La réunion sur les critères pour l’inscription d’éléments du patrimoine immatériel sur les Listes établies par la Convention de 2003 (Liste représentative et Liste nécessitant une sauvegarde urgente) a été suivie par des experts venant de 15 États membres et par des observateurs de 30 autres États membres.
Le rapport résume les débats de la réunion et présente les critères de sélection tels que recommandés en conclusion de la réunion. Ils concernaient en particulier:
la définition du patrimoine immatériel dans la Convention,
la nécessité de la participation des communautés dans l’identification et le processus de sauvegarde,
Le but de la réunion était d’étudier diverses méthodologies d’inventoriage et de débattre des aspects à prendre en compte pour préparer la mise en oeuvre de la Convention de 2003. Les caractéristiques de divers systèmes en cours d’élaboration ou déjà en place ont été étudiées et comparées, de même que les différentes approches et expériences des États membres, régions et disciplines. Les débats et les conclusions de la réunion constitueront une contribution substantielle à l’élaboration de manuels thématiques sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Les experts ont participé à la réunion à titre personnel : sauf indication contraire explicite, ils ne représentaient pas les positions officielles de leurs pays.
Les 30 experts participants avaient été sélectionnés parmi des chercheurs, des représentants de communautés gardiennes de traditions, des fonctionnaires travaillant dans les administrations locales et nationales, ainsi que des ONG pertinentes. La plupart venaient de pays qui avaient déjà une certaine expérience de l’inventoriage du patrimoine culturel immatériel.
L’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) avait également été invitée, ainsi que des observateurs d’États membres de l’UNESCO, en particulier ceux qui avaient déjà ratifié la Convention ou qui avaient manifesté un intérêt particulier pour les programmes de l’UNESCO dans le domaine du patrimoine culturel immatériel. Une cinquantaine d’observateurs ont assisté à la totalité ou à une partie de la réunion. Il y a eu quatre sessions plénières, introduites chacune par un bref exposé général.
Le but de la réunion était d’étudier diverses méthodologies d’inventoriage et de débattre des aspects à prendre en compte pour préparer la mise en oeuvre de la Convention de 2003. Les caractéristiques de divers systèmes en cours d’élaboration ou déjà en place ont été étudiées et comparées, de même que les différentes approches et expériences des États membres, régions et disciplines. Les débats et les conclusions de la réunion constitueront une contribution substantielle à l’élaboration de manuels thématiques sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Les experts ont participé à la réunion à titre personnel : sauf indication contraire explicite, ils ne représentaient pas les positions officielles de leurs pays.
Les 30 experts participants avaient été sélectionnés parmi des chercheurs, des représentants de communautés gardiennes de traditions, des fonctionnaires travaillant dans les administrations locales et nationales, ainsi que des ONG pertinentes. La plupart venaient de pays qui avaient déjà une certaine expérience de l’inventoriage du patrimoine culturel immatériel.
L’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) avait également été invitée, ainsi que des observateurs d’États membres de l’UNESCO, en particulier ceux qui avaient déjà ratifié la Convention ou qui avaient manifesté un intérêt particulier pour les programmes de l’UNESCO dans le domaine du patrimoine culturel immatériel. Une cinquantaine d’observateurs ont assisté à la totalité ou à une partie de la réunion. Il y a eu quatre sessions plénières, introduites chacune par un bref exposé général.
Le but de cette réunion était de promouvoir la Convention avec comme objectif non seulement sa ratification mais aussi de sa mise en œuvre. Des experts de toute l’Amérique latine ont assisté à la réunion.
Le but de cette réunion était de promouvoir la Convention avec comme objectif non seulement sa ratification mais aussi de sa mise en œuvre. Des experts de toute l’Amérique latine ont assisté à la réunion.
Organisée conjointement avec les autorités algériennes à l’occasion de la visite officielle du Directeur général de l’UNESCO en Algérie, cette sixième réunion régionale concernera une trentaine d’États membres.
Madame Aliyeva, Première Dame d’Azerbaïdjan, ainsi que plusieurs hauts représentants de l’Algérie (dont M. Mohammed Bedjaoui, Président du Conseil constitutionnel) seront présents.
Organisée conjointement avec les autorités algériennes à l’occasion de la visite officielle du Directeur général de l’UNESCO en Algérie, cette sixième réunion régionale concernera une trentaine d’États membres.
Madame Aliyeva, Première Dame d’Azerbaïdjan, ainsi que plusieurs hauts représentants de l’Algérie (dont M. Mohammed Bedjaoui, Président du Conseil constitutionnel) seront présents.
Contact à Rabat : Mohamed Ould Khattar - en coopération avec le Ministère de la culture à Alger.
5 - 6 January 2005
Alger (Algérie)
Le principal objectif de cette réunion était non seulement d’encourager les États membres à ratifier la Convention, mais aussi d’offrir l’opportunité d’échanger des expériences sur la sauvegarde du PCI. Y ont assisté des responsables de politiques publiques culturelles des différents pays représentés.
Le principal objectif de cette réunion était non seulement d’encourager les États membres à ratifier la Convention, mais aussi d’offrir l’opportunité d’échanger des expériences sur la sauvegarde du PCI. Y ont assisté des responsables de politiques publiques culturelles des différents pays représentés.
Le principal objectif de cette réunion était non seulement d’encourager les États membres à ratifier la Convention, mais aussi d’offrir l’opportunité d’échanger des expériences sur la sauvegarde du PCI. Y ont assisté des responsables de politiques publiques culturelles des différents pays représentés.
Le principal objectif de cette réunion était non seulement d’encourager les États membres à ratifier la Convention, mais aussi d’offrir l’opportunité d’échanger des expériences sur la sauvegarde du PCI. Y ont assisté des responsables de politiques publiques culturelles des différents pays représentés.
L’UNESCO et l’Agence japonaise pour la culture ont organisé conjointement une conférence internationale à Nara, au Japon, à l’occasion du 40 ème anniversaire de la Charte de Venise et du 10 ème anniversaire du Document de Nara sur l’authenticité. L’objectif était de lancer un débat mondial sur une approche intégrée en matière de sauvegarde du patrimoine matériel et immatériel.
45 experts ont été invités à discuter des différents thèmes relatifs aux problèmes actuels posés par la gestion du patrimoine. A été adoptée une nouvelle Déclaration sur ladite Approche intégrée.
L’UNESCO et l’Agence japonaise pour la culture ont organisé conjointement une conférence internationale à Nara, au Japon, à l’occasion du 40 ème anniversaire de la Charte de Venise et du 10 ème anniversaire du Document de Nara sur l’authenticité. L’objectif était de lancer un débat mondial sur une approche intégrée en matière de sauvegarde du patrimoine matériel et immatériel.
45 experts ont été invités à discuter des différents thèmes relatifs aux problèmes actuels posés par la gestion du patrimoine. A été adoptée une nouvelle Déclaration sur ladite Approche intégrée.
Le principal objectif de cette réunion était non seulement d’encourager les États membres à ratifier la Convention, mais aussi d’offrir l’opportunité d’échanger des expériences sur la sauvegarde du PCI. Y ont assisté des responsables de politiques publiques culturelles des différents pays représentés.
Le principal objectif de cette réunion était non seulement d’encourager les États membres à ratifier la Convention, mais aussi d’offrir l’opportunité d’échanger des expériences sur la sauvegarde du PCI. Y ont assisté des responsables de politiques publiques culturelles des différents pays représentés.
Following the joint organization of two international conferences “Dialogue of Civilizations” (2001), and “Globalization with a Human Face – Benefitting All” (2003), UNU and UNESCO pursued their exploration of the links between increased global interaction and human development through the organization of a third international conference, “Globalization and Intangible Cultural Heritage – Opportunities, threats and challenges”, held in Tokyo, 26-27 August 2004.
Published report of the Conference (anglais) - contains all elements mentionned below
Table of content:
Following the joint organization of two international conferences “Dialogue of Civilizations” (2001), and “Globalization with a Human Face – Benefitting All” (2003), UNU and UNESCO pursued their exploration of the links between increased global interaction and human development through the organization of a third international conference, “Globalization and Intangible Cultural Heritage – Opportunities, threats and challenges”, held in Tokyo, 26-27 August 2004.
Published report of the Conference (anglais) - contains all elements mentionned below
Table of content:
Réunion pour la préparation d'un manuel sur les pratiques sociales, rituels et événements festifs
8 - 10 July 2004
Paris (France)
Des experts de tout le continent sud-américain ainsi que de Cuba ont participé à cette réunion. Elle avait pour but de promouvoir la Convention non seulement en vue de sa ratification mais également de sa mise en œuvre après son entrée en vigueur prévue trois mois après la trentième ratification.
Des experts de tout le continent sud-américain ainsi que de Cuba ont participé à cette réunion. Elle avait pour but de promouvoir la Convention non seulement en vue de sa ratification mais également de sa mise en œuvre après son entrée en vigueur prévue trois mois après la trentième ratification.
Cette réunion de 2 jours a pour but d’inciter les États membres de l’UNESCO à ratifier la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et à favoriser la mise en œuvre de cet instrument. Elle a été suivie par des représentants de 24 États.
Cette réunion de 2 jours a pour but d’inciter les États membres de l’UNESCO à ratifier la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et à favoriser la mise en œuvre de cet instrument. Elle a été suivie par des représentants de 24 États.
Cette réunion sur les rôles des musées dans la sauvegarde du PCI a étudié en particulier ces 2 questions :
Comment les musées peuvent-ils contribuer à la sauvegarde du PCI, en particulier au niveau des communautés ?
Comment les musées peuvent-ils contribuer à la visibilité de différentes formes du patrimoine vivant, en accord avec les buts de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ?
Cette réunion sur les rôles des musées dans la sauvegarde du PCI a étudié en particulier ces 2 questions :
Comment les musées peuvent-ils contribuer à la sauvegarde du PCI, en particulier au niveau des communautés ?
Comment les musées peuvent-ils contribuer à la visibilité de différentes formes du patrimoine vivant, en accord avec les buts de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ?
La réunion a abordé la problématique d’intégrer les approches par genres dans la sauvegarde du PCI.
Dans quelle mesure le patrimoine culturel immatériel dépend de pratiques et de transmission genrées ? La reconnaissance et l’encouragement des transmissions du PCI par les femmes contribuent-elles au rééquilibrage des pouvoirs homme-femme dans les sociétés contemporaines ? Le concept d’équité des sexes est-il toujours compatible avec la préservation des cultures et des modes de vie traditionnels ?
Une dizaine de participants ont abordé notamment ces questions afin de déterminer des solutions réalistes et sensées dans la perspective de la mise en œuvre de la Convention de 2003.
La réunion a abordé la problématique d’intégrer les approches par genres dans la sauvegarde du PCI.
Dans quelle mesure le patrimoine culturel immatériel dépend de pratiques et de transmission genrées ? La reconnaissance et l’encouragement des transmissions du PCI par les femmes contribuent-elles au rééquilibrage des pouvoirs homme-femme dans les sociétés contemporaines ? Le concept d’équité des sexes est-il toujours compatible avec la préservation des cultures et des modes de vie traditionnels ?
Une dizaine de participants ont abordé notamment ces questions afin de déterminer des solutions réalistes et sensées dans la perspective de la mise en œuvre de la Convention de 2003.
Avant-projet de convention internationale pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et rapport du Directeur général sur la situation devant faire l’objet d’une action normative et sur l’étendue possible d’une telle action 32 C/26 + ADD.: anglais
Avant-projet de convention internationale pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et rapport du Directeur général sur la situation devant faire l’objet d’une action normative et sur l’étendue possible d’une telle action 32 C/26 + ADD.: anglais