Enfants en danse mixte d'ahidous, véritable symbole de la transmission de ce type d'art de spectacle aux
générations futures
© Conseil municipal de Sefrou, 2010
2 avril 2014

Suite à des ateliers de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Mauritanie et en Tunisie c’est maintenant le tour du Maroc. Du 26 au 30 mars, Agadir a accueilli une première rencontre nationale dans le cadre du projet de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine vivant mis en œuvre dans les trois pays grâce à la généreuse contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.

Organisé par le Bureau de l’UNESCO à Rabat, cet atelier a compté avec la présence non seulement des agents du Ministère de la culture et des représentants des communautés locales concernées, mais aussi avec la représentation du Ministère de l’artisanat et des autorités locales.

L’intégration du patrimoine vivant dans des politiques multisectorielles ainsi que la bonne compréhension des concepts clés de la Convention du patrimoine immatériel auprès des différentes parties prenantes sont essentielles pour sa mise en œuvre efficace. Ces questions ont été abordées dans cet atelier de formation qui a été animé par M. Ahmed Skounti (Maroc) et M. Mohamed Ould Mohamed Lemine Beijeu (Mauritanie), facilitateurs du réseau de l’UNESCO dans le domaine du patrimoine immatériel.

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