16 mai 2016 - 19 mai 2016
Atelier sur l'élaboration d'outils de politiques publiques pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
Cet atelier fait partie d’un projet de deux ans, soutenu par le Gouvernement du Japon, conçu pour renforcer les capacités humaines et institutionnelles en Equateur en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Il s’inscrit dans la continuité des activités d’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés organisées en 2015 dans cette localité. La sensibilisation et les synergies qui y ont été générées procureront à ce nouvel espace participatif une base pour discuter de l’impact et opportunités des politiques publiques pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tout en adoptant une perspective sensible aux questions de genres et droits de l’homme et dans le contexte du plan de développement équatorien du “Bien-Vivre”.
&location=Riobamba' target='_blank'>GoogleÀ la suite de l’atelier de Loja, Le Ministère de la Culture et du Patrimoine, l’Institut National du Patrimoine Culturel de l’Equateur (INPC) et le Bureau de l’UNESCO à Quito organisent à Riobamba le second d’une série de trois ateliers sur l’élaboration d’outils de politique publique pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier, qui aura lieu du 16 au 19 mai 2016, rassemblera environ 25 participants, notamment des bureaux régionaux du Ministère de la Culture et du Patrimoine ainsi que de l’INPC, des représentants du Secrétariat National de la Planification et du Développement et des membres de communautés. Face aux défis posés par la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, les participants travailleront sur des mécanismes de révision et adéquation des plans de développement, dont la mise en œuvre incombe aux gouvernements locaux en Equateur.Cet atelier fait partie d’un projet de deux ans, soutenu par le Gouvernement du Japon, conçu pour renforcer les capacités humaines et institutionnelles en Equateur en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Il s’inscrit dans la continuité des activités d’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés organisées en 2015 dans cette localité. La sensibilisation et les synergies qui y ont été générées procureront à ce nouvel espace participatif une base pour discuter de l’impact et opportunités des politiques publiques pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tout en adoptant une perspective sensible aux questions de genres et droits de l’homme et dans le contexte du plan de développement équatorien du “Bien-Vivre”.
&location=Riobamba' target='_blank'>OutlookÀ la suite de l’atelier de Loja, Le Ministère de la Culture et du Patrimoine, l’Institut National du Patrimoine Culturel de l’Equateur (INPC) et le Bureau de l’UNESCO à Quito organisent à Riobamba le second d’une série de trois ateliers sur l’élaboration d’outils de politique publique pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier, qui aura lieu du 16 au 19 mai 2016, rassemblera environ 25 participants, notamment des bureaux régionaux du Ministère de la Culture et du Patrimoine ainsi que de l’INPC, des représentants du Secrétariat National de la Planification et du Développement et des membres de communautés. Face aux défis posés par la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, les participants travailleront sur des mécanismes de révision et adéquation des plans de développement, dont la mise en œuvre incombe aux gouvernements locaux en Equateur.
Cet atelier fait partie d’un projet de deux ans, soutenu par le Gouvernement du Japon, conçu pour renforcer les capacités humaines et institutionnelles en Equateur en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Il s’inscrit dans la continuité des activités d’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés organisées en 2015 dans cette localité. La sensibilisation et les synergies qui y ont été générées procureront à ce nouvel espace participatif une base pour discuter de l’impact et opportunités des politiques publiques pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tout en adoptant une perspective sensible aux questions de genres et droits de l’homme et dans le contexte du plan de développement équatorien du “Bien-Vivre”.