14 janvier 1985 - 18 janvier 1985

Événement

Comité d'experts gouvernementaux sur la préservation du folklore ; 2ème ; Paris ; 1985

Date
14 janvier 1985 - 18 janvier 1985
Localisation(s)
Paris
Pays
France
Type
Conférence intergouvernementale
Ajouter au calendrierCe deuxième Comité d’experts gouvernementaux a été convoqué par le Directeur général en application de la décision 5.6.2 adoptée par le Conseil exécutif à sa 116e session, décision dont la Conférence générale a pris note lors de sa vingt-deuxième session. Cette réunion avait pour objet de procéder à une étude de fond de l’étendue et de la portée que pourrait avoir une réglementation internationale générale concernant la sauvegarde du folklore. Les représentants de 41 États membres ont participé aux travaux, les experts de six États membres et de deux États non membres ont assisté 2 la réunion en qualité d’observateurs.

Lors de cette réunion, la nécessité d’identifier, de conserver et de protéger contre les dangers de l’oubli, de la déformation, de la dénaturation, de la caricature et du pillage le folklore, qui fait partie intégrante de l’héritage, voire de l’identité culturelle des différents peuples, a été reconnue, par une large majorité. Plusieurs délégations ont souligné l’intérêt de la question de la préservation du folklore et l’importance qu’elle représente pour certains États.

Le risque de perte et de disparition qui pèse sur certains éléments du folklore, face notamment aux technologies modernes de diffusion qui favorisent l’importation de cultures étrangères remplaçant ainsi les traditions culturelles locales et favorisant l’hégémonie des cultures importées, a été plusieurs fois mentionné.

La grande majorité des délégations a insisté sur la nécessité d’un instrument international d’un genre ou d’un autre dans le domaine de la préservation du folklore. Toutefois, quelques délégations ont pour leur part exprimé des réserves quant à l’opportunité d’adopter un instrument juridique contraignant. Il a été indiqué que s’il était prématuré d’adopter un instrument international, l’objectif final était de parvenir à un tel résultat. Il a été toutefois souligné qu’il fallait surtout s’attacher à l’instauration de mesures au niveau national et non à l’échelle internationale.

Documents

&location=Paris' target='_blank'>GoogleCe deuxième Comité d’experts gouvernementaux a été convoqué par le Directeur général en application de la décision 5.6.2 adoptée par le Conseil exécutif à sa 116e session, décision dont la Conférence générale a pris note lors de sa vingt-deuxième session. Cette réunion avait pour objet de procéder à une étude de fond de l’étendue et de la portée que pourrait avoir une réglementation internationale générale concernant la sauvegarde du folklore. Les représentants de 41 États membres ont participé aux travaux, les experts de six États membres et de deux États non membres ont assisté 2 la réunion en qualité d’observateurs.

Lors de cette réunion, la nécessité d’identifier, de conserver et de protéger contre les dangers de l’oubli, de la déformation, de la dénaturation, de la caricature et du pillage le folklore, qui fait partie intégrante de l’héritage, voire de l’identité culturelle des différents peuples, a été reconnue, par une large majorité. Plusieurs délégations ont souligné l’intérêt de la question de la préservation du folklore et l’importance qu’elle représente pour certains États.

Le risque de perte et de disparition qui pèse sur certains éléments du folklore, face notamment aux technologies modernes de diffusion qui favorisent l’importation de cultures étrangères remplaçant ainsi les traditions culturelles locales et favorisant l’hégémonie des cultures importées, a été plusieurs fois mentionné.

La grande majorité des délégations a insisté sur la nécessité d’un instrument international d’un genre ou d’un autre dans le domaine de la préservation du folklore. Toutefois, quelques délégations ont pour leur part exprimé des réserves quant à l’opportunité d’adopter un instrument juridique contraignant. Il a été indiqué que s’il était prématuré d’adopter un instrument international, l’objectif final était de parvenir à un tel résultat. Il a été toutefois souligné qu’il fallait surtout s’attacher à l’instauration de mesures au niveau national et non à l’échelle internationale.

Documents

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Ce deuxième Comité d’experts gouvernementaux a été convoqué par le Directeur général en application de la décision 5.6.2 adoptée par le Conseil exécutif à sa 116e session, décision dont la Conférence générale a pris note lors de sa vingt-deuxième session. Cette réunion avait pour objet de procéder à une étude de fond de l’étendue et de la portée que pourrait avoir une réglementation internationale générale concernant la sauvegarde du folklore. Les représentants de 41 États membres ont participé aux travaux, les experts de six États membres et de deux États non membres ont assisté 2 la réunion en qualité d’observateurs.

Lors de cette réunion, la nécessité d’identifier, de conserver et de protéger contre les dangers de l’oubli, de la déformation, de la dénaturation, de la caricature et du pillage le folklore, qui fait partie intégrante de l’héritage, voire de l’identité culturelle des différents peuples, a été reconnue, par une large majorité. Plusieurs délégations ont souligné l’intérêt de la question de la préservation du folklore et l’importance qu’elle représente pour certains États.

Le risque de perte et de disparition qui pèse sur certains éléments du folklore, face notamment aux technologies modernes de diffusion qui favorisent l’importation de cultures étrangères remplaçant ainsi les traditions culturelles locales et favorisant l’hégémonie des cultures importées, a été plusieurs fois mentionné.

La grande majorité des délégations a insisté sur la nécessité d’un instrument international d’un genre ou d’un autre dans le domaine de la préservation du folklore. Toutefois, quelques délégations ont pour leur part exprimé des réserves quant à l’opportunité d’adopter un instrument juridique contraignant. Il a été indiqué que s’il était prématuré d’adopter un instrument international, l’objectif final était de parvenir à un tel résultat. Il a été toutefois souligné qu’il fallait surtout s’attacher à l’instauration de mesures au niveau national et non à l’échelle internationale.

Documents

  • Examen de l’étendue et de la portée que pourrait avoir une réglementation générale concernant la préservation du folklore
    PRS/CLT/TPC/II/3; CPY.85/CONF.201/COL.1: anglais
  • Rapport
    PRS/CLT/TPC/II/5; CPY.85/CONF.201/COL.7: anglais
  • Solutions aux problèmes que soulève la préservation du folklore dégagées par le Comité d’experts gouvernementaux
    PRS/CLT/TPC/II/4; CPY.85/CONF.201/COL.5: anglais

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