé. La collaboration avec les jeunes à cet égard est donc primordiale, notamment dans un contexte de confrontation à des possibilités restreintes d’éducation, d’opportunités économiques et à une augmentation croissante de la violence.
C’est pourquoi, l’UNESCO donne une priorité aux jeunes dans le cadre de sa stratégie mondiale pour renforcer les capacités de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers une mise en œuvre effective de la Convention de 2003. Financé par le Fonds d’urgence de l’UNESCO, le forum de la jeunesse en Afrique Centrale est organisé et coordonné par le bureau de l’UNESCO de Yaoundé en étroite collaboration avec la section du patrimoine culturel immatériel du siège de l’UNESCO.
La Mongolie franchit une nouvelle étape vers la mise en oeuvre de la Convention de 2003
19/23-11-2012Oulan-Bator (Mongolie)
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Avec le soutien de l’UNESCO/Fonds-en-dépôt japonais, la Mongolie va bénéficier d’une formation sur les concepts et les mécanismes de la Convention de 2003 du 19 au 23 novembre 2012, ce qui permettra de renforcer leurs capacités à préserver leur patrimoine vivant au niveau national et au niveau international.
Ratification au Bénin: et après?
19/23-11-2012Porto-Novo (Bénin)
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Suite à la ratification récente par le Bénin de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, un processus de mise en œuvre se développe au niveau national. À l’appui de ce processus, un atelier de formation est organisé conjointement par le ministère de la Culture, de l’Alphabétisation, de l’Artisanat et du Tourisme et par l’Ecole du Patrimoine Africain (EPA) de Porto Novo du 19 au 23 novembre 2012. Il réunira 23 acteurs clés béninois, mais aussi 2 étudiants de l’Université d’Abomey-Calavi comme observateurs, et se centrera sur les concepts fondamentaux, les mécanismes et les obligations de l’État pour la mise en œuvre de la Convention au niveau national. Il abordera également les implications spécifiques pour la mise en œuvre au Bénin.
L’atelier est organisé dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine immatériel et sera une étape importante dans le processus de long-terme engagé au Bénin comprenant révision des politiques, inventaire avec la participation des communautés et participation aux mécanismes internationaux de la Convention (listes et aide internationale).
L’atelier est financé par les programme et budget réguliers de l’UNESCO. Il sera co-animé par deux membres du personnel de l’EPA et Marie-Thérèse Agueh, facilitatrice agréée de l’UNESCO. La cérémonie de clôture sera présidée par le ministre de la Culture.
Préparation à l’inventaire dans la province de Matanzas, Cuba
12/20-11-2012Matanzas (Cuba)
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Plus de 25 participants provenant de 12 provinces de Cuba, y compris des membres de la communauté rurale, se sont réunis pendant 10 jours dans la province de Matanzas, sur la côte nord de Cuba, pour suivre une formation intensive sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel dans l’esprit de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Animé par facilitateurs formés par l’UNESCO, María Ismenia Toledo du Venezuela et Enrique López du Mexique, l’atelier a porté sur le rôle des communautés dans la réalisation d’inventaires du patrimoine culturel immatériel, l’exigence de leur consentement libre, préalable et éclairé et leur pleine participation dans la définition de ces pratiques et expressions qu’ils reconnaissent comme faisant partie de leur patrimoine culturel. L’atelier a également abordé le thème des techniques et méthodes d’entretien et enregistrement audio-visuel sur le terrain et s’est achevé par une pratique de terrain de deux jours, y compris une séance sur l’organisation des données collectées.
L’exercice d’inventaire a été réalisé avec la communauté rurale de Máximo Gómez de Perico, une commune de la province de Matanzas, qui est considérée à Cuba comme une référence pour le repentismo (art de l’improvisation poétique) et qui a donné son consentement libre, préalable et éclairé à l’inventaire de ses foyers Cucalambé. Ce sont des maisons familiales dans lesquelles leurs membres pratiquent des traditions indigènes qui identifient le créolisme de racines hispaniques au progrès spécifiques de l’époque contemporaine. Guateques (fêtes typiques), décimas (vers improvisés de dix strophes), controversias (formes de déclamation), chants et sérénades sont régulièrement organisés dans ces maisons.
Avec le soutien du Conseil national du patrimoine culturel (CNPC) et les maisons de la culture locales, cette activité a lancé, à Cuba, le projet régional de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans les Caraïbes qui sera mené tout au long de 2013, avec le financement du Fonds du patrimoine culturel immatériel grâce à la généreuse contribution de la Norvège.
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Sur la bonne voie? Réunion de bilan de la stratégie globale de l’UNESCO: Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
07/10-11-2012Pékin (Chine)
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La première réunion internationale de bilan sur la stratégie globale de l’UNESCO pour le renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel se tiendra du 7 au 10 novembre 2012 à Pékin, en Chine. Elle est organisée par la Section du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, en partenariat avec le Centre de formation pour le patrimoine culturel immatériel dans la région Asie-Pacifique sous l’égide de l’UNESCO (CRIHAP) et l’appui généreux du gouvernement chinois.
En un an de stratégie globale, 42 pays ont commencé la mise en œuvre de projets de renforcement des capacités de deux ans, et 76 ateliers de formation ont déjà eu lieu, animés par les facilitateurs du réseau de 75 experts certifiés de l’UNESCO venant du monde entier. Ils ont été formés à l’utilisation des documents pédagogiques élaborés par l’UNESCO dans quatre domaines thématiques: (i) la ratification, (ii) la mise en œuvre, (iii) l’inventaire avec la participation des communautés et (iv) les candidatures.
La réunion de bilan réunira donc 17 de ces facilitateurs (anglophones), 8 spécialistes du programme Culture de l’UNESCO venant de quatre bureaux hors-siège et la Section du patrimoine culturel immatériel, tous activement engagés dans le programme. Un certain nombre de membres du CRIHAP participeront également en tant qu’observateurs.
La réunion fera le point sur les expériences passées et se proposera d’évaluer à la fois les aspects opérationnels et de fond des activités de renforcement des capacités. La stratégie sera examinée d’une façon large, depuis l’élaboration du projet et la préparation de l’atelier jusqu’à l’impact sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 dans les pays bénéficiaires. Le groupe s’efforcera de consolider les enseignements reçus et de partager des idées sur la manière d’améliorer le contenu et l’efficacité de la stratégie globale.
Cette réunion est une excellente occasion de poursuivre les objectifs de l’UNESCO dans le domaine de la culture, notamment pour mobiliser l’expertise nationale et internationale pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Suite à cette première réunion de bilan de la stratégie globale de renforcement des capacités, deux réunions de bilan supplémentaires sont prévues l’année prochaine en Afrique et en Amérique latine, avec la participation d’animateurs de langues française et espagnole.
La sauvegarde du patrimoine vivant se poursuit au Belize!
05/09-11-2012Belize City (Belize)
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Alors que l’intérêt pour l’élaboration d’une politique culturelle nationale au Belize continue d’aller croissant, l’UNESCO lance dans le cadre de sa stratégie globale un projet de deux ans et demi pour aider le pays à préserver son patrimoine vivant.
Grâce à un financement du Japon, le Belize est l’un des trois pays des Caraïbes, avec la Jamaïque et Trinité-et-Tobago, à pouvoir bénéficier de cette initiative de sauvegarde. Avec les consultations nationales qui ont suivi le développement de sa politique culturelle nationale, le projet est particulièrement opportun pour le Belize. Il suivra le développement de la politique de patrimoine culturel immatériel et permettra d’ouvrir de nouvelles perspectives.
Du 5 au 9 novembre à la Maison de la Culture à Belize City, des membres de la communauté et des fonctionnaires de l’Institut national de culture et d’histoire, des représentants non gouvernementaux et des experts culturels, se réuniront pour participer à un atelier sur le mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
La prochaine étape sera le développement et la mise en œuvre d’un cadre pour l’inventaire communautaire du patrimoine culturel immatériel au Belize, qui est prévu pour 2013.
Inventaire du patrimoine culturel immatériel à Goroka
22/27-10-2012Goroka (Papouasie-Nouvelle-Guinée)
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En vue de renforcer les capacités nationales de Papouasie-Nouvelle-Guinée dans la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI), Noriko Aikawa-Faure, un facilitateur de l’UNESCO, a préparé et animé un atelier intitulé “Inventaire du PCI par les communautés (INV)” du 22 au 27 ctobre 2012 à Goroka, organisé en étroite collaboration avec la Commission nationale de la culture de PNG.
Inventaire du patrimoine culturel immatériel du Timor-Leste
22/27-10-2012Dili (Timor-Leste)
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Un atelier de trois jours sur l’inventaire avec la participation des communautés, dans le cadre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) a eu lieu du 23 au 25 octobre 2012 à Suai, sous-district de Cova Lima, au Timor-Leste. L’atelier a été organisé conjointement par le Secrétariat d’Etat de l’Art et de la Culture du Ministère du Tourisme et de la Culture de la République démocratique du Timor-Leste, le gouvernement du district de Cova Lima et l’UNESCO, avec le soutien du Fonds-en-dépôt du Japon.
Cet atelier a réuni quelque 50 participants, dont des fonctionnaires culturel nationaux et du district, des représentants gouvernementaux, des leaders communautaires du sous-district de Suai, des enseignants, de jeunes danseuses traditionnelles locales, des musiciens traditionnels, et d’autres membres de la communauté de Suai. Les douze sessions de l’atelier avaient pour but de fournir aux participants des connaissances de base sur le procédé d’inventaire, et les compétences pour concevoir et faciliter un inventaire adapté aux circonstances actuelles du Timor-Leste.
Lors de la cérémonie d’ouverture, Maria Isabel de Jesus Ximenes, Secrétaire d’Etat de l’Art et de la Culture du Ministère du Tourisme et de la Culture de la République démocratique du Timor-Leste, a souligné l’importance des efforts conjoints des gouvernements, de la société civile et des communautés pour assurer la transmission du précieux patrimoine culturel immatériel du Timor-Leste aux générations futures. Elle a souligné que la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel devrait jouer un rôle clé pour assurer le respect mutuel, le développement durable et la promotion de la paix au Timor-Leste et au-delà.
L’atelier a ensuite présenté aux participants les concepts clés de la Convention, les méthodes de l’inventaire avec la participation des communautés, le consentement libre et éclairé dans l’inventaire, les processus de création et les techniques de production et systématisation de l’information avec la communauté, un exemple contextualisé, et bien plus encore. Dans le cadre de l’atelier, les participants ont aussi complété une excursion au village de Lia Na’in à Suai afin d’appliquer les connaissances théoriques à des travaux d’inventaire réel.
Grâce à ces sessions de formation, les participants ont acquis une vaste compréhension du fonctionnement de la Convention et reconnu la diversité du patrimoine culturel immatériel au sein d’une communauté, ainsi que l’importance de l’inclusion des jeunes, des aînés et des femmes, qui apportent chacun une vision différente du PCI. Les participants ont également eu l’occasion d’échanger leurs opinions sur les inventaires avec la participation des communautés, et de partager leurs expériences sur les façons d’identifier le PCI localement.
Renforcement des capacités au sein du Ministère de la Culture en Colombie (2 ateliers)
22/25-10-2012Bogota (Colombie)
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Du 22 au 23 octobre 2012 et du 24 au 25 octobre 2012, Bogota a accueilli deux ateliers successifs sur les résultats et la continuité de la mise en œuvre de la Convention de 2003 en Colombie, afin d’en examiner les défis et les atouts.
Deux facilitateurs accrédités de l’UNESCO, Fabián Bedon et Lucas dos Santos Roque, ont animé la séance devant un parterre de représentants des communautés, lors du premier atelier, et devant des fonctionnaires du patrimoine culturel au Ministère de la Culture de Colombie pour le second. Les ateliers ont permis aux participants d’accroître leurs connaissances sur le PCI et sur les aspects qui constituent la Convention de 2003, sur les différentes façons de mettre en œuvre son contenu et sur l’importance de créer d’un Comité national pour mettre en œuvre ces actions.
Renforcement des capacités au sein du Ministère des Cultures en Bolivie (3 ateliers)
15/19-10-2012La Paz (Bolivie (État plurinational de))
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Du 15 au 19 octobre 2012, La Paz a accueilli trois ateliers successifs sur les résultats et la continuité de la mise en œuvre de la Convention de 2003 en Bolivie, afin d’en examiner les défis et les atouts.
Deux facilitateurs accrédités de l’UNESCO, Fabián Bedon et Lucas dos Santos Roque, ont animé la séance devant un parterre de fonctionnaires du patrimoine culturel au Ministère des Cultures de Bolivie. L’atelier a permis aux participants d’accroître leurs connaissances sur le PCI et sur les aspects qui constituent la Convention de 2003, sur les différentes façons de mettre en œuvre son contenu et sur l’importance de créer d’un Comité national pour mettre en œuvre ces actions.
Consultation sur politiques du patrimoine à Aruba
15/17-10-2012Oranjestad (Aruba)
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Tout juste un mois après la ratification par les Pays-Bas de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de 2003 (qui s’étend non seulement à la partie européenne des Pays-Bas, mais aussi à sa partie caribéenne et à Aruba), l’UNESCO a organisé à Oranjestad un atelier sur les concepts clés de la Convention et les principales implications de la ratification. La réunion, qui s’inscrit dans le cadre d’un projet régional de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans les Caraïbes, avec l’appui du Fonds du patrimoine culturel immatériel grâce à la généreuse contribution de la Norvège, a été inaugurée par M. Arthur Dowers, Ministre de l’éducation, Mme Ineke Strouken, Présidente du Centre néerlandais de la culture populaire et le patrimoine immatériel et le coordonnateur de Culture du bureau de l’UNESCO à la Havane, M. Fernando Brugman.
L’atelier a été organisé grâce à l’excellent travail accompli par la Commission nationale d’Aruba auprès de l’UNESCO avec le soutien de la Direction du patrimoine culturel d’Aruba et a compté avec la présence de quelque 25 représentants des institutions culturelles les plus importantes du pays à qui il a fourni l’occasion de discuter de la stratégie de mise en œuvre de la Convention de 2003 à Aruba. Le caractère inclusif de la Convention a fait l’objet de débat, comprenant que, dans les conditions d’une mondialisation rapide, elle était un élément fondamental de cohésion, reconnaissance mutuelle et respect.
L’atelier a été honoré par la visite de Mme Michelle Hooyboer-Winklaar, Ministre de l’économie, les affaires sociales et la culture, qui, dans un entretien avec le représentant de l’UNESCO, a souligné la nécessité vitale de sauvegarder le patrimoine culturel à Aruba.
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Deuxième atelier IMP pour “Patrimonio Vivo”: trois pays d’Amérique du Sud s’associent pour mettre en œuvre la Convention de 2003
15/17-10-2012Buenos Aires (Argentine)
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The project was launched with the first actions taking place in June this year. A general Coordinator was selected in accordance with the profile set out in the prodoc, and the first informative communications were sent out (Argentine National Commission for Cooperation with UNESCO and Japanese Embassy in Argentina), and subsequently to the Secretariat for Culture of the Nation, the Argentine Foreign Office, the Uruguayan National Commission for UNESCO, etc. At the same time, communication was established with Ms. Mónica Lacarrieu member of the UNESCO Trainers network, to confirm her participation as the main resource person for the Project. Mr. Francisco López Morales was also contacted with the same purpose.
Byblos: préparer des candidatures aux listes de la Convention de 2003
12/14-10-2012Byblos (Liban)
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Dans le contexte de la Phase III du projet « Patrimoine vivant méditerranéen » (MedLiHer), financé par le programme Euromed Héritage 4 (UE) et mis en œuvre par l’UNESCO, la Commission nationale de l’UNESCO au Liban et le Ministère de la Culture organisent un atelier sur la méthodologie et les procédures de nomination d’un élément de patrimoine culturel immatériel sur la Liste représentative et la Liste de sauvegarde urgente. Cet atelier se tiendra à Byblos du 12 au 14 octobre 2012.
Le groupe ciblé par l’atelier est composé de représentants du Bureau régional de l’UNESCO, de la Commission nationale de l’UNESCO au Liban et du Ministère de la Culture (en particulier les personnes impliquées directement dans l’administration et dans la préparation des documents du projet), ainsi que des membres libanais du projet MEDLIHER et d’un expert de la poésie Zajal.
Il sera animé conjointement par deux facilitateurs accrédités de l’UNESCO, Mme Annie Tabet (Liban) et M. Hani Hayajneh (Jordanie).
“Patrimonio Vivo”: trois pays d’Amérique du Sud s’associent pour mettre en œuvre la Convention de 2003
08/12-10-2012Salta (Argentine)
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L’Argentine, l’Uruguay et le Paraguay s’engagent dans un programme de renforcement des capacités pour la sauvegarde de leur patrimoine vivant : intitulé « Patrimonio Vivo », le projet est organisé par le Bureau de l’UNESCO à Montevideo et financé par les ressources du Fonds-en-Dépôt japonais.
Le premier atelier, qui se tiendra lors de la deuxième semaine d’octobre 2012, présentera les concepts clés et les mécanismes de la Convention. Il fera le point sur les défis de sa mise en œuvre, non seulement au niveau national mais au niveau international : en effet, la coopération entre les trois pays se situe au cœur même du projet.
L’atelier réunira des communautés, des experts et des personnalités officielles des provinces du Nord-Est de l’Argentine Catamarca, Jujuy, Salta, Tucumán, Santiago del Estero, mais aussi des délégations venues d’Uruguay et du Paraguay, dont notamment les représentants du Museo del Barro d’Asunción au Paraguay.
Il sera animé par deux facilitateurs formés par l’UNESCO : M. Francisco López Morales, Directeur du Département du Patrimoine Mondial à l’Institut National d’Anthropologie et d’Histoire (INHA) de Mexico, et Mme Mónica Lacarrieu, Directrice du Programme d’Anthropologie Culturelle de l’Institut des Sciences Anthropologiques de l’Université de Buenos Aires (UBA).
Mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Kirghizstan
08/11-10-2012Bishkek (Kirghizistan)
Nouvelle étape dans la sauvegarde du patrimoine vivant de Jordanie: comprendre la procédure de candidature
07/11-10-2012Amman (Jordanie)
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Dans le contexte de la Phase III du projet « Patrimoine vivant méditerranéen » (MedLiHer), cofinancé par l’Union Européenne (EU) et l’UNESCO, un atelier sur les méthodes et les procédures de candidature à la Liste représentative et à la Liste de sauvegarde urgente du patrimoine culturel immatériel se tiendra à Amman du 7 au 11 octobre 2012.
L’atelier d’Amman fait suite à celui de Madaba et sera dédié à la préparation des dossiers de candidature pour inscription sur les listes de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI).Il décrira les exigences du processus de candidature, évaluera des candidatures types, engagera la discussion autour des éléments inventoriés à Madaba et de la participation des communautés.
L’atelier s’adresse en premier lieu aux membres de la Commission nationale jordanienne pour l’éducation, la culture et la science et à ceux du Ministère de la Culture, en particulier aux personnes directement impliquées dans l’administration et la préparation des documents du projet. Certains d’entre eux sont en relation avec les communautés locales de Madaba.
L’atelier sera conjointement animé par deux facilitateurs accrédités auprès de l’UNESCO, M. Hani Hayajneh (Jordanie) et M. Mustafa Gad (Egypte). Ils utiliseront le matériel de formation de renforcement des capacités de l’UNESCO, et travailleront sur quelques études de cas en s’appuyant sur des candidatures prédéfinies par l’UNESCO.
Atelier de mise en oeuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
01-10-2012Saint Domingue (République dominicaine)
Sao Tomé-et-Principe se lance dans un projet de sauvegarde de son patrimoine immatériel
01/06-10-2012São Tomé (Sao Tomé-et-Principe)
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La ratification par Sao Tomé-et-Principe de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI), en 2005, ne fut que la première étape d’une réflexion beaucoup plus large sur la construction d’une politique culturelle nationale. Dans le cadre d’un projet de renforcement des capacités dans les pays africains lusophones sélectionnés (comprenant aussi l’Angola et le Mozambique) financé par une contribution généreuse du Royaume de Norvège au Fonds du PCI, Sao Tomé-et-Principe est sur le point d’accueillir un séminaire de formation sur le renforcement des capacités nationales pour une sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel.
Le projet tombe à point nommé, puisque le gouvernement est maintenant prêt à lancer une vaste réflexion sur la question de la culture en mettant en lumière la préservation du patrimoine culturel du pays, particulièrement dans le domaine de l’immatériel.
A ce jour, le plus urgent est de permettre une compréhension fine des concepts et des mécanismes de la Convention de 2003, et d’aider Sao Tomé-et-Principe à développer le cadre institutionnel nécessaire pour mettre efficacement en œuvre la Convention sur le long terme.
Le projet se concentrera donc sur le renforcement des acteurs institutionnels importants, l’établissement d’un comité national du PCI, et posera les fondations pour l’élaboration d’une stratégie nationale de sauvegarde du PCI.
Moroni travaille à la mise en oeuvre de la Convention de 2003
24/28-09-2012Moroni (Comores)
Le rôle des jeunes dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Europe de l’Est
24/25-09-2012Sofia (Bulgarie)
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Afin de renforcer sa collaboration avec les jeunes dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, l’UNESCO lance une série de trois forums régionaux en Europe du Sud-Est, aux Caraïbes et en Afrique centrale.
Le premier forum est celui de Sofia, en Bulgarie, organisé du 24 au 25 septembre 2012 par le Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Europe du Sud-Est (Centre de catégorie II de l’UNESCO). Les participants au forum sont des étudiants, des chercheurs et des représentants d’organisations de jeunesse de la région, qui débattront du rôle des jeunes dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Réunion de renforcement des capacités à Harare sur l’élaboration des politiques et du cadre juridique pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
03/07-09-2012Harare (Zimbabwe)
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Après une formation sur le renforcement des capacités nationales pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI), la Zambie, le Botswana, le Malawi et le Zimbabwe ont récemment bénéficié d’une réunion de bilan sur la réforme des politiques et le cadre juridique à Harare, du 3 au 7 septembre 2012.
Ces quatre pays sont déjà engagés dans la sauvegarde de leur patrimoine immatériel, avec le soutien de l’UNESCO / Flandre Fonds-en-dépôt. Les participants nationaux ont reconnu que la sensibilisation à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel a augmenté au cours des dernières années. Le patrimoine culturel n’est plus perçu exclusivement comme un ensemble de monuments ou une collections d’objets. Il comprend également des expressions vivantes telles que les traditions orales, les arts du spectacle, les pratiques sociales, rituels et événements festifs, les connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers ou les connaissances et les compétences nécessaires à l’artisanat traditionnel. L’importance du patrimoine culturel immatériel n’est pas la manifestation culturelle elle-même, mais plutôt la richesse des connaissances et des compétences qui sont transmises à travers elle d’une génération à l’autre. Bien que fragile, le patrimoine culturel immatériel est un facteur important du maintien de la diversité culturelle face à la mondialisation croissante.
La nécessité d’accélérer le processus d’élaboration des politiques et du cadre juridique a été évoqué dans le cadre du projet UNESCO / Flandre FIT pour la mise en œuvre effective de la Convention au niveau national. Certains pays n’ont pas encore de législation pertinente pour y ancrer la mise en œuvre de la Convention. Pour ceux les ayant déjà, elles ont toutefois besoin d’être révisée pour tenir compte des dispositions spécifiques à la sauvegarde du PCI. Ainsi, les consultants ont été engagés par le Bureau de l’UNESCO à Harare pour procéder à l’examen des politiques dans chacun des quatre pays, afin de faciliter cet atelier et le processus de révision des futures législations sur le long terme. Les documents présentés par M. Marc Jacobs de Belgique, M. Lovemore Mazibuko du Malawi et le Dr Francis Matambirofa du Zimbabwe au cours de l’atelier, examinaient les différentes façons d’aborder la Convention, en termes par exemple de protection de la propriété intellectuelle ou de développement de politiques et de plans d’action nationaux.
À l’heure actuelle, le financement et la coordination des activités de renforcement des capacités des communautés au niveau local restent les principaux défis. Les participants ont souhaité que les différents ministères tels que le ministère du sport, de l’éducation artistique et de la culture poursuivent leurs efforts de financement de collecte de fonds pour cette noble cause qu’est la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Egypte : atelier sur la mise en oeuvre de la Convention pour la sauvegarde patrimoine culturel immatériel
01/30-09-2012Le Caire (Égypte)
Nouvelle étape dans le projet MedLiHer : Réunion de réalisateurs et photographes à Paris
27/29-08-2012Paris (France)
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Mettre l’audiovisuel au service de la promotion du patrimoine vivant méditerranéen : telle sera l’ambition des réalisateurs et photographes égyptiens, libanais et jordaniens qui se réuniront au siège de l’UNESCO à Paris du 27 au 29 août 2012 dans le cadre du projet MedLiHer.
Ce projet cofinancé par l’Union Européenne et l’UNESCO comprend en effet un important volet régional consacré à la visibilité du patrimoine culturel immatériel des pays partenaires. C’est dans cette optique que seront réalisés un film documentaire et une exposition photographique mettant à l’honneur le patrimoine des gouvernorats de Damietta en Egypte, de Madaba en Jordanie et la poésie Zajal au Liban. Ces patrimoines sont en effet au cœur du travail d’inventaire entrepris dans le cadre de la phase III du projet.
La réunion du mois d’août aura pour objectifs :
- de développer une vision commune du projet de film entre le réalisateur régional coordinateur et les réalisateurs et photographes nationaux,
- de formuler les messages clés qui seront diffusés à travers le film
- de définir une méthodologie en prenant en considération l’esprit de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, le contexte, les délais, le budget, le public cible et
- d’élaborer un plan de travail définissant le rôle de chacun et les spécificités techniques.
Le travail des réalisateurs et photographes permettra de de sensibiliser le grand public des pays concernés et international à l’importance de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans le monde d’aujourd’hui. Le film sera projeté et les photographies exposées à la Maison des Cultures du Monde à Paris. En outre, il est actuellement envisagé que le documentaire soit également retransmis par les télévisions locales des pays participant au projet.
Mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Tadjikistan
21/25-08-2012Douchanbé (Tadjikistan)
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Séminaire de formation PCI à Douchanbé
Séminaire de formation sur le PCI à Douchanbé
© UNESCO
Le séminaire de formation de l’UNESCO « Renforcement des capacités nationales pour une sauvegarde effective du patrimoine culturel immatériel (PCI) dans les pays d’Asie centrale » s’est tenu à Douchanbé, au Tadjikistan, du 21 août au 25 août 2012.
S’insérant dans une série de séminaires destinés aux spécialistes locaux, la formation a été organisée par le Bureau de l’UNESCO à Almaty et soutenue par le ministère norvégien des Affaires étrangères, en coopération avec la Commission nationale du Tadjikistan pour l’UNESCO.
Les participants à la formation comprenaient des fonctionnaires du Ministère de la Culture de la République du Tadjikistan, de l’Académie des sciences du Tadjikistan, du Conservatoire national tadjik, des représentants de musées publics et privés, des représentants des ONG participant à la préservation du patrimoine culturel immatériel, ainsi que des artisans et des musiciens.
Un discours d’ouverture a été prononcé par Mme Azizi Farogat, ministre de la Culture de la République du Tadjikistan et Mme Shahlo Abdurahimova, secrétaire général de la Commission nationale de la République du Tadjikistan pour l’UNESCO. La cérémonie de clôture a été suivie par M. Mirzoshohruh Asrori, ministre de la Culture de la République du Tadjikistan. Il a été souligné que depuis la ratification de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (17 août 2010), le Tadjikistan a été très attentif à la préservation du patrimoine culturel immatériel au niveau national. En particulier, le programme pour la préservation du patrimoine culturel immatériel jusqu’en 2015 a été élaboré et approuvé par le Ministère de la Culture de la République du Tadjikistan.
M. Yuri Pechkov, spécialiste Culture de l’UNESCO à Almaty, a déclaré que la Convention de 2003 vise à assurer le respect du patrimoine culturel immatériel et à en souligner l’importance. La Convention enjoint les États à prendre les mesures nécessaires pour assurer la protection du patrimoine culturel immatériel et à promouvoir la coopération aux niveaux régional et international.
Mme Sabira Soltongeldieva, consultant de l’UNESCO pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, a déclaré que la formation visait à améliorer la compréhension et l’utilisation de mécanismes pratiques pour la mise en œuvre de la Convention au niveau national. Citons, à titre d’exemple, la création des listes du patrimoine culturel immatériel (PCI), l’inscription d’éléments du patrimoine culturel immatériel sur les listes de la Convention, ainsi que le renforcement de la coopération internationale. La formation a insisté sur la nécessité de renforcer le rôle des gouvernements, des ONG, des communautés et des médias dans l’identification, l’inventaire et la préservation du patrimoine culturel immatériel.
Au Tadjikistan, deux sessions de formation supplémentaires sont prévues pour 2013, sur la préparation des documents de candidature à l’inscription sur la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente, ainsi que sur l’identification, la documentation et l’inventaire du patrimoine culturel immatériel.
Le Cambodge poursuit sa marche vers la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
13/17-08-2012Phnom Penh (Cambodge)
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Beaucoup d’éléments du patrimoine culturel immatériel au Cambodge sont menacés de disparition, principalement en raison des conflits de longue durée, de la diminution du nombre de praticiens du patrimoine culturel immatériel ainsi que du manque d’intérêt des jeunes générations. En ratifiant la Convention de 2003, le gouvernement cambodgien s’est engagé à identifier les éléments du patrimoine culturel immatériel qui continuent d’être pratiqués et de les sauvegarder pour les générations futures. Dans cette optique, l’UNESCO aidera le gouvernement cambodgien à consolider son cadre institutionnel et politique pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, et à renforcer ses capacités nationales pour la mise en œuvre effective de la Convention de 2003.
Depuis janvier 2012, cinq réunions ont été organisées par le Ministère de la Culture et des Beaux-Arts afin de préparer et finaliser un plan de travail national pour la mise en œuvre de la Convention de 2003. Une traduction de la Convention de 2003 et de ses directives opérationnelles est actuellement en cours, en préparation du premier atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national, qui aura lieu du 13 au 17 août 2012. Le premier atelier sera suivi d’un atelier d’élaboration d’inventaire avec les communautés en février 2013 et d’un atelier sur la préparation des dossiers de candidature en août 2013. Les activités du projet incluront également la documentation, l’inventaire et la transmission aux jeunes générations du Sbek Thom, un théâtre d’ombres traditionnel.
Renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Equateur
26/27-07-2012Quito (Équateur)
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Les 26 et 27 juillet 2012, le Bureau de l’UNESCO à Quito a accueilli le deuxième atelier de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, destiné aux fonctionnaires de la municipalité de Quito, et en particulier au personnel de l’Institut Métropolitain du Patrimoine (Instituto Metropolitano de Patrimonio Cultural).
Les principaux objectifs de cet atelier étaient de fournir outils et connaissances nouvelles concernant les mesures de sauvegarde, la diffusion et la promotion du patrimoine culturel immatériel dans la région métropolitaine de Quito. Il fournissait le matériel de formation, et comprenait présentations et exercices pratiques.
La session de formation a été animée par Fabian Bedón et a compté avec la participation de l’Institut national de la Culture et du Patrimoine (INPC) de l’Equateur. L’institution a fait une présentation sur la façon dont le patrimoine culturel immatériel est sauvegardé dans le pays. Des présentations sur des cas pratiques en Équateur et le processus de candidatures pour la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO ont été inclus.
A la découverte du patrimoine culturel immatériel des rives du Nil : Activité d’inventaire dans le gouvernorat de Damiette, en Egypte
14/18-07-2012Damiette (Égypte)
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Berceau de la civilisation égyptienne, le Nil représente aujourd’hui encore une artère vitale pour les nombreuses communautés résidant sur ses rives. La rencontre entre l’homme et l’écosystème du fleuve a fait émerger un patrimoine culturel immatériel riche et diversifié. Au cours des six prochains mois, entre juillet et décembre 2012, ce patrimoine sera au centre d’une activité pilote d’inventaire dans le gouvernorat de Damiette.
Cette initiative s’inscrit dans la Phase III du projet MedLiHer –patrimoine vivant méditerranéen -, cofinancé par l’Union Européenne et l’UNESCO, qui vise à promouvoir la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Liban, en Jordanie et en Egypte.
Les acteurs de l’inventaire du patrimoine de Damietta (membres des communautés, responsables de la culture au niveau national et local, chercheurs, ONG) bénéficieront du 12 au 16 juillet 2012, d’une formation approfondie sur la notion d’inventaire aux termes de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, le rôle des différents intervenants dans le processus ainsi que sur les outils et techniques de documentation participative.
L’atelier s’adresse en premier lieu aux enquêteurs de terrain et aux communautés dont le patrimoine culturel sera inventorié. Il commencera par une partie « théorique » durant laquelle sera construit collectivement le cadre méthodologique de l’inventaire, suivie d’un exercice de mise en pratique sur le terrain.
Ce travail d’inventaire aura pour objectif principal d’identifier et impliquer les porteurs (individus, groupes ou communautés) de patrimoine immatériel, en se penchant plus particulièrement sur ses fonctions sociales aujourd’hui et les défis pour sa transmission aux générations futures.
L’atelier sera animé conjointement par M. Mostapha Gad et M. Ismail Ali El Fehail, tous deux appartenant au réseau de facilitateurs spécialement formés par l’UNESCO dans le cadre de sa stratégie de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Les méthodologies développées au cours de cet exercice pilote pourront ensuite être appliquées à plus grande échelle à d’autres régions du Nil.
L’ensemble des données collectées seront systématisées et numérisées. Par ailleurs un film et une exposition photographique porteront cette expérience d’inventaire à la connaissance du public égyptien et international.
Madaba, région pilote pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Jordanie
12/20-07-2012Madaba (Jordanie)
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Madaba et ses 150 000 habitants vont bientôt devenir les précurseurs d’une expérience jusque-là inédite en Jordanie. Cette région proche de la capitale va en effet être au centre d’une activité pilote d’inventaire de son patrimoine culturel immatériel dans le cadre du projet « MedLiHer – patrimoine vivant méditerranéen», cofinancé par l’Union Européenne et l’UNESCO.
Concrètement, de quoi s’agit-il ? En vertu de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, chaque État partie doit associer les communautés, groupes et ONG pertinentes dans l’identification et la définition des éléments de ce patrimoine. L’identification est le processus consistant à décrire un ou plusieurs éléments spécifiques du patrimoine culturel immatériel dans leur contexte et à les distinguer des autres. Ce processus d’identification et de définition est ce que la Convention entend par « inventorier ». Elle souligne également que cela devrait se faire « en vue de la sauvegarde » – c’est-à-dire que l’inventaire n’est pas un exercice abstrait, mais utile. L’inventaire représente donc la première étape à l’élaboration de plans de sauvegarde pour ces éléments.
Afin de se familiariser avec ces notions, les acteurs de l’inventaire du gouvernorat de Madaba (membres des communautés, responsables de la culture au niveau national et local, chercheurs) bénéficieront, du 12 au 20 juillet, d’une formation approfondie. Celle-ci-portera sur les principes de l’inventaire aux termes de la Convention, le rôle des différents intervenants dans le processus ainsi que sur les outils et techniques de documentation participative. Cette partie « théorique » durant laquelle sera élaboré collectivement le cadre méthodologique de l’inventaire sera suivie d’un exercice de mise en pratique sur le terrain.
L’atelier sera animé conjointement par Mme Annie Tohmé Tabet et M. Hani Hayajneh, tous deux faisant partie du réseau de facilitateurs spécialement formés par l’UNESCO dans le cadre de sa stratégie de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Au cours des trois mois suivant la formation, les équipes d’enquêteurs partiront à la rencontre des communautés de l’ensemble du gouvernorat, caractérisé par une grande diversité culturelle et religieuse. Ce travail d’inventaire s’attachera surtout à identifier et impliquer les porteurs (individus, groupes ou communautés) de patrimoine immatériel, en se penchant plus particulièrement sur ses fonctions sociales aujourd’hui et les défis pour sa transmission aux générations futures, dans un contexte où l’urbanisation rapide est en train de bouleverser les tissus socio-culturels traditionnels. Les méthodologies développées au cours de cet exercice pilote pourront ensuite être appliquées à plus grande échelle à d’autres régions du pays.
L’ensemble des données collectées seront systématisées et numérisées, tandis qu’un film et une exposition photographique porteront cette expérience d’inventaire à la connaissance du public jordanien et international.
L’atelier et l’activité d’inventaire s’inscrivent dans la Phase III du projet MedLiHer soutenu par l’Union Européenne et l’UNESCO, qui vise à promouvoir la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Liban, en Jordanie et en Egypte.
Mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Uzbekistan
03/07-07-2012Tachkent (Ouzbékistan)
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L’atelier national “Mise en œuvre de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au niveau national” se tiendra à Tachkent du 3 au 7 juillet 2012. L’atelier est organisé par le Bureau de l’UNESCO à Tachkent, en étroite coopération avec le ministère de la Culture et du Sport de la République d’Ouzbékistan.
Le patrimoine culturel immatériel (PCI) fait partie intégrante de la vie et de la culture de l’humanité. En ce sens, il est un patrimoine vivant, transmis par les membres des communautés, et en constante évolution. Le PCI a des fonctions importantes pour les communautés, groupes et individus concernés, et pour la compréhension et la promotion de la diversité culturelle et de la créativité humaine. L’Ouzbékistan a ratifié la Convention en 2008. En conséquence, le présent atelier est organisé pour les spécialistes du PCI de toutes les régions principales de l’Ouzbékistan, dans le cadre d’un projet intitulé “Renforcement des capacités nationales sur la sauvegarde du PCI en Asie centrale”, lancé par les bureaux de l’UNESCO à Tachkent et Almaty avec le soutien financier de la Fonds-en-dépôt de Norvègeau début 2012.
L’objectif principal de l’atelier est de renforcer les capacités nationales dans le domaine de la mise en œuvre de la Convention 2003 de l’UNESCO au niveau national, en particulier de fournir une vue d’ensemble de la Convention et des directives opérationnelles, des obligations des États ayant ratifié la Convention et, éventuellement, des moyens de mise en œuvre de la Convention ainsi que de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, son identification et inventaire, la coopération avec les communautés, la sensibilisation du public et l’aide internationale.
L’atelier sera animé par des experts certifiés de l’UNESCO dans le domaine du patrimoine culturel immatériel.
Ordre du jour de l’atelier:
Liste des participants:
Abuja: introduction à la Convention de 2003
01-07-2012Abuja (Nigéria)
À la rencontre de la poésie Zajal : formation des communautés avant inventaire au Liban
29-06-2012/03-07-2012Beyrouth (Liban)
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Forme de poésie très répandue au Liban, le Zajal scande le quotidien, les différents évènements de la vie et les grandes manifestations collectives. Mariages ou enterrements, fêtes ou festivals : autant d’occasions pour les poètes Zajal (appelés qûâl) de réciter ou chanter des textes exprimant la bravoure, la fierté, l’amour, la flatterie, la douleur, la joie, le conflit, la violence ou encore l’appel au dialogue.
C’est autour de cet élément du patrimoine immatériel que le Liban a choisi de développer à titre pilote une méthodologie d’inventaire qui pourra ensuite être appliquée à la sauvegarde d’autres expressions de son patrimoine vivant.
Les acteurs de ce pré-inventaire du Zajal bénéficieront, du 29 juin au 3 juillet 2012, d’une formation approfondie sur la notion d’inventaire et de ses principes aux termes de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, le rôle des différents intervenants dans le processus ainsi que sur les outils et techniques de documentation participative. L’atelier s’adresse en premier lieu aux enquêteurs de terrain et aux communautés dont le patrimoine culturel sera inventorié. Il commencera par une partie « théorique » durant laquelle sera élaboré collectivement le cadre méthodologique de l’inventaire, suivie d’un exercice de mise en pratique sur le terrain. Une journée de restitution, pendant laquelle les participants tireront les leçons de l’exercice, est prévue le 9 juillet 2012.
L’atelier sera animé conjointement par Mme Annie Tohmé Tabet et M. Mostafa Gad, tous deux faisant partie du réseau de facilitateurs spécialement formés par l’UNESCO dans le cadre de sa stratégie de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Au cours des trois mois suivant la formation, les équipes d’enquêteurs partiront à la rencontre des communautés du Zajal sur l’ensemble du territoire libanais. Ce travail de pré-inventaire s’attachera surtout à identifier et impliquer les porteurs (individus, groupes ou communautés) de cet élément du patrimoine immatériel, en se penchant plus particulièrement sur les modalités de sa transmission et ses fonctions sociales dans la société libanaise d’aujourd’hui.
L’ensemble des données collectées seront systématisées et numérisées, tandis qu’un film et une exposition photographique porteront cette expérience d’inventaire à la connaissance du public libanais et international.
L’atelier et l’activité d’inventaire s’inscrivent dans la Phase III du projet MedLiHer soutenu par l’Union Européenne et l’UNESCO, qui vise à promouvoir la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Liban, en Jordanie et en Egypte.
Mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Sri Lanka
25/29-06-2012Colombo (Sri Lanka)
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Le Sri Lanka a ratifié la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) en 2008. Bien qu’il existe un certain nombre d’inventaires du patrimoine culturel immatériel éparpillés dans divers ministères et institutions privées, il n’y a toujours pas de législation pour protéger le PCI. D’où la nécessité de consolider les divers efforts au niveau national. C’est dans cette optique que l’UNESCO a soutenu les premiers stades de l’élaboration d’un portail web sur le PCI limité aux données recueillies par divers organes gouvernementaux. Grâce au soutien du fonds-en-dépôts UNESCO/Japon, les capacités des acteurs concernés seront maintenant renforcées dans la mise en œuvre effective de la Convention de 2003, l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés, ainsi que dans la préparation de dossiers de candidature.
Un premier atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention au niveau national sera organisé en partenariat avec le Ministère de la culture et des arts du 25 au 29 juin 2012. L’atelier sera animé par des facilitateurs certifiés de l’UNESCO, M. Rahul Goswami et Mme Sajida Vandal. Sont prévus également un atelier sur l’élaboration d’ inventaires du PCI avec la participation des communautés, en 2013, et un atelier sur la préparation des dossiers de candidature programmé pour 2014.
Renforcement des capacités sur la Convention de 2003 en Equateur
21/22-06-2012Quito (Équateur)
Renforcement des capacités des universités africaines dans le domaine du patrimoine culturel immatériel
18/22-06-2012Mombasa (Kenya)
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A l’heure où s’affirme une nouvelle vision du patrimoine culturel, l’UNESCO appelle les universités africaines à revoir leurs programmes de formation destinés aux futurs décideurs et professionnels du patrimoine et du développement durable.
Bien que le patrimoine culturel immatériel et son rôle prépondérant dans le développement durable se soient vus accordés une reconnaissance croissante au niveau international, le thème a été largement négligé dans les programmes universitaires du patrimoine un peu partout dans le monde, notamment en Afrique. C’est pourquoi l’UNESCO a identifié le Centre pour le développement du patrimoine en Afrique (CHDA) comme partenaire pour organiser un atelier régional de formation à l’attention des professeurs des universités africaines dans le domaine du patrimoine culturel immatériel. Bénéficiant du soutien du Fonds pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, l’atelier se tiendra dans les locaux du CHDA à Mombasa, au Kenya du 18 au 22 juin 2012.
L’atelier vise à élever le niveau de connaissances des professeurs des universités africaines dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, en leur permettant d’intégrer la thématique dans leur enseignement. Leurs seront fournies à cet effet des orientations pour leurs cours et programmes futurs sur le patrimoine et le développement durable.
L’atelier sera co-facilité par Mme Deirdre Prins-Solani et Mme Harriet Deacon qui font toutes les deux partie du réseau de 65 facilitateurs formés par l’UNESCO à l’utilisation de supports pédagogiques sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Plus d’informations sur l’atelier : (anglais)
Contact dans la Section du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO : Susanne Schnuttgen, Chef de l’unité du renforcement des capacités et des politiques du patrimoine, email : s.schnuttgen@unesco.org
Atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national
13/17-06-2012Phnom Penh (Cambodge)
Renforcement des capacités sur la mise en oeuvre de la Convention de 2003 de l’UNESCO pour la sauvegarde du PCI
12/15-06-2012Lahore (Pakistan)
Atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national
11/15-06-2012Vientiane (République démocratique populaire lao)
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Financé avec le Fonds-en-dépôt de l’UNESCO-République de Corée, un atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 a été organisé au niveau national en partenariat avec le Département du Patrimoine du Ministère de l’Information, de la Culture et du Tourisme de 11 au 15 juin 2012 à Vientiane, Laos. Outre des représentants du gouvernement, des praticiens du patrimoine culturel immatériel ont également participé à cet atelier co-animé par des formateurs certifiés de l’UNESCO, Mme Paritta Chalermpow Koanantakool et Mme Shubha Chaudhuri. La République démocratique populaire lao est un pays composé de 160 groupes ethniques, dont chacun a conservé une grande partie de sa propre langue, ses coutumes, sa culture et ses traditions. Le riche patrimoine culturel de Lao est aussi enraciné dans l’immense spiritualité, comme le bouddhisme dont les influences s’étendent du mode de vie aux arts. Le pays a adopté une loi sur le patrimoine national en 2005 qui fournit la base juridique pour la sauvegarde du PCI, même avant sa ratification à la Convention de 2003 en 2009. Et une section sur le PCI a été créée au sein du Département du Patrimoine du Ministère de l’Information, de la Culture et du Tourisme. Le Bureau de l’UNESCO de Bangkok a travaillé en étroite collaboration avec les autorités concernées, afin d’identifier leurs besoins pour améliorer leur stratégie de sauvegarde du PCI, pour renforcer leurs cadres institutionnels et politiques et pour développer leurs compétences d’inventaire. Après ce premier effort de renforcement des capacités, des ateliers de formation supplémentaires sur l’inventaire communautaire (prévu en 2012) et sur la préparation des dossiers de candidature (en 2014) seront organisés en République démocratique populaire lao pour soutenir à long terme l’effet de ce projet mis en œuvre par la stratégie de renforcement des capacités mondiales de l’UNESCO.
Atelier de renforcement des capacités en matière de mise en candidature pour les listes de la Convention de 2003
11/15-06-2012Harare (Zimbabwe)
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Un atelier de renforcement des capacités sur la préparation des dossiers de candidature pour les listes de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel a eu lieu du 11 au 15 Juin 2012 à Harare, qui a été facilité par des formateurs certifiés de l’UNESCO, M. Chifunyise et M. Mazibuko. Cet atelier est un effort supplémentaire fait au sein du projet soutenu par l’UNESCO / Flandres FIT à la suite d’un atelier sur la mise en œuvre de la Convention au niveau national organisé plus tôt cette année.
Gabon : coup d’envoi d’une série d’ateliers au niveau local sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel
04-06-2012/10-08-2012Lambaréné, Koula-Moutou, Mouila et Oyem (Gabon)
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Former les communautés locales aux méthodes d’inventaire en vue de la sauvegarde de leur patrimoine culturel immatériel: tel sera l’objectif de la série d’ateliers qui va être lancée à partir du 4 juin 2012 dans neuf provinces gabonaises.
Le Bureau Multipays de l’UNESCO à Libreville, associé au Centre de recherche et d’études sociologiques (CRES), est à l’origine de cette initiative. Il s’agit de poursuivre le travail de renforcement des capacités initié en 2010, en dotant les communautés concernées des outils méthodologiques et techniques indispensables pour inventorier leur patrimoine culturel immatériel.
Mme Claudine-Augée Angoué, anthropologue membre du réseau de facilitateurs de l’UNESCO, animera l’atelier. Elle s’appuiera pour cela sur les supports pédagogiques développés par l’Organisation dans le cadre de sa stratégie de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tout en adaptant ces outils au contexte local.
Les quatre ateliers se dérouleront sur une période d’un mois et demi, jusqu’au 10 août 2012, dans les localités de Lambaréné, Koula-Moutou, Mouila et Oyem.
Financée par le programme régulier de l’UNESCO, l’activité sera mise en œuvre avec le concours des agents du Ministère en charge de la Culture et avec le soutien logistique du Ministère de l’intérieur en charge des collectivités locales.
Saint-Kitts-et-Nevis espère bientôt signer la Convention de 2003
31-05-2012Basseterre (Saint-Kitts-et-Nevis)
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La Commission Nationale de l’UNESCO à Saint-Kitts-et-Nevis a organisé un atelier sur la ratification de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel le 31 mai 2012, à Basseterre.
Le public, constitué de responsables politiques nationaux, s’est réuni pour en apprendre davantage au sujet de la Convention que le Gouvernement de Saint-Kitts-et-Nevis espère signer dans un proche avenir.
Kris Rampersad, consultante culturelle pour l’UNESCO, a facilité l’échange entre les participants, en insistant sur les bénéfices découlant de la signature de la Convention.
Evaluation des besoins nationaux pour une mise en œuvre efficace de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Mongolie
28/29-05-2012Oulan-Bator (Mongolie)
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Bien avant de ratifier la Convention en 2005, la Mongolie s’est montrée très active dans la sauvegarde de son patrimoine culturel immatériel. Elle a créé un centre national pour le patrimoine culturel immatériel en 1997 et a vu deux de ses traditions proclamées chefs-d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l’humanité.
Cependant, malgré les efforts déjà réalisés dans la sauvegarde de son patrimoine culturel immatériel, la Mongolie doit faire face à l’impact croissant des changements sociaux, la mondialisation et l’urbanisation rampante qui affectent le mode de vie nomade traditionnel de ses habitants. Le fonds-en-dépôt UNESCO/Japon soutient les efforts de la Mongolie en organisant une série d’activités de renforcement des capacités sur mesure, à commencer par un atelier de deux jours les 28 et 29 mai 2012 à Oulan-Bator. L’atelier a pour but de consulter les principales parties prenantes, d’évaluer les politiques publiques existantes en matière de patrimoine culturel immatériel, d’enquêter sur le rôle des institutions impliquées et d’identifier les besoins de formation sur le patrimoine culturel immatériel. Mme Noriko Aikawa-Faure, facilitatrice certifiée de l’UNESCO, a participé au processus en animant l’atelier d’évaluation des besoins. Deux autres ateliers de renforcement des capacités sont prévus en Mongolie : un atelier sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés, prévu pour octobre 2012 ainsi qu’un atelier sur la préparation de dossiers de candidature début 2013.
Renforcement des capacités des communautés pour l’inventaire du patrimoine culturel immatériel en Bosnie-Herzégovine
21/27-05-2012Sarajevo (Bosnie-Herzégovine)
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Un atelier national de renforcement des capacités des communautés pour l’inventaire du patrimoine culturel immatériel sera organisé par l’UNESCO (Bureau de Venise / antenne de Sarajevo ), en étroite collaboration avec le Ministère des Affaires civiles et la Commission nationale de Bosnie-Herzégovine pour l’UNESCO à Sarajevo du 21 au 27 mai 2012.
L’événement réunira des experts, des ONG, des membres des communautés, les autorités locales, des responsables gouvernementaux et d’autres acteurs au cœur de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’objectif est de renforcer les capacités de tous ceux concernés en vue de dresser des inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés.
L’atelier apportera aux participants les connaissances, compétences et outils nécessaires à une documentation efficace et à l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel conformément aux principes de la Convention. Il comprendra également un stage sur le terrain à la fin de l’atelier. L’événement sera animé par Rieks Smeets, linguiste et ancien Chef de la section du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, et Sasha Sreckovic, ethnographe du Musée ethnographique de Belgrade (Serbie).
Cet atelier fait suite à la formation régionale «Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Europe », organisée par l’UNESCO à Sofia, en Bulgarie (14-18 mars 2011). La Bosnie-Herzégovine a ratifié la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en février 2009.
L’Institut national du patrimoine culturel et l’UNESCO unissent leurs forces pour améliorer la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Equateur
17/18-05-2012Quito (Équateur)
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Un atelier de renforcement des capacités dédié à la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Équateur a eu lieu les 17 et 18 mai à Quito.
L’atelier était organisé par le Bureau de l’UNESCO à Quito en étroite collaboration avec l’Institut national du patrimoine culturel (INPC) dans l’objectif de renforcer les capacités des fonctionnaires de l’INPC qui ne sont pas spécialisés ou directement impliqués dans des activités de patrimoine culturel immatériel. Le séminaire de deux jours leur a permis d’acquérir une meilleure compréhension des spécificités du patrimoine culturel immatériel, des concepts fondamentaux et méthodes présentées dans la Convention, dans le but d’améliorer la coordination avec les activités liées au PCI au sein de l’INPC.
L’atelier a abordé des questions telles que les différences entre les différentes conventions de l’UNESCO dans le domaine de la culture, les avantages, obligations et opportunités de la Convention de 2003, les mesures de sauvegarde et les rôles des différents acteurs impliqués dans la gestion du PCI, ainsi que des thématiques liées au développement durable et aux listes de la Convention.
M. Domingo Carranza, président de la communauté des tisserands de Pile, connu pour son expertise dans l’élaboration des traditionnels chapeaux de paille tressés à Montecristi a partagé son expérience d’élaboration d’un dossier de candidature pour une des listes du patrimoine culturel immatériel.
La session de formation était animée par M. Fabian Bedón originaire d’Équateur.
Mise en oeuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Papouasie-Nouvelle-Guinée
15/18-05-2012Port Moresby (Papouasie-Nouvelle-Guinée)
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Un atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 était organisé à Port Moresby du 14 au 18 mai 2012 par le Bureau de l’UNESCO à Apia, en partenariat avec la Commission nationale culturelle de Papouasie-Nouvelle-Guinée. Animé par Mme Noriko Aikawa-Faure et M. Setoki Qalubao, l’atelier de cinq jours a rassemblé quarante-trois représentants d’organismes gouvernementaux nationaux concernés, d’administrations provinciales, d’établissements universitaires et autres intervenants clés. M. Benjamin Philip, Ministre de la culture et du tourisme, a accueilli les participants au cours de la cérémonie d’ouverture le 15 mai 2012.
La Papouasie-Nouvelle-Guinée, un État partie à la Convention de 2003, est l’un des pays les plus multiculturels de la planète, avec quelque 850 langues autochtones parlées par différents groupes culturels ayant leurs propres ensembles d’expressions culturelles, dans un pays comprenant une population de 6 millions d’individus. Pour aider à atténuer l’impact négatif de la mondialisation et les transformations sociales qui mettent en danger son riche patrimoine culturel immatériel, la Papouasie-Nouvelle-Guinée a été sélectionnée comme l’un des huit pays bénéficiaires du programme de renforcement des capacités régional dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans le cadre de la coopération des fonds-en-dépôt UNESCO/Japon.
Le prochain atelier de renforcement des capacités sur l’inventaire des éléments du PCI se tiendra en octobre 2012 à Goroka, en Papouasie-Nouvelle-Guinée qui accueille le célèbre Festival de Sing-Sing, un rassemblement tribal et événement culturel organisé tous les deux ans.
Mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Bhoutan
14/18-05-2012Paro (Bhoutan)
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Pour la première fois au Bhoutan, un atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national s’est tenu du 14 au 18 mai 2012 à Paro, en partenariat avec la Bibliothèque et les Archives nationales du Ministère des affaires intérieures et culturelles, l’agence gouvernementale responsable du patrimoine culturel immatériel. L’atelier a réuni 28 participants comprenant des agents de la culture des 12 districts du Bhoutan et représentants de la Bibliothèque et des Archives nationales, le Département de la culture, le Musée du patrimoine folklorique, l’Institut du langage et des études culturelles, et Helvetas, une ONG impliquée dans la cartographie du patrimoine culturel immatériel.
Le Bhoutan a ratifié la Convention en 2005. Le Dramtse Ngacham (danse du tambour de Dramtse) a été proclamé comme l’un des chefs-d’œuvre de l’UNESCO du Patrimoine Culturel Oral et Immatériel la même année et inclus par la suite dans la Liste Représentative de la Convention. Ce pays prépare actuellement une enquête préliminaire et le développement d’un inventaire du patrimoine culturel immatériel, en partenariat avec le Centre du patrimoine culturel immatériel pour l’Asie et le Pacifique (ICHCAP), le Centre de catégorie II en Corée.
L’atelier, animé par des facilitateurs certifiés de l’UNESCO, Mme Shubha Chaudhuri et Mme Paritta Chalermpow Koanantakool, sera suivi d’un atelier de formation sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel en 2013.
Le Bhoutan est l’un des huit pays bénéficiaires du programme de renforcement des capacités régional financé par le fonds-en-dépôt UNESCO/Japon, qui vise à renforcer les capacités du Bhoutan pour répondre à ses obligations nationales de sauvegarder son patrimoine culturel immatériel, en particulier à travers la mise en place d’inventaires, permettant ainsi au Bhoutan d’avoir un cadre durable pour la sauvegarde du PCI et la mise en œuvre de la Convention de 2003.
Formation des membres des communautés et responsables gouvernementaux: le Botswana franchit une nouvelle étape vers la sauvegarde de son patrimoine vivant
23/27-04-2012Gaborone (Botswana)
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Le Botswana vient de franchir une nouvelle étape dans le renforcement de ses capacités à protéger son patrimoine culturel immatériel. Du 16 au 20 avril 2012, des membres de communautés et des représentants de diverses institutions y compris des universitaires, des départements de la culture, des conseils nationaux des arts, des musées et monuments nationaux et des comités nationaux du patrimoine culturel immatériel, se sont en effet réunis à Gaborone pour participer à un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 .
L’objectif principal de ces ateliers était de familiariser les participants avec la Convention du patrimoine immatériel, ses concepts de base, mesures et mécanismes, tout en reconnaissant que l’application effective dépend de la connaissance profonde et la compréhension de tous ceux impliqués dans la sauvegarde du patrimoine vivant.
L’atelier faisait partie d’une série d’ateliers nationaux mis en œuvre par le Bureau de l’UNESCO à Harare, organisés dans le cadre du projet de Fonds-en-dépôt UNESCO/Flandre pour renforcer les capacités nationales de mise en œuvre de la Convention de 2003 au Botswana, au Malawi, en Zambie et au Zimbabwe. Il était animé par M. Stephen Chifunyise et M. Lovemore Mazibuko, tous deux membres du réseau de facilitateurs formés par l’UNESCO.
Pour plus d’informations, veuillez contacter: c.mapfumo@unesco.org
Effort pour la sauvegarde de patrimoine culturel immatériel du Népal grâce au fonds de soutien UNESCO/Fonds-en-dépôt japonais
16/20-04-2012Katmandou (Népal)
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Avec le soutien de l’UNESCO/Fonds-en-dépôt japonais, l’UNESCO lance le 16 avril 2012 la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Népal, qui a ratifié la Convention en 2010. Une série d’ateliers seront organisés pour renforcer les capacités nationales au Népal à mettre en œuvre plus efficacement la Convention pour les 18 prochains mois. Parmi eux, le premier atelier de cinq jours a eu lieu du 16 au 20 avril 2012 dans la capitale, Katmandou, se concentrant principalement sur le renforcement de capacités pour permettre au Népal de respecter ses obligations en tant qu’État partie à la Convention.
Le bureau de l’UNESCO à Katmandou travaille en étroite collaboration avec le Ministère des Affaires Fédérales, de l’Assemblée Constituante, des Affaires Parlementaires et de la Culture pour cette première initiative conjointe, qui a attiré quelque 40 participants provenant des ministères, des collectivités et des groupes qui créent et transmettent le patrimoine culturel immatériel. Les prochains ateliers seront sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel basé sur les communautés, et l’élaboration des candidatures aux listes de la Convention. Cette série d’initiatives est mise en œuvre dans le cadre d’une stratégie globale de renforcement des capacités, initiée par l’UNESCO depuis 2011.
Renforcement des capacités institutionnelles pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel : Atelier de formation du personnel technique de l’Ecole du patrimoine africain (EPA)
11/17-04-2012Porto-Novo (Bénin)
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Du 11 au 17 avril se tient au Bénin un atelier de formation visant à présenter à l’équipe de l’Ecole du patrimoine africain (EPA) les nouveaux outils pédagogiques développés par l’UNESCO en vue la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Les supports de formation mettent l’accent sur le rôle des Etats dans la mise en place des mesures nécessaires à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel présent sur leur territoire, comme l’adoption d’une politique générale, la désignation d’organismes compétents, la promotion d’études scientifiques, ou encore mise en place de mesures juridiques, techniques et administratives. Le rôle des communautés dans l’identification et la transmission du patrimoine culturel immatériel est également mis en avant tout au long de la formation, ainsi que l’importance de la sauvegarde de ce patrimoine pour le développement durable et la cohésion sociale.
Cet atelier, soutenu par le Fonds international pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, offre ainsi au personnel de l’EPA de nouvelles opportunités pour soutenir les futurs gestionnaires du patrimoine dans les pays africains.
Documents
Renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Timor-Leste
10/14-04-2012Dili (Timor-Leste)
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Un atelier de trois jours de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) s’est tenu du 10 au 12 avril 2012 au Timor Hôtel à Dili, au Timor-Leste. L’atelier était organisé conjointement par le Secrétariat d’État à la culture du Ministère de l’éducation de la République démocratique du Timor-Leste et par l’UNESCO avec le soutien du gouvernement du Japon, à travers le Fonds-en-dépôt UNESCO/Japon pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Cet atelier faisait suite à un atelier organisé précédemment sur la ratification de la Convention, qui a eu lieu en novembre 2011 au Timor-Leste. Ce nouvel atelier a rassemblé quelques 60 participants, y compris des fonctionnaires nationaux et des districts en charge de la culture, des représentants gouvernementaux provenant d’autres ministères concernés, des universitaires, des représentants d’ONG et membres de communautés. Animé par Rahul Gioswami (un membre de l’Organe consultatif de la Convention de 2003 du PCI), Masanori Nagaoka (Chef de l’unité de la Culture du Bureau de l’UNESCO de Jakarta) et Wieske Sapardan (assistant de programme du Bureau de l’UNESCO de Jakarta), les quatorze sessions de cet atelier étaient destinées à aider les participants à acquérir une compréhension plus large des possibles activités impliquées dans la mise en œuvre de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Au cours de la cérémonie d’ouverture, M. Virgilio Simith, Secrétaire d’État à la culture du Ministère de l’éducation de la République démocratique du Timor-Leste et M. Yoshitaka Hanada, Ambassadeur du Japon au Timor-Leste, ont souligné l’importance des efforts conjoints des gouvernements, des sociétés civiles et des communautés pour faire en sorte que le précieux patrimoine culturel immatériel du Timor-Leste soit sauvegardé et transmis aux générations à venir. Ils ont souligné que la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel devrait jouer un rôle clé pour assurer le respect mutuel et la promotion de la paix au Timor-Leste et au-delà.
La cérémonie d’ouverture a été suivie par le lancement d’une publication intitulée «Ai To’os Collection», produite par le Secrétariat d’État à la culture du Ministère de l’éducation du Timor-Leste. Soutenue financièrement par le programme de l’UNESCO de CapEFA (développement des capacités pour l’Education Pour Tous), la publication présentait, en tetun, portugais et anglais, des objets historiques et culturels afin de sensibiliser le public à la richesse de son propre patrimoine culturel, tout en favorisant le taux d’alphabétisation du pays. M. Anwar Alsaid, Chef de l’éducation du Bureau de l’UNESCO à Jakarta, a souligné que l’UNESCO se tenait prête à aider le gouvernement et le peuple du Timor-Leste par le biais d’une approche intersectorielle dans les domaines de l’éducation et de la culture, en promouvant et en sauvegardant le riche patrimoine culturel du Timor-Leste et en veillant à ce que ce patrimoine soit documenté.
Le séminaire de trois jours s’est poursuivi par une visite à Suai, la capitale du district de Cova Lima au Timor-Leste, qui sera un site pilote pour l’atelier d’élaboration d’inventaires avec les communautés prévu en septembre 2012. Lors de la visite, les membres du Secrétariat d’État à la culture du Ministère de l’éducation de la République démocratique du Timor-Leste et le personnel de l’UNESCO ont rencontré les dirigeants de la communauté traditionnelle de Suai et ont eu l’occasion d’observer les colonies d’architecture vernaculaire, une danse traditionnelle effectuée par les membres de groupes communautaires locaux, et un atelier de tissage traditionnel tais dans le district de Cova Lima.
Kazakhstan : un nouvel Etat partie sur la voie de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
06/10-04-2012Astana (Kazakhstan)
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Quelques semaines seulement après être devenu le 142e Etat partie à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, le Kazakhstan accueillait du 6 au 10 avril 2012 à Astana un atelier de formation sur la mise en œuvre de cet instrument au niveau national.
Environ 25 représentants du Ministère de la culture et de l’information, de l’Agence pour le tourisme et le sport, d’universités de premier plan, des membres du Comité national pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, des experts de l’Observatoire de l’UNESCO sur l’Asie centrale, ainsi que des détenteurs du PCI - artisans, musiciens et conteurs et représentants des ONG de jeunesse, ont participé à la formation.
L’atelier est le premier d’une série d’activités visant à renforcer les capacités et les savoir-faire institutionels pour la mise en œuvre de la Convention de 2003 dans quatre pays d’Asie centrale: le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan. Il a été développé grâce au généreux soutien de la Norvège auprès du Fonds du patrimoine culturel immatériel. Son organisation était assurée par le Bureau multipays de l’UNESCO à Almaty, en coopération avec la Commission nationale de la République du Kazakhstan pour l’UNESCO et l’ISESCO, et la Fédération nationale des Clubs UNESCO au Kazakhstan.
La Zambie accueille un atelier de renforcement des capacités pour mieux sauvegarder son patrimoine vivant
26/30-03-2012Lusaka (Zambie)
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En Zambie, des membres de communautés et des représentants de diverses institutions, y compris des universitaires, les ministères de la culture, les conseils nationaux des arts, les musées et monuments nationaux et les comités nationaux du patrimoine culturel immatériel se sont réunis du 26 au 30 mars 2012 pour participer à un atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003.
L’atelier, qui vise à renforcer la capacité de la Zambie à sauvegarder son patrimoine vivant, faisait partie d’une série d’ateliers nationaux mis en œuvre par le Bureau de l’UNESCO à Harare. Il était organisé dans le cadre du projet du Fonds-en-dépôt UNESCO/Flandre pour renforcer les capacités nationales de mise en œuvre de la Convention de 2003 au Botswana, au Malawi, en Zambie et au Zimbabwe.
Dans son allocution d’ouverture, la Ministre des chefs et des affaires traditionnelles, Mme Everine Kabanshi, a souligné l’engagement de la Zambie dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et l’importance pour le gouvernement d’ancrer la Convention à l’échelle nationale, en associant pleinement les communautés et les chefs traditionnels au processus.
L’atelier a été animé par M. Stephen Chifunyise et M. Lovemore Mazibuko, deux membres du réseau de facilitateurs formés par l’UNESCO.
Pour plus d’informations, veuillez contacter: c.mapfumo@unesco.org
Mise à niveau de compétences sur les inventaires du patrimoine culturel immatériel réalisés avec l’aide des communautés et planification d’ateliers nationaux sur le sujet
23/25-03-2012Paris (France)
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Qu’est-ce que l’inventaire du patrimoine culturel immatériel (PCI) et pourquoi est-il au cœur des efforts de sauvegarde? Comment le réaliser avec la participation la plus large des communautés, en s’adaptant au contexte spécifique de chaque pays? Telles ont été les principales questions soulevées lors de l’atelier de mise à jour des compétences sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel, qui s’est tenu du 23 au 25 mars à Paris dans le cadre du projet MedLiHer en présence des équipes des trois pays partenaires (Egypte, Liban et Jordanie).
La rencontre a permis aux participants d’acquérir une compréhension approfondie du matériel de formation développé par l’UNESCO sur la thématique de l’inventaire du PCI, avant d’échanger sur l’adaptation de ces outils selon les particularités de chaque pays et de leurs projets nationaux de sauvegarde. Ceux-ci seront lancés en avril 2012, avec des ateliers de renforcement des capacités précédant le travail sur le terrain. Au Liban, l’inventaire se concentrera sur le zajal, une forme de poésie populaire récitée et chantée, tandis que l’Egypte s’intéressera aux différents éléments de la culture du Nil à Damiette et la Jordanie établira l’inventaire du PCI dans le gouvernorat de Madaba.
Outre les avancées réalisées dans la planification des projets nationaux, les participants ont pu développer au cours de cet atelier une vision commune du film régional MedLiHer, qui contribuera à la visibilité du PCI des pays partenaires dans le monde méditerranéen et à l’international.
Document
Zimbabwe : communautés, chefs traditionnels, universitaires et gouvernement mobilisés pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
19/23-03-2012Harare (Zimbabwe)
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Au Zimbabwe, des membres de communautés et des chefs traditionnels, des représentants de diverses institutions y compris des universitaires, des ministères de la Culture, des Conseils nationaux des arts, des musées et monuments nationaux et des comités nationaux du patrimoine culturel immatériel (PCI), se sont réunis du 19 au 23 mars 2012 à Harare pour participer à un atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention de 2003.
Dans ses déclarations officielles, le sous-Ministre de l’éducation, du sport, des arts et de la culture, M. Lazare Dokora, a souligné le rôle essentiel que les chefs traditionnels peuvent jouer dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier réunissait quatre chefs traditionnels, y compris le Président du Conseil des chefs, Fortune Charumbira.
Selon le chancelier Pro-Vice-Président de la Grande Université du Zimbabwe et membre du Comité national du PCI, l’atelier a abouti à la constitution d’un groupe de personnes formées qui vont désormais devenir des pionniers dans la mise en œuvre de la Convention de 2003, faisant ainsi une contribution significative à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel du Zimbabwe.
L’atelier faisait partie d’une série d’ateliers nationaux mis en œuvre par le Bureau de l’UNESCO à Harare, organisé dans le cadre du projet du Fonds-en-dépôt UNESCO/Flandre pour renforcer les capacités nationales de mise en œuvre de la Convention de 2003 au Botswana, au Malawi, en Zambie et au Zimbabwe. Il était animé par M. Stephen Chifunyise et M. Lovemore Mazibuko, deux membres du réseau de facilitateurs formés par l’UNESCO.
Pour plus d’informations, veuillez contacter: c.mapfumo@unesco.org
Le Malawi accueille un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour renforcer sa capacité à sauvegarder son patrimoine vivant
12/16-03-2012Lilongwe (Malawi)
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Le Malawi a ouvert ses portes du 12 au 16 mars à un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003, destiné à renforcer sa capacité à sauvegarder son patrimoine vivant.
L’atelier, auquel ont participé des membres de communautés et des représentants de diverses institutions, y compris des universitaires, des ministères de la culture, des conseils nationaux des arts, musées et monuments nationaux et des comités nationaux du patrimoine culturel immatériel, faisait partie d’une série d’ateliers nationaux mis en œuvre par le Bureau de l’UNESCO à Harare. Il était organisé dans le cadre du projet du Fonds-en-dépôt UNESCO/Flandre pour renforcer les capacités nationales de mise en œuvre de la Convention de 2003 au Botswana, au Malawi, en Zambie et au Zimbabwe.
Dans ses allocutions d’ouverture, la Directrice de la Culture, Dr Elizabeth Gomani-Chindebvu a rappelé l’importance de la mise en œuvre de la Convention, à travers la mise en place de politiques appropriées et d’instruments juridiques qui soutiennent la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
L’atelier était animé par M. Stephen Chifunyise et M. Lovemore Mazibuko, deux membres du réseau de facilitateurs formés par l’UNESCO.
Pour plus d’informations, veuillez contacter: c.mapfumo@unesco.org
Renforcement des capacités sur la ratification au Samoa
14/15-02-2012Apia (Samoa)
Atelier de mise en oeuvre de la Convention du patrimoine culturel immatériel
14/18-11-2011Addis Abeba (Éthiopie)
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Dans le cadre du renforcement des capacités de l’UNESCO pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003), UNESCO Addis Abeba organise un atelier pour 32 participants:
- 12 représentants de neuf bureaux régionaux de la culture et du tourisme;
- 8 fonctionnaires du ministère fédéral de la culture et du tourisme;
- 3 chercheurs de l’Université d’Addis-Abeba;
- 3 représentants d’ONG travaillant sur des thèmes liés;
- 4 issus de communautés
Il est axé sur la familiarisation des participants avec les concepts fondamentaux, la mesure et les mécanismes de la Convention du patrimoine immatériel, en reconnaissant que la mise en œuvre effective dépend de la connaissance et de la compréhension profonde de tous. L’atelier est animé par Mme Deidre Prins-solani et M. Amareswar Galla, deux facilitateurs d’un réseau de 65 experts qui ont participé à une série d’ateliers de formation des formateurs sur la façon d’utiliser les programmes de l’UNESCO spécialement conçu pour renforcer les capacités sur la mise en œuvre de la Convention pour le patrimoine immatériel.
La stratégie de renforcement des capacités a été mise en place avec le soutien du fonds du patrimoine culturel immatériel et le budget du programme régulier de l’UNESCO, continueront de bénéficier de la plus haute priorité. Il comprend actuellement une première série d’ateliers pour répondre aux besoins de formation les plus urgents:
1) la ratification
2) la mise en œuvre de la Convention au niveau national
3) l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés
4) l’élaboration des candidatures à la Liste de sauvegarde urgente
L’atelier d’Addis-Abeba fait partie intégrante de cette importante initiative.
Atelier de renforcement des capacités sur la ratification de la Convention de 2003 de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
14/15-11-2011Dili (Timor-Leste)
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Dans le cadre de la stratégie de l’UNESCO de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention internationale pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, un atelier de deux jours sur la ratification de la Convention a été organisé à Dili, au Timor-Leste, du 14 au 15 novembre 2011. Cet atelier, organisé conjointement par le Secrétariat d’Etat de la Culture du Ministère de l’Education de la République démocratique du Timor-Leste et le Bureau de l’UNESCO à Jakarta, a réuni quelque 40 participants dont des responsables gouvernementaux des ministères concernés, des universitaires, des ONG et les chargés de section de diversité culturelle dans les districts du Timor-Leste.
Le renforcement des capacités pour une mise en œuvre effective de la Convention du patrimoine culturel immatériel au niveau national est actuellement une priorité dans les programmes de l’UNESCO, et l’UNESCO a consacré d’importants efforts au développement de matériel de formation sur les sujets suivants répondant aux besoins les plus urgents des Etats: ratification, mise en œuvre de la Convention, inventaire avec la participation des communautés et préparation des candidatures aux listes de la Convention. L’objectif de cet atelier est donc d’aider les participants à acquérir une compréhension globale de la Convention, du comment et pourquoi les Etats membres devraient la ratifier. Une connaissance approfondie de la Convention et de ses concepts, mesures et mécanismes, est essentielle pour sa ratification et la réussite de sa mise en œuvre à l’avenir.
L’atelier consistait en une série d’activités de formation pour démontrer les caractéristiques essentielles de la Convention, afin d’acquérir une compréhension globale de la Convention, d’apprendre les meilleures pratiques des pays ratifiés, de guider en somme pratiquement le pays vers la ratification. Il est divisé en trois thèmes principaux:
- introduction à la Convention et de ses concepts clés ;
- mise en œuvre de la Convention au niveau national ;
- participation des communautés et des rôles des parties prenantes dans la sauvegarde.
Sensibilisation des décideurs sur la mise en oeuvre de la Convention de 2003
07/11-11-2011Mombasa (Kenya)
Deuxième atelier de renforcement de capacités sur la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel: le rôle des communautés dans la sauvegarde et l’inventaire du PCI
02/03-11-2011Santiago (Chili)
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L’UNESCO déploie actuellement une stratégie globale pour contribuer à une meilleure compréhension des concepts clés de la Convention du patrimoine culturel immatériel, des obligations des États parties et des mécanismes de coopération et d’assistance internationales établis en vertu de cet instrument. C’est dans ce contexte qu’un atelier de renforcement de capacités nationales sur la Convention est organisé à Santiago, au Chili, du 2 au 3 novembre 2011.
Les objectifs de l’atelier sont les suivants:
1. Sensibiliser les communautés locales et le grand public aux concepts et mécanismes de la Convention, en leur donnant insi des outils pour la sauvegarde de leurs expressions culturelles. Diffuser des connaissances techniques et pratiques concernant le rôle des ONGs, des universités et de l’État dans la mise en œuvre de la Convention.
2. Générer un espace de débat et d’échange sur les expériences, les bonnes pratiques et les défis en matière de patrimoine culturel immatériel. Aider ainsi les autorités nationales et locales à la prise de décision fondées et à la mise en place de mesures pour mettre en œuvre la Convention avec la participation et le consentement des communautés concernées.
L’atelier réunira des personnes issues de communautés locales, des représentants d’institutions nationales et de collectivités territoriales, des organisations non gouvernementales, des universitaires ainsi que le grand public.
Un facilitateur certifié par l’UNESCO sur le patrimoine culturel immatériel, Mme Soledad Mujica Bayly (Pérou), animera l’atelier en espagnol (sans services d’interprétation).
Atelier national de formation sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés au Monténégro
24/31-10-2011Cetinje (Monténégro)
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Un premier atelier national de formation sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés est organisé par le Bureau de l’UNESCO à Venise, en coopération étroite avec le Ministère de la Culture et la Commission nationale pour l’UNESCO du Monténégro.
Cet atelier de 8 jours rassemble différents experts, responsables locaux, représentants d’ONG et de communautés, pour discuter des politiques et méthodes d’inventaires du patrimoine culturel immatériel, prévus au titre de la Convention de 2003 sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Une formation pratique sur le terrain aura lieu à la fin de l’atelier.
Le séminaire est animé par Chiara Bortolotto (Anthropologue, EHESS/ Université Libre de Bruxelles, Italie) et Sasha Sreckovic (Ethnologue, Musée ethnographique de Belgrade, Serbie).
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Atelier régional de renforcement des capacités sur le rôle des ONG dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
19/21-10-2011Quito (Équateur)
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L’UNESCO déploie une stratégie globale pour contribuer à une meilleure compréhension des concepts clés de la Convention, les obligations des États parties et les mécanismes de coopération et assistance internationales mis en place par la Convention. C’est dans ce contexte que deux ateliers régionaux de renforcement des capacités sur le rôle des ONG dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel sont organisés en Afrique (en septembre à Libreville, Gabon) et en Amérique latine (en octobre à Quito, Équateur).
L’atelier en Amérique latine se déroule du 19 au 21 octobre 2011 à Quito, Équateur, et rassemble dix-huit ONG latino-américaines accréditées par l’Assemblée générale des États parties pour avoir des fonctions consultatives auprès du Comité ou recommandés pour accréditation. L’objectif de cet atelier est de donner aux participants des connaissances techniques sur le rôle des ONG dans la mise en œuvre de la Convention aux niveaux national et international, de créer un espace de débat et d’échange d’expériences, de bonnes pratiques et de défis et de renforcer le dialogue et la coopération au niveau régional parmi les ONG.
L’atelier est animé par les facilitateurs formés par l’UNESCO, M. Fabián Bedón Samaniego de l’Institut national du patrimoine culturel d’Équateur et M. Francisco Javier López Morales de l’Institut national d’anthropologie et d’histoire du Mexique. L’atelier se déroule en espagnol et en portugais avec interprétation simultanée.
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Atelier de formation et de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003) au niveau national
10/14-10-2011Bamako (Mali)
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Dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités nationales de l’UNESCO en vue de la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003), le bureau UNESCO multi-pays de Bamako, en partenariat avec le Ministère de la culture, organise un atelier qui regroupe les directeurs du patrimoine culturel du Mali, du Burkina Faso, du Niger, de la Guinée et plus d’une vingtaine de responsables d’institutions maliennes impliqués dans la sauvegarde et la gestion du patrimoine culturel immatériel.
L’atelier est axé sur la familiarisation des participants avec les concepts fondamentaux, les mesures et les mécanismes de la Convention, en reconnaissant que sa mise en œuvre efficace dépend de la connaissance et de la compréhension profonde de toutes les personnes impliquées dans la sauvegarde du patrimoine vivant. L’atelier se déroule du 10 au 14 octobre 2011 à Bamako, conduit par Mme Claudine Angoué (Gabon) et M. Ludovic Kibora (Burkina Faso), deux membres d’un réseau de 65 experts qui ont participé à une série d’ateliers de formation des formateurs sur l’utilisation des modules de formation de l’UNESCO spécialement conçus pour renforcer les capacités des États parties pour la mise en œuvre de la Convention. Actuellement le programme comprend 4 thèmes qui sont : (a) la ratification, (b) la mise en œuvre de la Convention au niveau national, (c) l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés, et (d) l’élaboration des candidatures à la Liste de sauvegarde urgente.
La stratégie globale de renforcement des capacités de l’UNESCO a été mise en place avec le soutien du fonds du patrimoine culturel immatériel et le budget du programme régulier. Quelques 7 millions de dollars des États-Unis de ressources extrabudgétaires ont été mobilisés pour mettre en œuvre la stratégie de renforcement des capacités. Ce généreux soutien a été accordé par l’Azerbaïdjan, la Bulgarie, Chypre, la Flandre (Belgique), la Hongrie, le Japon, la Norvège, la République de Corée, l’Espagne et les Emirats Arabes Unis. Elle continuera à bénéficier de la plus haute priorité.
Atelier régional de renforcement des capacités sur le rôle des ONG dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
28/30-09-2011Libreville (Gabon)
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L’UNESCO déploie une stratégie globale pour contribuer à une meilleure compréhension des concepts clés de la Convention, les obligations des États parties et les mécanismes de coopération et assistance internationales mis en place par la Convention. C’est dans ce contexte que deux ateliers régionaux de renforcement des capacités sur le rôle des ONG dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel sont organisés en Afrique (en septembre à Libreville, Gabon) et en Amérique latine (en octobre à Quito, Équateur).
L’atelier en Afrique aura lieu du 28 au 30 septembre 2011 à Libreville, Gabon, et rassemblera treize ONG africaines accréditées par l’Assemblée générale des États parties pour avoir des fonctions consultatives auprès du Comité ou recommandés pour accréditation. L’objectif de cet atelier est de donner aux participants des connaissances techniques sur le rôle des ONG dans la mise en œuvre de la Convention aux niveaux national et international, de créer un espace de débat et d’échange d’expériences, de bonnes pratiques et de défis et de renforcer le dialogue et la coopération au niveau régional parmi les ONG.
L’atelier sera animé par les facilitatrices formées par l’UNESCO, Mme Deidre Prins-Solani du Centre pour le développement du patrimoine en Afrique au Kenya et Mme Claudine-Augée Angoué de l’Université Omar Bongo du Gabon. L’atelier se déroulera en français et en anglais avec interprétation simultanée.
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Renforcement des capacités nationales pour l’inventaire du patrimoine culturel immatériel au Kirghizistan
15/16-09-2011Osh (Kirghizistan)
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Dans le cadre du programme «Renforcement des capacités en matière d’inventaires du patrimoine culturel immatériel en Asie centrale», la Commission nationale kirghize pour l’UNESCO en coopération avec le Bureau de l’UNESCO à Almaty organisent un atelier de formation de deux jours sur la mise en œuvre de la Convention 2003 et l’inventaire du patrimoine culturel immatériel dans deux régions de la République kirghize, du 18 au 19 juillet 2011 à Talas et du 15 au 16 septembre 2011 à Och.
L’objectif principal de l’atelier de formation est de renforcer les capacités nationales en matière d’inventaires et de gestion du patrimoine culturel immatériel. Les thématiques abordées portent sur les objectifs de la Convention, les obligations des État-Parties, les mécanismes de la Convention ainsi que sur les méthodes d’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel.
L’atelier réunit 20 participants issus d’organisations gouvernementales, d’institutions académiques, d’ONG et de communautés en vue d’échanger sur la situation actuelle en matière d’identification et documentation du patrimoine culturel immatériel ainsi que sur la stratégie nationale de sauvegarde de ce patrimoine en République kirghize.
L a République kirghize a ratifié la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en 2006.
Sensibilisation de personnes ressources du Ministère de la Culture aux techniques de l’inventaire
12/14-09-2011Brazzaville (Congo)
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Organisation à Brazzaville d’un atelier de sensibilisation et de formation des personnes ressources du Ministère de la Culture et des autres institutions sur la mise en œuvre de la Convention de 2003, notamment sur les techniques d’inventaire, du 12 au 14 septembre 2011.
Cet atelier s’est tenu dans le cadre du suivi des recommandations de l’atelier sous-régional de formation de formateurs organisé à Libreville (janvier-février 2011) par le Siège (section PCI) pour le renforcement des capacités et la mise en place d’une équipe de formateurs sous-régionaux.
Deux ateliers sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Afghanistan
01/03-09-2011Kaboul (Afghanistan)
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Deux ateliers ont eu lieu en Afghanistan en septembre 2011, respectivement à Kaboul et à Bamiyan. L’atelier à Kaboul a été organisé par le ministère de l’Information et de la Culture dans le Musée national d’Afghanistan. Un expert international dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) et un représentant de l’ICOM (A. Galla) ont facilité ces deux ateliers. Comme la mise en œuvre de la Convention et la compréhension de la notion de PCI en sont encore à leurs balbutiements en Afghanistan, l’ordre du jour a suivi les aspects introductifs de la documentation, la promotion et la sauvegarde du PCI. Les ateliers ont été bien accueillis par les participants des divers départements gouvernementaux locaux et nationaux du ministère de la Culture et de l’Information, des universitaires de Kaboul et Bamiyan et des représentants de plusieurs ONG ayant un intérêt dans le PCI.
A Bamiyan, en particulier, les participants ont montré un grand empressement à documenter et promouvoir le PCI comme une autre composante essentielle du patrimoine mondial, dans cette région où un grand nombre de personnes vivent à l’intérieur et/ou à proximité des frontières. À cet égard, les particpants étaient très intéressés par l’aide de l’UNESCO dans la collecte de fonds pour un nouveau musée à Bamiyan, qui pourrait devenir un centre pour la documentation du PCI et la mise en œuvre de la Convention.
Training Needs Assessment Workshop
Luanda, 31 August-02 September 2011
31-08-2011/02-09-2011louanda (Angola)
Vers la ratification de la Convention de 2003 aux Comores
12/13-07-2011Moroni (Comores)
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Un atelier sur la ratification s’est tenu du 12 au 13 juillet 2011 à Moroni. Il était organisé en étroite collaboration avec le Directeur de la Culture au sein du ministère de l’Éducation, de la Culture et des Arts et M. Aboubakar Boina, contact de l’UNESCO pour les Comores.
Trente-cinq participants issus du Gouvernement de l’Union, des trois îles des Comores (Grande Comore, Anjouan et Moreli), d’ONG et du secteur privé ont participé à l’atelier.
La Tanzanie sur la voie de la mise en oeuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
12/13-07-2011Dodoma (République-Unie de Tanzanie)
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Un atelier de cinq jours sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 a eu lieu en Tanzanie. L’atelier a réuni 30 participants venus de la Tanzanie continentale et de Zanzibar. La formation a été dispensée par deux facilitateurs agréés de l’UNESCO. Elle a été organisée en étroite collaboration avec le Ministère de la Culture et de la commission nationale de l’UNESCO.
Atelier de renforcement de capacités sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
11/15-07-2011Broumana (Liban)
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De nombreux États parties intensifient actuellement leurs efforts afin de remplir leurs obligations en vertu de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de 2003. La stratégie globale de renforcement des capacités mise au point par l’UNESCO couvre les différents volets d’application de cet instrument, y compris la ratification, la mise en œuvre au niveau national, l’inventaire et la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel présent sur le territoire des États parties, la sensibilisation et la mise en œuvre au niveau international. L’objectif principal est d’aider les États parties à mettre en oeuvre la Convention en adoptant des mesures appropriées.
Le Bureau régional de l’UNESCO à Beyrouth au Liban a contribué à ces efforts en organisant un atelier sur la mise en œuvre de la Convention à Broumana du 11 au 15 juillet 2011. Cet atelier est le premier à avoir lieu dans les pays de la région depuis la formation des formateurs qui s’est tenue à Abu Dhabi du 10 au 14 avril 2011. Les participants viennent de Syrie et du Liban, et sont issus du monde universitaire, du secteur des ONG et du public.
L’atelier est animé par deux facilitateurs accrédités par l’UNESCO, Ahmed Skounti, professeur à l’Institut national d’archéologie et des sciences du patrimoine au Maroc, et Annie Tohmé-Tabet, professeur associée d’anthropologie à l’Université Saint Joseph au Liban.
L’atelier se déroule à l’Hôtel Printania à Broumana dans la haute banlieue Est de Beyrouth.
Deuxième session de formation au Conseil national des arts du Pakistan
25-06-2011Islamabad (Pakistan)
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Dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, une session de formation de 4 jours s’est tenue à Islamabad du 2 au 5 mai 2011 en collaboration avec le Conseil national des arts du Pakistan (PNCA). Une deuxième session de formation a également eu lieu le 25 juin 2011 au PNCA. Cette session a mis l’accent sur la préparation de dossiers pour les Listes de sauvegarde urgente et représentative et pour le registre de bonnes pratiques dans le cadre de la Convention. Les détails des ateliers se trouvent ci-dessous.
2e ATELIER, 25 JUIN 2011
La deuxième session de formation a eu lieu le 25 juin 2011 au PNCA. Elle a mis l’accent sur la préparation de dossier pour la Liste urgente, la Liste représentative et le Registre de bonnes pratiques dans le cadre de la Convention. 16 personnes, pour la plupart des représentants du Lok Virsa et du PNCA, ont participé à l’atelier. La formation a eu lieu au travers de sessions interactives qui ont couvert tous les aspects clés de la préparation de dossiers pour la Liste de sauvegarde urgente et les formulaires.
Renforcement des capacités nationales pour l’inventaire du patrimoine culturel immatériel au Kirghizistan
18/19-06-2011Talas (Kirghizistan)
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Dans le cadre du programme «Renforcement des capacités en matière d’inventaires du patrimoine culturel immatériel en Asie centrale», la Commission nationale kirghize pour l’UNESCO en coopération avec le Bureau de l’UNESCO à Almaty organisent un atelier de formation de deux jours sur la mise en œuvre de la Convention 2003 et l’inventaire du patrimoine culturel immatériel dans deux régions de la République kirghize, du 18 au 19 juillet 2011 à Talas et du 15 au 16 septembre 2011 à Och.
L’objectif principal de l’atelier de formation est de renforcer les capacités nationales en matière d’inventaires et de gestion du patrimoine culturel immatériel. Les thématiques abordées portent sur les objectifs de la Convention, les obligations des État-Parties, les mécanismes de la Convention ainsi que sur les méthodes d’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel.
L’atelier réunit 20 participants issus d’organisations gouvernementales, d’institutions académiques, d’ONG et de communautés en vue d’échanger sur la situation actuelle en matière d’identification et documentation du patrimoine culturel immatériel ainsi que sur la stratégie nationale de sauvegarde de ce patrimoine en République kirghize.
L a République kirghize a ratifié la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en 2006.
Renforcement des capacités sur la mise en oeuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Cameroun
07/10-06-2011Kribi (Cameroun)
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L’atelier de renforcement des capacites sur la mise en oeuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immateriel destinés aux représentants du Ministere de la Culture du Cameroun, de la Commission nationale camerounaise pour l’UNESCO, des médias, des universitaires et des chefs des communautés traditionnelles du Cameroun, s’est tenu à Kribi du 7 au 10 juin 2011.
Deux experts de l’UNESCO ayant été choisis par l’organisation et ayant bénéficié de la formation des formateurs de Libreville (janvier 2011) ont animé l’atelier de Kribi.
Cet atelier avait pour objet de développer et de renforcer les capacités des participants sur les questions de sauvegarde du patrimoine immatériel dans le contexte national spécifique au Cameroun, afin de leur permettre d’apporter leur contribution à la mise en oeuvre de la Convention. La ratification de la Convention par le pays s’est faite à la suite de cet atelier.
Nigéria : Un atelier pour ancrer la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au niveau national
01/03-06-2011Enugu (Nigéria)
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Avec ses 150 millions d’habitants et quelque 450 groupes culturels, le Nigéria représente un immense tissu de patrimoine culturel immatériel à sauvegarder. L’atelier intitulé « Ancrer la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au niveau national», qui s’est tenu du 1er au 3 juin 2011 à Enugu, visait à renforcer les capacités des parties prenantes nationales à sauvegarder ce patrimoine, grâce à une meilleure compréhension des concepts et mécanismes institutionnels établis par cet instrument normatif.
L’atelier était organisé par le Bureau de l’UNESCO à Abuja avec le soutien actif de l’Institut national pour l’orientation culturelle (NICO) et du gouvernement l’État d’Enugu. 42 participants ont été formés à cette occasion, y compris les directeurs de la culture représentant les 6 régions géopolitiques du Nigeria, des ONG culturelles et communautaires accréditées par l’UNESCO, du personnel des agences culturelles relevant du Ministère fédéral de la culture, du tourisme et de l’orientation nationale, et les médias.
L’atelier était animé par M. Anami Silverse du Kenya et M. Abdullahi Denja du Nigeria, tous deux faisant partie du réseau de facilitateurs formés par l’UNESCO. Ils se sont appuyés sur les modules de formation élaborés par l’UNESCO sur la mise en œuvre de la Convention dans le cadre de la stratégie de renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Ces supports pédagogiques ont été enrichis d’exemples adaptés au contexte local.
A la fin de l’atelier, les participants ont publié un communiqué (anglais), comprenant des résolutions sur les mesures de suivi à entreprendre.
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Atelier de formation et de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003) au niveau national
26/28-05-2011Bujumbura (Burundi)
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Dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités nationales de l’UNESCO en vue de la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003), le Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture conjointement et le Bureau de l’Unesco au Bujumbura, organisent un atelier à Bujumbura du 26 au 28 mai 2011. L’atelier réunit 40 participants (36 délégués burundais ainsi que deux délégations des pays voisins, le Rwanda et la République Démocratique du Congo).
L’atelier est axé sur la familiarisation des participants avec la Convention du patrimoine immatériel, ses concepts fondamentaux clés, sa mesure et ses mécanismes en reconnaissant que sa mise en œuvre efficace dépend de la connaissance de toutes les personnes impliquées dans la sauvegarde du patrimoine vivant. L’Atelier est conduit par Mr Domitien Nizigiyimana et Mr Louis Bazubwabo, deux membres d’un réseau de 65 experts qui ont participé à une série d’ateliers de formation des formateurs sur la façon d’utiliser les programmes de l’UNESCO spécialement conçu pour renforcer les capacités sur la mise en œuvre de la Convention. Actuellement le programme comprend 4 thèmes qui sont : (a) la ratification, (b) la mise en œuvre de la Convention au niveau national, (c) l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés, et (d) l’élaboration des candidatures à la Liste de sauvegarde urgente.
La stratégie globale de renforcement des capacités de l’UNESCO a été mise en place avec le soutien du fonds du patrimoine culturel immatériel et le budget du programme régulier. Quelques 7 millions de dollars des États-Unis de ressources extrabudgétaires ont été mobilisés pour mettre en œuvre la stratégie de renforcement des capacités. Ce généreux soutien a été accordé par l’Azerbaïdjan, la Bulgarie, Chypre, la Flandre (Belgique), la Hongrie, le Japon, la Norvège, la République de Corée, l’Espagne et les Emirats Arabes Unis. Elle continuera à bénéficier de la plus haute priorité dans les programmes de l’UNESCO.
L’atelier de Bujumbura fait partie intégrante de cette importante initiative.
Renforcement de capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine immatériel
19/21-05-2011Minsk (Bélarus)
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La réunion consultative d’experts et formation «Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel» se tient à Minsk (Biélorussie) du 18 au 21 mai 2011. L’évènement a pour objectif de renforcer les capacités nationales de l’Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, République de Moldavie et Fédération de Russie en vue de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel présent sur leur territoire. Il vise également à sensibiliser à l’importance de ce patrimoine pour le développement durable, tout en prenant en compte les perspectives du genre et de la jeunesse.
La formation s’appuie sur les supports pédagogiques élaborés par l’UNESCO et sur un réseau de facilitateurs régionaux spécialement formés dans le cadre de la stratégie globale de l’Organisation pour le renforcement des capacités sur la mise en œuvre de la Convention du patrimoine immatériel (2003).
L’événement est organisé par le Bureau multi-pays de l’UNESCO à Moscou en partenariat avec l’Institut des arts, de l’ethnographie et du folklore, avec la participation du Ministère de la culture de la République de Biélorussie et la Commission nationale de la République de Biélorussie pour l’UNESCO.
Atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003)
02/05-05-2011Islamabad (Pakistan)
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Dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités nationales de l’UNESCO en vue de la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003), deux formations sont successivement organisées par le Bureau de l’UNESCO à Islamabad en collaboration avec le Conseil national des arts du Pakistan du 2 au 5 mai 2011 (PNCA) :
1er atelier: du 2 au 5 mai 2011
Mise en œuvre nationale de la Convention du patrimoine culturel immatériel et élaboration d’inventaires avec la participation des communautés, du 2 au 5 mai 2011
Cet atelier réunit treize participants, y compris les membres du personnel du PNCA , Lok Virsa (l’Institut national de Folk & du patrimoine traditionnel) et deux journalistes. La formation est axée sur la mise en œuvre nationale de la Convention du patrimoine culturel immatériel et sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés. Les présentations s’appuient sur les supports de formation élaborés par l’UNESCO et adaptés au contexte pakistanais. L’atelier est animé par Sajida Vandal, une facilitatrice accréditée par l’UNESCO, avec également des présentations d’autres intervenants autour de projets de cartographie culturelle.
2ème atelier: 25 juin 2011
Préparation des candidatures aux Listes de la Convention, 25 juin 2011
La deuxième session de formation se déroule le 25 juin 2011 au PNCA . La formation porte sur la préparation de candidatures à la Liste de sauvegarde urgente, au Registre des meilleures pratiques de sauvegarde et à et la Liste représentative dans le cadre de la Convention du patrimoine immatériel. Elle s’appuie sur une approche pédagogique interactive. Seize personnes y participent, principalement de l’organisation Lok Virsa et du PNCA .
Le pouvoir de la culture dans le développement
28-04-2011Accra (Ghana)
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Dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités nationales de l’UNESCO en vue de la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003), et de la Convention pour la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles (2005), le Bureau UNESCO multi-pays à Accra organise un atelier sur « Le pouvoir de la culture dans le développement ». Cet atelier regroupe 41 représentants du Ministère des chefferies et de la culture, la Commission nationale de la culture, l’Institut d’études africaines, l’Université du Ghana à Legon, la Commission nationale du Ghana pour l’UNESCO, le Ministère de l’Éducation, l’Agence de protection environnementale du Ministère de la science et de l’environnement et bien d’autres institutions clés impliquées dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier est présidé par le Ministre des chefferies et de la culture du Ghana. Comme le Ghana et le Libéria n’ont pas ratifié les deux conventions, une approche globale et multisectorielle a été adoptée par le Bureau d’Accra afin de susciter une compréhension et une appréciation des questions abordées par ces instruments normatifs.
Les principaux objectifs de la réunion et des autres activités de suivi visent à:
• Familiariser l’ensemble des participants avec les Conventions de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) et pour la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles
• Promouvoir la ratification des conventions par le Parlement et le Gouvernement du Ghana
• Sensibiliser l’ensemble des participants à l’importance de reconnaître le patrimoine culturel - plus particulièrement du patrimoine vivant – dans les politiques nationales de développement et dans la mise en œuvre de programmes de développement.
L’atelier est animé par le spécialiste du programme de l’UNESCO pour la Culture au Ghana, un chef traditionnel, des universitaires, des praticiens et militants de la culture au Ghana.
L’atelier d’Accra s’inscrit dans la stratégie globale de renforcement des capacités de l’UNESCO, mise en place avec le soutien du Fonds du patrimoine culturel immatériel et le budget du programme régulier.
Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du PCI : formation de formateurs pour les États arabes
10/14-04-2011Abou Dhabi (Émirats arabes unis)
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Les États parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ont continuellement insisté sur l’importance du renforcement des capacités des États en voie de développement de réellement mettre en œuvre la Convention. En réponse, l’UNESCO a concentré son programme du biennium 2010-2011 sur une stratégie globale de renforcement des capacités parmi les États membres et poursuivra cet effort au cours des années suivantes. L’UNESCO développe un réseau mondial d’experts qui seront formés sur le curriculum et les méthodes. Cette réunion fait partie d’une série d’ateliers dédiés à la “formation de formateurs” dans différentes régions du monde de janvier à mars 2011 afin de créer ce réseau d’experts formateurs.
Cet atelier est financé par le fonds-en-dépôt UNESCO/Abu Dhabi Authority for Cultural Heritage. Un financement additionnel provient du Fonds du patrimoine culturel immatériel et du budget régulier de l’UNESCO.
Documents d’information générale
- Aperçu de l’atelier d’Abou Dhabi (stratégie, ordre du jour, participants): anglais|français
- Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel: textes fondamentaux: anglais
Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du PCI : formation de formateurs pour l’Amérique Latine et les Caraïbes
28-03-2011/01-04-2011La Havane (Cuba)
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Les États parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ont continuellement insisté sur l’importance du renforcement des capacités des États en voie de développement de réellement mettre en œuvre la Convention. En réponse, l’UNESCO a concentré son programme du biennium 2010-2011 sur une stratégie globale de renforcement des capacités parmi les États membres et poursuivra cet effort au cours des années suivantes. L’UNESCO développe un réseau mondial d’experts qui seront formés sur le curriculum et les méthodes. Cette réunion fait partie d’une série d’ateliers dédiés à la “formation de formateurs” dans différentes régions du monde de janvier à mars 2011 afin de créer ce réseau d’experts formateurs.
L’atelier est financé par le Fonds du patrimoine culturel immatériel, avec un soutien additionnel du budget régulier de l’UNESCO.
Documents d’information générale
- Havana workshop outline (strategy, timetable, overview of materials, list of participants): anglais|espagnol
- Practical information - Havana workshop: anglais|espagnol
- Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel: textes fondamentaux: anglais
Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du PCI : atelier de formation de formateurs à Sofia
14/18-03-2011Sofia (Bulgarie)
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Les États parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ont continuellement insisté sur l’importance du renforcement des capacités des États en voie de développement de réellement mettre en œuvre la Convention. En réponse, l’UNESCO a concentré son programme du biennium 2010-2011 sur une stratégie globale de renforcement des capacités parmi les États membres et poursuivra cet effort au cours des années suivantes. L’UNESCO développe un réseau mondial d’experts qui seront formés sur le curriculum et les méthodes. Cette réunion fait partie d’une série d’ateliers dédiés à la “formation de formateurs” dans différentes régions du monde de janvier à avril 2011 afin de créer ce réseau d’experts formateurs.
Cet atelier est financé par le Fonds du patrimoine culturel immatériel et le budget régulier de l’UNESCO.
Documents d’information générale
- Informations pratiques – réunion de Sofia: anglais
- Aperçu de l’atelier de Sofia (stratégie, ordre du jour, vue d’ensemble des matériels): anglais
- Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel: textes fondamentaux: anglais
Sensibilisation à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel pour les autorités nord-coréennes
23/25-02-2011Pyongyang (République populaire démocratique de Corée)
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The ICH training workshop was organized from 23-25 February 2011. As trainers served B. Kaldun and a Chinese danceexpertand Vice-Director of the Institute of Dance, Mr. Jiang Dongwho received training under the UNESCO China workshop in January 2011.
The workshop was attended by 40 researchers, academia and government officers involved with ICH. The workshop addressed three main areas, overall commitment under the ICH Convention, safeguarding measures of ICH with focus on inventorying and a brief introduction on the nomination process.
Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du PCI : formation de formateurs à Libreville
31-01-2011/04-02-2011Libreville (Gabon)
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Les États parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ont continuellement insisté sur l’importance du renforcement des capacités des États en voie de développement de réellement mettre en œuvre la Convention. En réponse, l’UNESCO a concentré son programme du biennium 2010-2011 sur une stratégie globale de renforcement des capacités parmi les États membres et poursuivra cet effort au cours des années suivantes. L’UNESCO développe un réseau mondial d’experts qui seront formés sur le curriculum et les méthodes. Cette réunion fait partie d’une série d’ateliers dédiés à la “formation de formateurs” dans différentes régions du monde de janvier à mars 2011 afin de créer ce réseau d’experts formateurs.
L’atelier se tient grâce au généreux soutien du fond-en-dépôt du gouvernement bulgare, avec des fonds additionnels du Fonds du patrimoine culturel immatériel et du budget régulier de l’UNESCO.
Documents d’information générale
- Informations pratiques - Atelier de Libreville: français
- Liste de participants: français
- Aperçu de l’atelier de Libreville (stratégie, ordre du jour): français
Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du PCI : formation de formateurs à Harare
24/28-01-2011Harare (Zimbabwe)
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Les États parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ont continuellement insisté sur l’importance du renforcement des capacités des États en voie de développement de réellement mettre en œuvre la Convention. En réponse, l’UNESCO a concentré son programme du biennium 2010-2011 sur une stratégie globale de renforcement des capacités parmi les États membres et poursuivra cet effort au cours des années suivantes. L’UNESCO développe un réseau mondial d’experts qui seront formés sur le curriculum et les méthodes. Cette réunion fait partie d’une série d’ateliers dédiés à la “formation de formateurs” dans différentes régions du monde de janvier à mars 2011 afin de créer ce réseau d’experts formateurs.
La réunion est co-hébergée par l’organisation “Oral Traditions Association of Zimbabwe (OTAZ)” et est financée par le Fonds du patrimoine immatériel et le budget régulier de l’UNESCO.
Documents d’information générale
- Informations pratiques – Réunion d’Harare: anglais
- Aperçu de l’atelier d’Harare (stratégie, ordre du jour, vue d’ensemble des matériels, liste des participants): anglais
- Allocution de bienvenue par le professeur Luc Rukingama, directeur et représentant du bureau de l’UNESCO à Harare: anglais
- Discours liminaire du S.E. Lazarus D.K. Dokora, membre du Parlement et député du ministère de l’Education, du Sport, des Arts et de la Culture: anglais
- Allocution de clôture par M. Josiah J. Mhlanga, Secrétaire général de la Commission nationale du Zimbabwe pour l’UNESCO: anglais
Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du PCI : formation de formateurs pour l’Asie et le Pacifique
10/14-01-2011Pékin (Chine)
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Les États parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ont continuellement insisté sur l’importance du renforcement des capacités des États en voie de développement de réellement mettre en œuvre la Convention. En réponse, l’UNESCO a concentré son programme du biennium 2010-2011 sur une stratégie globale de renforcement des capacités parmi les États membres et poursuivra cet effort au cours des années suivantes. L’UNESCO développe un réseau mondial d’experts qui seront formés sur le curriculum et les méthodes. Cette réunion fait partie d’une série d’ateliers dédiés à la “formation de formateurs” dans différentes régions du monde de janvier à mars 2011 afin de créer ce réseau d’experts formateurs.
L’atelier est organisé par le Ministère de la Culture de la République populaire de Chine, en coopération avec l’ International Training Centre for Intangible Cultural Heritage in the Asia-Pacific Region, et rendu possible grâce au généreux soutien du gouvernement de la Chine. Un financement supplémentaire provient du Fonds du patrimoine culturel immatériel et du budget régulier de l’UNESCO.
Documents d’information générale
- Informations générales (des hôtes chinois): anglais
- Aperçu de l’atelier de Pékin (stratégie, ordre du jour, vue d’ensemble des matériels, liste des participants): anglais
Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers le renforcement des capacités nationales au Maroc, en Mauritanie et en Tunisie03-2013/12-2021, Maroc - Mauritanie - Tunisie
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Ce projet a pour objectif d’assister trois pays de la sous-région Maghreb dans la sauvegarde de leur patrimoine culturel immatériel à travers la mise en œuvre effective de la Convention. Il vise à bâtir une masse critique d’expériences et de connaissances, tant au sein des institutions gouvernementales que parmi la société civile, de sorte que les pays bénéficiaires disposent d’un cadre approprié pour la sauvegarde durable du patrimoine immatériel et la mise en œuvre de la Convention sur le long terme.
À cette fin, le projet mettra en œuvre une stratégie intégrée, comprenant une série d’ateliers et activités adaptés aux besoins identifiés de chaque pays. Ce projet portera sur les concepts fondamentaux de la Convention. Il fournira aux pays bénéficiaires une compréhension approfondie de leurs obligations au niveau national et une connaissance substantielle des mécanismes de coopération internationale établis par la Convention. À partir d’une évaluation initiale des besoins, les thèmes abordés incluront la mise en œuvre au niveau national, la révision des cadres juridiques et législatifs, l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés, la préparation des dossiers de candidature à la Liste de sauvegarde urgente, à la Liste représentative, au Registre des meilleures pratiques de sauvegarde et l’élaboration de demandes d’assistance internationale.
Chaque pays bénéficiaire profitera également d’autres interventions de sauvegarde adaptées à ses besoins spécifiques, pouvant aller d’une expérience pratique de l’inventaire avec la participation des communautés à la prestation d’une assistance technique et des consultations sur des réformes institutionnelles ou juridiques. Le projet soutiendra également l’établissement de mécanismes adéquats de gestion du patrimoine culturel immatériel.
Le projet implique donc un investissement soutenu dans les ressources humaines des pays bénéficiaires. Il vise à former un noyau dur de gestionnaires et acteurs du patrimoine culturel immatériel dotés d’une connaissance solide de la Convention et de ses mécanismes. Le projet comprend ainsi une série d’activités et d’interventions, principalement organisées sur une base nationale, mais avec des possibilités de synergies et de coopérations sous régionales entre pays du Maghreb.
Le renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans huit pays d’Afrique et de la région arabe : évaluer les besoin et développer des propositions de projet05-2014/03-2019, Comores - Djibouti - Égypte - Madagascar - Palestine - Soudan - Yémen - Soudan du Sud
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Ce projet financé par l’Autorité d’Abu Dhabi pour le tourisme et la culture (ADTCA) a pour but d’établir une base solide afin de soutenir huit pays en Afrique et dans la région arabe (les Comores, Djibouti, l’Égypte, Madagascar, la Palestine, le Soudan du Sud, le Soudan et le Yémen) dans leurs efforts pour sauvegarder leur patrimoine vivant, en conformité avec la Convention de 2003 de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. En collaboration avec les autorités nationales, l’UNESCO élaborera des propositions de projets pluriannuels basées sur les besoins des pays bénéficiaires qui peuvent trouver une réponse dans le cadre du programme global de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
À cette fin, l’UNESCO mettra à disposition une expertise spécialisée pour réaliser une évaluation des besoins à travers des consultations sur place et identifier les objectifs et les activités principales des futurs projets, en étroite collaboration avec les institutions nationales chargées de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Les huit propositions de projet seront ensuite soumis au donateur au fur et à mesure que chacun des projets sera formalisé.
Renforcement des capacités du Suriname et des îles néerlandaises des Caraïbes pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel05-2014/31-12-2018, Curaçao - Aruba - Suriname - Saint-Martin (partie néerlandaise)
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Le projet avait pour objectif de renforcer les capacités nationales du Suriname et des îles néerlandaises des Caraïbes afin d’assurer une sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel (PCI). Dans le cadre de ce projet, une consultation nationale sur le statut du PCI s’est tenue à Bonaire, Curaçao, Saba, Saint-Eustache, Saint-Martin et au Suriname, ainsi que des ateliers de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003, la réalisation d’inventaires du PCI avec la participation des communautés, les plans de sauvegarde, l’assistance internationale et les processus d’inscription. Des exercices d’inventaire sur le terrain ont par ailleurs été menés à Aruba, Bonaire, Saint-Eustache, Saint-Martin et au Suriname.
Un noyau dur composé de représentants des autorités nationales, de la société civile et des communautés concernées pour chacune des sept îles a ainsi pu être formé et bénéficie maintenant de connaissances et compétences approfondies liées à la Convention et à la sauvegarde du PCI. De même, les territoires ont reconnu l’importance de développer les inventaires nationaux de leur PCI et ont pris des mesures en ce sens. En outre, au cours du projet, le Curaçao a co-ratifié la Convention en qualité de territoire semi-autonome du Royaume des Pays-Bas, rejoignant ainsi Saint-Martin (2015). Le Suriname a aussi commencé les démarches pour ratifier la Convention.
Ce projet a par ailleurs constitué une bonne opportunité d’encourager les relations et la coopération sous-régionales dans le domaine de la sauvegarde du PCI.
Renforcement des capacités locales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel du Guatemala 10-2015/12-2018, Guatemala
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Le projet, a pour objectif de sensibiliser les communautés bénéficiaires sur l´importance du patrimoine culturel immatériel (PCI) et de renforcer les capacités locales pour l´élaboration d´inventaires. Ce projet vise aussi à renforcer les capacités institutionnelles locales et nationales en matière de gestion et de sauvegarde du PCI. Pour se faire, on prévoit des ateliers de formation dans les localités de Quetzaltenango, de Chiquimula et dans la ville de Guatemala, sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de 2003 et sur l´élaboration d´inventaires avec la participation des communautés. De même, un projet pilote sera mis en place pour l´élaboration d´un inventaire à Quetzaltenango et un autre à Chiquimula. Les bénéficiaires de ce projet seront principalement les fonctionnaires publics locaux et nationaux, ainsi que les représentants des communautés dépositaires de PCI de ces localités.
Sauvegarde d’urgence du patrimoine culturel syrien03-2014/03-2018, République arabe syrienne
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Le projet, financé par l’Union européenne, vise à apporter une réponse opérationnelle qui permette de mettre un terme à la perte de patrimoine culturel en Syrie et de préparer les actions post-conflit prioritaires. Les principaux objectifs du projet sont de contribuer à la restauration de la cohésion sociale, de la stabilité, et d’un développement durable par le biais de la protection et la sauvegarde du patrimoine culturel, compte tenu des destructions et pertes continues et croissantes du patrimoine culturel de la Syrie d’une richesse unique.
Ce projet est un premier pas vers un constat et une évaluation des pertes du patrimoine culturel, une réduction de sa destruction, et la préparation d’actions post-conflit prioritaires et permettre d’envisager des actions à moyen et long terme pour rétablir un quotidien normal et une cohésion sociale dans le pays.
La composante du projet liée au patrimoine culturel immatériel comprend la formation des acteurs nationaux sur les concepts et mécanismes clés de la Convention de 2003 et la formation spécialisée des acteurs nationaux, des organisations de la société civile et des communautés concernant l’élaboration d’inventaires dans le domaine du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés.
Plus d’informations sur le projet est disponible sur la page du Bureau de l’UNESCO à Beyrouth.
Renforcement des capacités de l’Érythrée pour mettre en œuvre la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel21-03-2014/31-12-2017, Érythrée
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Ce projet a pour objectif de renforcer les capacités nationales de l’Érythrée pour la sauvegarde de leur patrimoine culturel immatériel grâce à la mise en œuvre efficace de la Convention de 2003. Il vise à fournir un niveau critique d’expérience et des connaissances aussi bien aux institutions gouvernementales qu’à la société civile et à des communautés sélectionnées afin que le pays bénéficie d’un cadre approprié et durable pour sauvegarder son patrimoine immatériel et mettre en œuvre la Convention à long terme.
Spécifiquement, ce projet portera une attention particulière au caractère satisfaisant de l’environnement institutionnel, aux capacités et aux stratégies pour élaborer ou réviser les cadres politiques et législatifs et renforcer les compétences nationales dans le domaine de la culture.
Concrètement, ce projet aura plusieurs résultats : la révision des cadres politiques et légaux, la création d’une réserve de personnes ressources opérationnelles en Érythrée pour mettre en œuvre de manière efficace la Convention de 2003 et l’inventaire du patrimoine culturel immatériel avec la participation d’au moins une communauté.
Renforcement des capacités nationales pour une sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel en Asie et dans le Pacifique04-2015/31-10-2017, Fidji - République démocratique populaire lao - Mongolie - Samoa - Sri Lanka
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With the successful completion of Phase I, thanks to the continued generous contribution of the Government of Japan, it was possible to implement the second phase of the regional programme for safeguarding intangible cultural heritage through the strengthening of national capacities from April 2015 to October 2017. The principal aims of the second phase were the following:
- Reinforce the human and institutional capacities for the development of sustainable safeguarding measures, building on the inventorying work carried out under the initial phase of the regional capacity building programme. To that extent, activities focused in particular on safeguarding plans – with workshops based on a new module, and policy development – through the set-up of policy missions and consultations at the national level.
- Initiate a comprehensive first phase project to strengthen national capacities in Fiji, a new beneficiary country;
- Provide individualized support to the development of policy and legal frameworks for safeguarding intangible cultural heritage in the beneficiary countries
Rapport de finalisation du projet 2011-2017 :
anglais© Nepali Ministry of Culture/S.Dangol - UNESCO 2017
Over the 30-month implementation period, the programme has completed the planned activities and accomplished its objectives. Institutional partners have been identified in each of the beneficiary countries, with the close cooperation of UNESCO Field Offices. Almost 300 stakeholders in different domains were trained and their capacity was strengthened by a series of 11 workshop and different activities, including 4 pilot field inventorying in Fiji, Lao PDR, Mongolia and Samoa. Experts facilitated the planned workshops using the updated content and guidance available on the online repository of materials. The newly-developed module on Developing Safeguarding Plans for intangible cultural heritage was tested in all five countries using different formats and case studies. Participants had the opportunity to strengthen their community-based inventory skills during the pilot fieldwork. Policy missions, which is a new component experimented during Phase II, were conducted in Lao PDR, Samoa and Sri Lanka, resulting in a revised cultural policy for Samoa and new strategic directions for Lao PDR and Sri Lanka. In general, the workshops and activities were well received, despite difficulties inherent to the time gap between the 2 phases and related staff turnover in the participating countries.
A final report covering both phases of the Project financed by the Government of Japan (2011-2017) is available in English in this same webpage.
Appui à la mise en œuvre effective de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Nigéria07-2014/07-2017, Nigéria
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Une évaluation des besoins effectuée en 2011 a démontré que les capacités nationales du Nigéria ne sont pas encore adaptées pour atteindre le niveau d’exigence requis par la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Le projet a pour but d’établir une base solide afin de soutenir le Nigéria dans ses efforts de sauvegarde du patrimoine vivant présent dans le pays.
Grâce au soutien financier du Japon, les autorités nationales seront assistées par l’UNESCO pendant une période de trois ans afin de créer un environnement institutionnel et juridique efficace pour la sauvegarde du riche patrimoine culturel immatériel existant au Nigéria. Le projet permettra en outre le renforcement des capacités nationales requises pour participer au mécanisme intergouvernemental de la Convention de 2003. Les activités principales suivantes seront notamment mises en œuvre :
- (a) la révision des politiques culturelles et des dispositions juridiques,
- (b) la formation sur l’élaboration des inventaires avec des communautés des États du Niger, Oyo and Cross River, et
- (c) la formation sur l’élaboration des candidatures pour inscription sur les Listes de la Convention de 2003 et des demandes d’assistance internationale.
Planifié dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO pour le renforcement des capacités, ce projet est mis en œuvre par le bureau régional multisectoriel de l’UNESCO pour l’Afrique de l’Ouest à Abuja, en coopération avec le Ministère fédéral nigérian pour le tourisme, la culture et l’orientation nationale.
Brochure de présentation du projet : anglais
Renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Equateur02-2015/06-2017, Équateur
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L’Équateur a ratifié la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en 2008. Cependant, malgré d’importants efforts du pays pour sauvegarder efficacement son patrimoine culturel immatériel et un environnement institutionnel favorable à l’intégration de la culture aux politiques publiques, comme dans la plupart des pays, la viabilité du patrimoine culturel immatériel présent en Équateur fait face à de sérieuses menaces de nature sociales et démographiques. Il reste encore du travail pour renforcer les capacités des politiques publiques existantes en matière de développement durable, d’égalité des genres, de réduction de la pauvreté, de cohésion sociale et d’éducation pour contribuer efficacement à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Le pays a mis en place un système d’information nationale pour consigner les éléments du patrimoine culturel immatériel et des directives pour la sauvegarde de ces éléments. Toutefois, la participation des communautés pour dresser ces inventaires, élaborer et mettre en place des plans de sauvegarde ou des politiques publiques en lien avec la sauvegarde et les inventaires n’est pas systématique. La participation est encore moins importante chez les communautés dont les droits sont en danger.
Les activités proposées dans le cadre du présent projet visent à fournir aux institutions locales et nationales ainsi qu’aux dépositaires du patrimoine culturel immatériel des connaissances et des outils pour la sauvegarde de ce patrimoine en mettant l’accent sur son identification et sa définition. Cela contribuera à intégrer ces techniques aux approches d’inventaires existantes et aux principes publics de la Convention de 2003 pertinents, en particulier en matière de participation des communautés. Ce projet viendra donc compléter le travail déjà réalisé par le gouvernement équatorien tout en contribuant à appliquer les cadres politiques et légaux qui régissent le patrimoine culturel immatériel au niveau national, régional et local. Ce projet sera mené par le ministère de la Culture et du Patrimoine en collaboration avec l’Institut national du patrimoine culturel et les municipalités.
Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers le renforcement des capacités nationales en Niger09-2013/12-2016, Niger
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Mené en étroite collaboration avec la Direction du patrimoine culturel immatériel du Ministère de la communication, des nouvelles technologies de l’information et de la culture, le présent projet avait pour but d’accompagner le Niger dans le processus déjà entamé d’appropriation des concepts et des outils offerts par la Convention afin de créer un environnement institutionnel et social favorable à une sauvegarde efficace et durable du patrimoine culturel immatériel. L’action de l’UNESCO s’est concentrée sur trois thématiques clés de la Convention autour desquelles des modules de formation ont déjà été développés : (i) la mise en œuvre la Convention au niveau national ; (ii) l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés; et iii) l’élaboration de candidatures pour les Listes du patrimoine culturel immatériel ainsi que de demandes d’assistance internationale. Bien que les ateliers et les activités de formation soient les repères les plus visibles du projet, ils sont intégrés dans un processus complet de coopération internationale et d’assistance technique.
Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel dans les pays PALOP sélectionnés01-2012/05-2016, Angola - Cabo Verde - Guinée-Bissau - Mozambique - Sao Tomé-et-Principe
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L’objectif de ce projet est de renforcer les capacités nationales de ces pays lusophones à sauvegarder le patrimoine culturel immatériel. Il porte une attention toute particulière au développement de l’expérience et des compétences jusqu’à un niveau défini, que ce soit pour les institutions gouvernementales, la société civile ou les communautés choisies. Un autre objectif du projet est de préparer un mécanisme de coopération régional entre les pays lusophones d’Afrique qui respectent l’esprit de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Concrètement, le projet vise entre autres à (1) consolider les capacités à réaliser des inventaires en s’appuyant sur les communautés (Angola, Mozambique, Sao Tomé-et-Principe), (2) réaliser une évaluation initiale des besoins, examiner les cadres législatifs ou politiques, mettre en place un groupe de personnes ressources ayant des connaissances sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 (au Cabo Verde, avec la participation de la Guinée-Bissau pour les composants sélectionnés), (3) établir une feuille de route pour la mise en place d’un mécanisme de coopération régionale, notamment sur la formation des formateurs et (4) traduire les supports de formation en portugais.
Regarder le documentaire produit fin 2015 sur ce project
Renforcement des capacités nationales pour une sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel en Asie centrale01-2012/01-2016, Kazakhstan - Kirghizistan - Ouzbékistan - Tadjikistan
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Entrepris entre 2012 et 2016, l’objectif de ce projet était de renforcer les capacités de sauvegarde au Kazakhstan, au Kirghizistan, au Tadjikistan et en Ouzbékistan grâce à la mise en œuvre efficace de la Convention et ainsi de contribuer au développement durable. Cela a permis une meilleure visibilité du patrimoine culturel immatériel et une sensibilisation à sa signification et la place qu’il occupe dans les sociétés. En encourageant le respect pour le patrimoine des autres, ce projet a contribué à favoriser la diversité et le dialogue interculturel ainsi qu’une culture de la paix dans ces quatre pays.
La série suivante d’ateliers de formation a été délivrée dans les quatre pays bénéficiaires :
- Mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO au niveau national
- Inventaire avec la participation des communautés
- Préparation des candidatures pour la Liste de sauvegarde urgente
Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des communautés Kallawaya02-2014/12-2015, Bolivie (État plurinational de)
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Les Kallawayas, renommés pour leur compréhension du monde botanique et minéral, pratiquent des techniques médicales et des rituels de guérison extrêmement représentatifs de leur système de croyances. Leur connaissance des plantes médicinales ne cesse de progresser, car les guérisseurs kallawayas et leurs apprentis sont constamment à la recherche de nouvelles méthodes de guérison dans les écosystèmes aussi divers que variés de la région andine.
Le plan d’action pour la sauvegarde vise à garantir, grâce à la transmission intergénérationnelle, la préservation et la transmission des connaissances et du savoir de la culture kallawaya, dont l’activité est liée à la médecine curative ancestrale de la culture des Andes. Les principaux objectifs du projet de sauvegarde :
- favoriser la préservation et la sauvegarde de la culture kallawaya aux niveaux local, régional et national ;
- développer les techniques et la transmission de la médecine traditionnelle ;
- renforcer les connaissances en matière de guérison par des médecines naturelles ;
- créer les conditions nécessaires pour assurer la transmission du savoir traditionnel ;
- promouvoir la culture kallawaya comme partie intégrante de l’identité multiculturelle de la Bolivie ;
- favoriser la pratique de la médecine traditionnelle dans les hôpitaux des municipalités de la province de Bautista Saavedra.
Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel du Belize, la Jamaïque et Trinité-et-Tobago à travers le renforcement de leurs capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel06-2012/12-2015, Belize - Jamaïque - Trinité-et-Tobago
Renforcement des capacités du Myanmar pour mettre en œuvre la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel06-2013/05-2015, Myanmar
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Ce projet vise à renforcer les capacités nationales du Myanmar, à la fois au sein des institutions gouvernementales et de la société civile, pour donner au Myanmar un cadre viable permettant la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) sur le long terme.
Pour cela, le projet met en œuvre une stratégie intégrée de renforcement des capacités, notamment par une série d’ateliers et d’activités préparés en amont et conçus pour répondre aux besoins identifiés du Myanmar Le projet traite des concepts fondamentaux de la Convention de 2003 et vise à l’acquisition de connaissances solides des mécanismes de coopération internationale mis en œuvre par la Convention de 2003. D’après l’évaluation des besoins, les thèmes à traiter sont entre autres la ratification de la Convention de 2003, sa mise en œuvre au niveau national et la réalisation d’inventaires du patrimoine culturel immatériel en s’appuyant sur les communautés. Les ateliers de renforcement des capacités seront suivis de deux autres ateliers : le premier cherchera des sources de financement supplémentaires pour la sauvegarde à long terme du patrimoine culturel immatériel et présentera les mécanismes qui permettront au Myanmar de bénéficier de l’assistance internationale, une fois la Convention ratifiée. Il y sera également expliqué les objectifs et exigences relatifs à la soumission des candidatures pour l’inscription aux Listes de la Convention. Le second et dernier atelier évaluera l’efficacité et l’impact du programme de renforcement des capacités, et sera l’occasion de rédiger une feuille de route pour assurer une sauvegarde sur le long terme du patrimoine culturel immatériel.
Le Myanmar bénéficie également d’autres interventions conçues spécialement pour répondre à ses besoins spécifiques, allant de l’expérience pratique sur la réalisation d’inventaires en s’appuyant sur les communautés à la consultation sur de possibles réformes politiques ou légales, et l’assistance technique à l’organe de gestion du patrimoine culturel immatériel du Myanmar.
Pour aider à la mise en œuvre du projet, deux experts ont été mobilisés pour faciliter les ateliers de formation, donner au besoin des conseils d’ordre technique et politique et collaborer avec les partenaires nationaux quand nécessaire. Ces experts ont été formés à l’utilisation des kits de formation réalisés par l’UNESCO afin de renforcer les capacités nationales dans les pays bénéficiaires.
Renforcement de la coopération sous-régionale et des capacités nationales dans sept pays du Sud de l’Afrique pour la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.12-2013/03-2015, Botswana - Lesotho - Malawi - Namibie - Eswatini - Zambie - Zimbabwe
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Les bénéficiaires de ce projet sont les autorités nationales responsables de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et les communautés sélectionnées du Botswana, du Lesotho, du Malawi, de la Namibie, du Swaziland, de la Zambie et du Zimbabwe.
Premièrement, le projet vise à poser les bases d’une plateforme de coopération sous-régionale pour soutenir ces pays dans leurs efforts de sauvegarde du patrimoine vivant présent sur leurs territoires. Ces objectifs seront remplis en mettant en place un groupe directeur composé de membres de chaque pays bénéficiaire, de facilitateurs de l’UNESCO et de spécialistes en programmes culturels.
Deuxièmement, le projet vise à renforcer les cadres politiques, légaux et institutionnels des pays impliqués. Au Lesotho, en Namibie et au Swaziland, des consultants nationaux seront engagés pour analyser l’adéquation des cadres politiques et légaux existants avec la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et recommander les étapes suivantes à mettre en œuvre pour améliorer la situation. Au Botswana, au Malawi et en Zambie, les Comités nationaux du patrimoine culturel immatériel organiseront des réunions ou toute autre activité jugée nécessaire pour réaliser le suivi des rapports des études précédentes.
Troisièmement, plusieurs formateurs nationaux (facilitateurs) seront formés pour ensuite faciliter les ateliers de formation et fournir des conseils sur la politique à long terme dans leurs pays respectifs, en utilisant et en adaptant le programme de formation mis au point par l’UNESCO.
Needs assessment in Albania11-2014/03-2015, Albanie
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The needs assessment aimed to explore the legislative and policy documents in the sphere of ICH in Albania, to analyze the institutional and administrative framework for the implementation of UNESCO’s 2003 Convention, and to study the situation of awareness-raising activities, inventorying procedures, and educational and training programs on ICH in the country. The goal was to outline the major challenges encountered in the implementation of the 2003 Convention on the national level, to identify the main needs in the field of ICH safeguarding, and to propose recommendations for improvement, with a special attention to aspects of urgency, sustainability, and long-terms effects. In accordance with the formulated expectations, the needs assessment pursued the development of a multi-year action plan, which includes practical proposals for capacity-building and for enhancing the safeguarding policies in the country. The current needs assessment will enable to tailor the efforts of UNESCO within the framework of its global capacity-building strategy for the safeguarding of the intangible cultural heritage.
Renforcement des capacités nationales pour une sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel à Cuba, en République dominicaine et en Haïti06-2012/12-2014, Cuba - République dominicaine - Haïti
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L’objectif de ce projet est double : il vise à renforcer les capacités nationales en matière de patrimoine culturel immatériel dans chacun des pays bénéficiaires d’une part en organisant une série d’atelier de formation et d’autre part, en dispensant des conseils en matière de politique pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel aux institutions gouvernementales et non gouvernementales.
Au travers des ateliers sur la mise en œuvre de la Convention et la réalisation d’inventaires, la République dominicaine et, plus particulièrement, Cuba ont bénéficié de conseils, d’une assistance technique et de soutien pour leur travail concernant le patrimoine culturel immatériel et les projets durables qui contribuent à la sauvegarde des expressions culturelles immatérielles. Aruba a quant à elle reçu un soutien et des conseils en matière de politique à plusieurs occasions et plus récemment, Haïti a bénéficié d’une mission de soutien en matière de politique. A la suite des ateliers, des travaux pratiques ont été organisés jusqu’à présent en République dominicaine et à Cuba dans une communauté sélectionnée pour permettre aux participants d’acquérir une véritable expérience concrète.
Renforcement des capacités nationales pour une sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel en Amérique centrale08-2012/03-2014, El Salvador - Guatemala - Honduras - Nicaragua
Renforcement des capacités nationales pour une sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel de l’Argentine, du Paraguay et de l’Uruguay06-2012/02-2014, Argentine - Paraguay - Uruguay
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C’était l’une des premières fois qu’un projet de la sorte a été mis en place en Amérique latine. L’objectif était d’aider l’Argentine, en priorité, mais aussi le Paraguay et l’Uruguay, à sauvegarder leur patrimoine culturel immatériel en leur permettant d’élargir et de solidifier leurs connaissances de la Convention de 2003 et de ses mécanismes.
Des ateliers concernant la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ont eu lieu au niveau national et ils ont réuni des délégués du gouvernement et de la société civile argentine et uruguayenne (des membres de communautés, des ONG et des universitaires) ainsi qu’un représentant de la société civile paraguayenne. En outre, une plateforme virtuelle a été créée afin de permettre aux participants à l’atelier de s’informer, d’échanger, de consulter, de réfléchir, de trouver un soutien et de se former.
Une autre dimension du projet se concentrait sur l’inventaire avec la participation des communautés dans l’esprit de la Convention de 2003. Deux formations ont été organisées à Buenos Aires (Argentine) et une troisième à Asunción (Paraguay). Ces sessions avaient pour objectif de fournir aux participants des connaissances et techniques fondamentales pour concevoir et faciliter un processus d’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés et adapté à leurs circonstances particulières.
Safeguarding the Intangible Cultural Heritage for the Promotion of Cultural Identity and Community Resilience in Timor-Leste05-2013/09-2013, Timor-Leste