26 mai 2017 - 28 mai 2017

Événement

Atelier de formation sur la préparation de demandes d'assistance internationale

Date
26 mai 2017 - 28 mai 2017
Localisation(s)
Béni Mellal
Pays
Maroc
Type
Atelier de renforcement des capacités
Ajouter au calendrierL’atelier de formation a été organisé du 26 au 28 mai 2017 à Béni Mellal avec la participation de 23 personnes. Comme lors de l’atelier de Tabarka (Tunisie), il a fallu ajouter une présentation introductive sur la Convention et ses concepts-clés pour permettre aux participants qui n’avaient pas pris part aux ateliers précédents de prendre connaissance des grandes lignes de cet instrument normatif et des exigences de sa mise en œuvre. En raison du nombre élevé de ces derniers, des questions et des clarifications ont été posées, surtout par les universitaires et les membres d’ONG. Par contre, ceux qui ont participé à tout ou partie des quatre ateliers (IMP, INV, NOM et AI) ont pu avoir une idée partielle ou globale, selon le cas, du processus de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Le grand défi qu’ils ont souligné est relatif au processus participatif de la mise en œuvre. On peut dire que les participants ont acquis (i) une connaissance de la Convention de 2003, (ii) une vue d’ensemble d’une demande d’assistance internationale ratée, et (iii) la méthodologie d’évaluation de demandes d’assistance internationale. Tous ont bien compris qu’une bonne demande s’exprime dans un langage direct et simple, que la cohérence doit présider à toutes ses sections, que l’adéquation entre activités/budget/calendrier doit être assurée et que, par-dessus tout, elle doit avoir été préparée avec la participation du plus grand nombre de parties prenantes, au premier rang desquelles se trouvent les communautés, les groupes et les individus concernés.

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L’atelier de formation a été organisé du 26 au 28 mai 2017 à Béni Mellal avec la participation de 23 personnes. Comme lors de l’atelier de Tabarka (Tunisie), il a fallu ajouter une présentation introductive sur la Convention et ses concepts-clés pour permettre aux participants qui n’avaient pas pris part aux ateliers précédents de prendre connaissance des grandes lignes de cet instrument normatif et des exigences de sa mise en œuvre. En raison du nombre élevé de ces derniers, des questions et des clarifications ont été posées, surtout par les universitaires et les membres d’ONG. Par contre, ceux qui ont participé à tout ou partie des quatre ateliers (IMP, INV, NOM et AI) ont pu avoir une idée partielle ou globale, selon le cas, du processus de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Le grand défi qu’ils ont souligné est relatif au processus participatif de la mise en œuvre. On peut dire que les participants ont acquis (i) une connaissance de la Convention de 2003, (ii) une vue d’ensemble d’une demande d’assistance internationale ratée, et (iii) la méthodologie d’évaluation de demandes d’assistance internationale. Tous ont bien compris qu’une bonne demande s’exprime dans un langage direct et simple, que la cohérence doit présider à toutes ses sections, que l’adéquation entre activités/budget/calendrier doit être assurée et que, par-dessus tout, elle doit avoir été préparée avec la participation du plus grand nombre de parties prenantes, au premier rang desquelles se trouvent les communautés, les groupes et les individus concernés.

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L’atelier de formation a été organisé du 26 au 28 mai 2017 à Béni Mellal avec la participation de 23 personnes. Comme lors de l’atelier de Tabarka (Tunisie), il a fallu ajouter une présentation introductive sur la Convention et ses concepts-clés pour permettre aux participants qui n’avaient pas pris part aux ateliers précédents de prendre connaissance des grandes lignes de cet instrument normatif et des exigences de sa mise en œuvre. En raison du nombre élevé de ces derniers, des questions et des clarifications ont été posées, surtout par les universitaires et les membres d’ONG. Par contre, ceux qui ont participé à tout ou partie des quatre ateliers (IMP, INV, NOM et AI) ont pu avoir une idée partielle ou globale, selon le cas, du processus de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Le grand défi qu’ils ont souligné est relatif au processus participatif de la mise en œuvre. On peut dire que les participants ont acquis (i) une connaissance de la Convention de 2003, (ii) une vue d’ensemble d’une demande d’assistance internationale ratée, et (iii) la méthodologie d’évaluation de demandes d’assistance internationale. Tous ont bien compris qu’une bonne demande s’exprime dans un langage direct et simple, que la cohérence doit présider à toutes ses sections, que l’adéquation entre activités/budget/calendrier doit être assurée et que, par-dessus tout, elle doit avoir été préparée avec la participation du plus grand nombre de parties prenantes, au premier rang desquelles se trouvent les communautés, les groupes et les individus concernés.

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